Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
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OuvertureAprès l’étape continentale, voici que débute la première session du Synode sur la synodalité, désormais ouvert aux votes des participant(es) non évêques. C’est aussi l’inauguration officielle de l’année Thérèse de Lisieux, célébrée pour le 150e anniversaire de sa naissance. De plus, une année jubilaire universelle se profile à l’horizon pour 2025, intitulée « Pèlerins d’espérance sur le chemin de la paix ». On notera en particulier le jubilé de la vie consacrée, fixé, à Rome, aux 8-12 octobre. Notre revue s’inscrit évidemment dans ce dynamisme d’écoute, de partage et d’action.
Avec la Rencontre qui introduit ce dernier numéro de l’année, deux laïcs travaillant à l’Union des Réseaux Congréganistes de l’Enseignement Catholique (organisme français de soutien aux œuvres d’éducation créées par les congrégations religieuses), nous parlent de leur engagement auprès des instituts religieux, dans la poursuite du déploiement et du partage de leur charisme enseignant, et auprès des équipes éducatives, face aux besoins des jeunes d’aujourd’hui. Quelques extraits de cette rencontre peuvent être retrouvés, sur notre site, au format vidéo.
Comme le Kairos nous y invite, Nathalie Becquart, xavière et sous-secrétaire du Synode, nous livre sa vision des progrès du leadership des femmes dans l’Église et dans le monde. Ce point fera certainement l’objet des discussions synodales, puisqu’il est repris par l’ensemble des Documents de la phase continentale. D’autres questions se posent actuellement à la vie religieuse : l’analyse de Patrick Prétot, o.s.b., met en évidence la radicalité et la gravité des défis pour toutes les formes de la vie consacrée – un chantier urgent pour de nouveaux espaces de vie et de liberté évangéliques.
La table d’Orientation indique, sous la plume de Pierre Piret, s.j., le mouvement central de l’Évangile de Luc comme la voie à suivre, pour aller là où Jésus fait route, en prenant la figure du Serviteur.
Dans sa Chronique d’Écriture sainte annuelle, Alain-Marie de Lassus, c.s.j., rapporte les recherches récentes des exégètes de l’Ancien et du Nouveau Testament qui peuvent nourrir notre méditation studieuse de l’Écriture inspirée.
Enfin, Sur un autre ton, Jean-Marie Glorieux, s.j., ami des penseurs russes, nous fait entrer dans le saisissement de Vassili Grossman devant le tableau de Raphaël, « La Madone Sixtine », à partir duquel il envisage, en clé apocalyptique, les tragédies du siècle.
