Chronique sur la Vie consacrée
Rencontres et lectures récentes
Noëlle Hausman, s.c.m.
N°2008-1 • Janvier 2008
| P. 64-70 |
Avant d’en venir, comme nous en avons pris l’habitude, au commentaire de quelques ouvrages significatifs, soulignons quelques événements récents ou en préparation, dans les horizons de la vie consacrée.
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Avant d’en venir, comme nous en avons pris l’habitude, au commentaire de quelques ouvrages significatifs, soulignons quelques événements récents ou en préparation, dans les horizons de la vie consacrée. Le Colloque sur la pauvreté organisé à la Faculté de théologie des Salésiens de Lubumbashi (1er-4 avril 2007) par les deux Unions des Religieux de la République démocratique du Congo nous a permis de mesurer la radicalité d’une réflexion sur ce conseil évangélique, et surtout, l’importance de sa pratique effective, dans une société toujours plus en marge du progrès économique mondial ; nous attendons la publication des Actes de ces journées pour y insister. A la fin de l’été, le voyage pontifical en Autriche a donné lieu à deux adresses remarquables du Saint Père aux prêtres, religieux et religieuses participant aux Vêpres dans la Basilique de Mariazell et le lendemain, à l’Abbaye cistercienne de Heiligenkreuz [1] : dans le premier cas, le Pape y médite comme à neuf sur les conseils de pauvreté, de chasteté et d’obéissance (suivant cet ordre traditionnel) ; dans le second, sur le service de la prière qui ne peut se laisser gagner par les nécessités commerciales (« un monastère est avant tout un lieu de pouvoir spirituel »). Ces interventions attirent d’autant plus l’attention qu’en dehors des familles religieuses ou spirituelles qui se présentent à lui, Benoît XVI s’exprime rarement sur la vie consacrée. On attend avec beaucoup d’intérêt la rencontre annoncée pour le mois de mai 2008 à Rome de plusieurs centaines de vierges consacrées, pour un Congrès mondial de cette antique forme de consécration, remise à l’honneur depuis une centaine d’années seulement dans l’Église catholique.
Dans l’aire culturelle francophone, on escompte aussi la publication des Actes du Rassemblement Laïcs-Religieux-Religieusesdes 19-21 octobre 2007, à Lourdes, qui a recensé près de 1500 participants, dont environ 1000 laïcs ; 207 instituts religieux et monastères y étaient représentés. A notre avis, la conviction que « tous sont ensemble ferments d’Évangile » laisse intact un certain nombre de questions doctrinales et pratiques autour du charisme des instituts : est-il transmissible à d’autres que les consacrés ? appartient-il de droit à tout le peuple de Dieu ? et s’il peut être partagé, est-ce sur le mode d’une communion de vie (voire de gouvernement) ou de mission ? que deviennent dans cette perspective les relations avec les communautés dites nouvelles, dont certains ont cru, un temps, qu’elles allaient se substituer à la vie consacrée en déclin sous toutes ses formes ? Un peu auparavant (mais la nouvelle nous est parvenue plus tard), le 1er octobre, une quarantaine de religieuses chinoises ont organisé des « Olympiades » [2] qui peuvent nous sembler burlesques (avec les parties de bras de fer ou le saut à la corde au nombre des sports, pratiqués en habit), mais l’anecdote nous rappelle que les Jeux qui se préparent à Pékin vont sacrer l’émergence de la Chine sur la scène économique internationale – ce que la lettre pentecostale du Pape aux Catholiques chinois [3] a déjà décrypté en termes d’espoir et d’exigence pour l’Église. Au numéro 14 notamment, le Souverain Pontife y prend acte de la naissance de nombreuses congrégations religieuses autochtones, ce qui impose (comme chez les prêtres) un soin particulier des vocations, et une formation plus solide. « Quant à la vocation religieuse, dans le contexte actuel de l’Église en Chine, il est nécessaire qu’apparaissent de manière plus lumineuse ses deux dimensions : à savoir, d’un côté, le témoignage du charisme de consécration totale au Christ à travers les vœux de chasteté, de pauvreté et d’obéissance [4] et, de l’autre, la réponse à l’exigence d’annoncer l’Évangile dans les conditions historiques et sociales actuelles du pays ».
Avec cet important document, nous sommes déjà passés au rayon d’une revue toute aléatoire de certaines publications de l’année.
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L’Union Internationale des Supérieurs généraux nous a envoyé les résultats de ses 67ème et 69ème « Conventus » semestriels. L’un poursuit la réflexion sur la fidélité, commencée en 2005 et à laquelle nous avons déjà fait écho dans notre Chronique précédente [5] ; il s’intitule heureusement Pour une vie consacrée fidèle. Défis anthropologiques pour la formation [6]. Si la vie consacrée veut devenir une prophétie anthropologique dans la postmodernité (P. Chavez Villanueva), il faut, dans la ligne des travaux de groupe synthétisés par F. Cereda, « remettre en marche les communautés et l’Institut, en encourageant tous les membres à vivre ‘l’amour des premiers temps’ » (33), et surtout, considérer la formation continue comme point de départ obligé d’une formation initiale efficace (A. Rodriguez Echeverria, 6). Ainsi, former à la vie en plénitude peut prévenir les abandons et renforcer la fidélité (J. Rodriguez Carballo), en particulier quand grandit l’écart entre l’effort théorique, la vérité pratique et la créativité concrète (43). La maturité humaine ne peut faire l’économie de « l’habitude du travail constant et créatif » – un « travail des mains » autant que de l’intelligence et de la volonté (49). Une deuxième série de conclusions des travaux de groupe (F. Bravi) insiste en particulier sur l’union dans la distinction des différents accompagnements : celui du formateur, voire un soutien psychologique, mais aussi la guidance scolaire ou universitaire (58). La fin de la brochure est consacrée à quelques types de « ratio formationis » (programme de formation) : chez les Oblats de Marie Immaculée (P. Archiati), les Missionnaires Comboniens du Cœur de Jésus (J. Miante), les Frères des Ecoles chrétiennes (J. Pablo Martin) ; ces pages achèvent de montrer comment le but fondamental de tout processus de formation est de favoriser l’expérience spirituelle que Dieu est l’Absolu, et que tout notre être a sa dernière référence en Lui (6).
La seconde brochure, plus ample, pose la question de son titre : la vie religieuse est-elle prophétie pour les cultures aujourd’hui [7] ? Partant d’une étude de C. Mesters sur la prophétie dans la Bible, elle introduit d’abord à la lecture des expériences et témoignages de prophétie à l’intérieur des Congrégations (J.M. Abella). Le Père J.Ch.R. Garcia Paredes résume en six mots les dimensions du « ministère prophétique de la vie consacrée » : hospitalité, sens, appauvrissement volontaire, réalisme, béatitude et sagesse. Dans sa contribution sur les rapports de la prophétie avec la communauté religieuse, le P.J. Ornelas Carvalho fait remarquer que la prophétie se dirige surtout vers les croyants qui acceptent que quelqu’un puisse parler au nom de Dieu ; « pour ceux qui sont à l’extérieur, il faudrait plutôt parler de témoignage ». G. Ferrari examine les réponses de la vie consacrée à la nouvelle culture mondiale – e.a. ouvrir les portes de nos maisons et croire que Dieu pourvoira « en donnant aux plus jeunes ce que nous ne pouvons pas leur donner, en les formant comme nous ne pouvons pas le faire ». Une finale très inspirante, avant la reproduction, dans leurs langues originales, de quelques témoignages de prophétie à l’intérieur des congrégations – en Algérie, en dialogue avec l’Afrique, aux Pays-Bas, au Brésil, en Inde, au Mali.
La Conférence française des Supérieures Majeures a organisé, du 21 au 22 avril, une session sur « Les Instituts religieux à faible effectif. Moins de cent membres » [8] qui réunissait les représentantes de 52 instituts. Sœur E. de Montebello, canoniste, a d’abord présenté sa relecture de l’enquête préparatoire (19 congrégations y avaient répondu), marquée par l’espérance mais aussi, la lucidité. L’enjeu théologique de l’entraide (une chance que Dieu nous offre) est ensuite présenté par Mgr D. Labille. Des témoignages divers en tracent alors des figures très contrastées : un cheminement en fédération, une « fin de vie » d’un institut dans et avec un autre institut, une communauté intercongrégation pour la mission, une agrégation entre un monastère et un institut de vie apostolique. Maître Dufaux, avocate, et Sœur E. de Montebello encore, mettent ensuite au jour « des questions et des réponses », avant un temps d’ateliers, qui a regroupé les participantes par provinces ecclésiastiques. Introduites par Sœur A. Gillet, secrétaire générale, et conclues par Sœur M. Guggenberger, présidente de la CSM, ces pages intéresseront les religieux qui « veulent regarder en face et assumer la situation d’aujourd’hui », mais encore, ceux qu’intéressent « les trésors d’humanité » que manifeste la vie religieuse apostolique, quand elle est vécue « jusqu’au bout ».
Et puisque nous sommes en France, rappelons que les Documents Episcopat ont publié, sous la plume de notre confrère B. Malvaux, une excellente présentation de la vie religieuse qui s’achève sur une clarification au sujet de la consécration propre à la profession des conseils évangéliques [9].
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Venues d’autres horizons, certaines biographies pourraient aussi nourrir notre réflexion. Ainsi du curieux ouvrage publié par le Cerf, à propos de la princesse Jeanne Bibesco (1864-1944) [10], qui fut un temps Carmélite (et bientôt Prieure à vie) à Alger, devint proche d’Émile Combes et finit misérablement à Paris, à la veille de la Libération. Écrites en première personne, ces pages (apocryphes, certes) laissent dans l’ombre plus de questions sur la vie conventuelle de l’époque (le Carmel d’Alger fut fermé sur l’ordre de Pie X en 1911) que sur le Renseignement français ou britannique qui les traversent aussi. Nous remettrons aux historiens le soin de les discuter. Bien plus impressionnante encore, autorisée par l’auteur, paraît la vie de (Sœur) Yvonne Pierron, écrite avec la collaboration de D. Bornstein [11], sous un titre évocateur. Missionnaire sous la dictature rapporte en effet le périple vécu par une jeune missionnaire, née en Alsace en 1928, entrée à 17 ans dans une Congrégation plus ou moins bien constituée, et partie pour l’Argentine en 1955 ; après un diplôme d’infirmière obtenu sur place, Sœur Yvonne entre enfin en contact avec des populations défavorisées, au moment du Concile, et finit par voir ses compagnes (dont Alice Domon) quitter l’Institut pour s’installer dans un bidonville. Quand la dictateur militaire s’installe (le Général Videla prend le pouvoir en 1976), l’engagement dans les luttes paysannes mettent leur apostolat, puis leurs vies, en danger. Sœur Yvonne échappe à l’enlèvement d’Alice Domon et Léonie Duquet (leur calvaire nous est rapporté) et finit par être exfiltrée (exilée, dit-elle) en France où elle se fait proche des réfugiés de « son » pays. Elle s’embarque pour la révolution sandiniste du Nicaragua (1980-1984), avant de retrouver l’Argentine, rendue à la démocratie, où elle choisit, à plus de 80 ans, la mission la plus perdue au milieu des forêts. Il faut saluer ce parcours courageux et tragique, même s’il manifeste plus d’une impasse – sans qu’on sache si ces limites sont attribuables à la rédaction. Suffit-il, par exemple, d’entendre les trois vœux comme le fait cette rare notation à leur sujet : « je m’engageai donc à ne posséder aucune richesse et à tout partager, à vouer ma vie à l’Église sans fonder de famille et à respecter les décisions de ma hiérarchie » (51, voir aussi 63) ? Des attaques précises sont dirigées contre le Vatican – les silences de Paul VI (126), les admonestations de Jean-Paul II (163) – qu’il faut d’abord entendre comme des cris de douleurs. Car la lecture de cet ouvrage ne laisse pas indemne, et c’est bien ainsi.
Il reste assez difficile d’obtenir des chiffres actualisés du nombre réel des religieux à travers le monde, et d’ailleurs aussi, pays par pays. On saluera donc la parution de l’ouvrage d’A. Pardilla, en italien [12], qui donne l’éventail des populations religieuses, dans les instituts masculins du monde entier, de 1965 à 2005. La baisse moyenne (moines y compris) correspond à l’idée qu’on s’en fait d’habitude (– 35 %), mais l’intérêt vient des variations entre les différentes formes de vie religieuse masculine : les instituts de clercs ont beaucoup mieux résisté (– 25 %) que les congrégations de frères (– 60 %). Dans une deuxième partie de son étude, l’auteur tente d’analyser les facteurs de ce déclin, et propose aussi de construire le futur sur une identité forte, à connotation christologique, mariale et communautaire. Quoiqu’il en soit de ces orientations, la partie statistique peut à elle seule, dans son actualité brute, en éclairer plus d’un.
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Il faut toujours saluer l’exceptionnelle ressource que représente, pour la vie consacrée, sa mise en image dans la bande dessinée ; nous avons déjà cherché à lui faire écho, mais une exploration du site du C.R.I.A.B.D., animé par le Frère R. Francart s.j., est à cet égard toujours très profitable [13]. Épinglons dans cette chronique, les seules éditions Coccinelle [14], fondées en 1996, pour plusieurs de leurs réussites dans une entreprise somme toute fort risquée. La réédition du célèbre Tonnerre en Chine [15], sur Vincent Lebbe, de la Société des Auxiliaires des Missions, nous invite en effet à égrener la litanie des meilleures réalisations de cette maison, à commencer par Miracle à Maredsous. Columba Marmion [16], Bénédictin aujourd’hui béatifié, mais aussi, A travers les montagnes. La vie de saint Josémaria (Ballager) [17] et La joie d’un choix [18], album publié pour la canonisation de Marie-Eugénie Milleret de Brou, fondatrice des Religieuses de l’Assomption. Moins connus, les Martyrs de Gorcum viennent de donner lieu à un N’ayez pas peur [19] coproduit par le diocèse d’Amsterdam, qui rend hommage à ces jeunes clercs pris dans la tourmente des troubles politico-religieux du XVIème siècle : onze Franciscains, un Dominicain, deux Prémontrés, un Chanoine de Saint Augustin et quatre prêtres séculiers périrent, « inébranlables, fidèles. Aujourd’hui – poursuit Mgr A. van Luyn dans la postface – leur fidélité nous appelle ensemble, catholiques et protestants, à témoigner de notre foi commune en Jésus-Christ et en son message de paix et de justice ».
L’inoubliable Pèlerin russe [20] continue cependant à dominer le paysage, avec ses gouaches incroyablement inspirées, dans leur beauté même, dans ses lenteurs et autres désespoirs, ses allégresses aussi, et ce côté énigmatique de la quête intérieure qui perdure après la fin (sans finale) des dernières planches. La sensibilité de l’artiste fait de ce joyau une introduction à la prière, ce qui, convenons-en, est plutôt rare dans le domaine de la scénarisation.
Sans qu’il puisse être rapproché de cette œuvre unique, mentionnons un dernier album de la même maison, consacré cette fois à un site marial peu connu, le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres à Banneux (Belgique), en année jubilaire. Sous le titre Un moment avec Marie [21] et dans un gabarit propice au rayon enfants des librairies, il offre, avec une sage retenue dans la répartition des grands et petits formats, quelques gouaches, suggestives d’un parcours fondé sur les paroles entendues, il y a 75 ans, par la jeune voyante, pour se terminer sur les invocations et la prière habituelles en ce haut-lieu. Simple et reposant.
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Osons finir par Sœurs Chocolat [22], qui relève bien sûr d’abord du délassement sans prétention. Ce roman de pure détente s’orne évidemment des standards du genre : une intrigue très enlevée, beaucoup de moments d’humour, dans une Amérique latine de convention (quel pastiche !), et le happy-end que le lecteur complice ne pouvait qu’espérer. Mais peut-être il y a-t-il là toute une parabole, qui donne à penser. Une abbaye de femmes au bord de la ruine doit impérativement retrouver, en Colombie, la trace des plantations très convoitées auxquelles le monastère doit depuis des lustres son gagne-pain (le chocolat) ; deux Sœurs, l’une d’âge moyen, l’autre encore novice, sont lancées dans ce périple, échappant à tous les pièges d’un implacable concurrent, non sans voir leurs vocations respectives profondément interrogées. Servi par une remarquable connivence de l’auteur avec son sujet, l’ouvrage pourrait être révélateur d’une approche imaginaire renouvelée (dont on connaît d’autres exemples, portés par d’autres supports contemporains) concernant la vie religieuse la plus classique : le duo des héroïnes et les drôleries de leur cercle communautaire sont ressemblants à souhait, mais surtout, la vie conventuelle est peinte avec une tendresse qu’on n’avait plus l’habitude de trouver dans les œuvres de fiction, même populaires [23]. Quelque chose serait-il en train de changer, au royaume des représentations [24] ? Et qu’un renouveau dans la continuité soit créé, fût-ce en image, est-ce vraiment pour nous sans implication ?
[1] Ces deux allocutions ont été publiées dans la Documentation catholique n° 2387, 7 octobre 2007, 835-838 et 842-845, sous les titres respectifs « A vous qui marchez à la suite du Seigneur » et « Le monastère, un lieu avant tout de pouvoir spirituel ».
[2] Voir EDA 472, http://eglasie.mepasie.org (Cité par l’Agence Zénith, en date du 31 octobre 2007).
[3] Benoît XVI, Lettre aux Évêques, aux prêtres, aux personnes consacrées et aux fidèles laïcs de l’Église catholique en République populaire de Chine », 27 mai 2007.
[4] Dans cet ordre conciliaire, N.D.L.R.
[5] N. Hausman, Chronique sur la vie consacrée, in Vs Cs 2007-1, pp. 69-75 ; Cf. Union Internationale des Supérieurs Généraux, Fidélité et abandons dans la vie consacrée aujourd’hui, Rome, Litos editoria, 2005.
[6] Rome, Lithos editoria, 2006, 15 x 21 cm, 85 pp. 10 €.
[7] La vie religieuse : prophétie pour les cultures aujourd’hui ? Rome, Litos/Ufficio U.S.G., 2007, 15 x 21 cm, 140 p., 10 €.
[8] L’entraide entre les Instituts religieux comme force, pour une vie religieuse qui se transmet et comme témoignage !, Compte-rendu de la Session « Instituts à faible effectif. Moins de cent membres », 21-22 avril 2007, C.F.S.M. Paris, 21 x 29,5 cm, 38 p., 2007.
[9] Vie religieuse et vie consacrée aujourd’hui, Documents Épiscopat n° 5/2007, publié par le Secrétariat général de la Conférence des Évêques de France, Paris, 20,5 x 27,5 cm, 24 p., 4,5 €.
[10] CH. Oddo, La princesse Jeanne Bibesco, une femme, le Carmel, la République. Mémoires Apocryphes, Préface de E. Poulat, Paris, Cerf, 22 x 24 cm, 368 p., 25 €.
[11] Y. Pierron, Missionnaire sous la dictature. Avec la collaboration de D. Bornstein, Paris, Seuil, 2007n 14 x 20,5 cm, 204 p., 16 €.
[12] A. Pardilla, I religiosi ieri, oggi e domani, Roma, Editrice Rogate, 2007, 16 x 22 cm, 388 p., 29 €.
[13] Centre religieux d’information et d’analyse de la bande dessinée, à l’adresse www.criabd.site.voila.fr.
[14] Voir le site www.coccinellebd.be : Coccinelle BD « se donne comme objectif de soutenir les auteurs qui souhaitent créer une œuvre originale et choisissent la Bande Dessinée comme moyen d’expression » ; elle « accorde la priorité aux œuvres témoignant de valeurs humaines et de la foi chrétienne, dans un esprit de dialogue interculturel ».
[15] L. Foccroule, D. et P. Bar., Durbuy, 2007 (1991), 22,5 x 30,5 cm, 48 p., 10,45 €.
[16] B. Despas et P. Fostroy, E. Drèze, Durbuy, 2000, 22 x 29,5 cm, 32 p., 6 €.
[17] J. Gillissen et E. Gabriel, P. Fostroy, Durbuy, 2005, 22,5 x 30,5 cm, 80 p., 18 €.
[18] P. F Ostroy et G. DE Sutter, Durbuy, 2006, mêmes dimensions, 32 p., 10 €.
[19] G. De Sutter, Durbuy, 2007, mêmes dimensions, 48 p., 10,45 €.
[20] G. Evrard, Durbuy, 2001, mêmes dimensions, 48 p., 10,45 €. (Sous titre : Razskazy strannika, Récits d’un pèlerin). Avec le concours du Père A. Lambrechts, de Chevetogne.
[21] B. Quinet, Durbuy, 2007, 28 x 21 cm, 32 p., 10 €.
[22] C. Velle, Sœurs Chocolat, Paris, Éditions Anne Carrière, 2007, 15 x 23,5 cm, 318 p., 18 €.
[23] Souvenons-nous des rapports houleux entre un autre art et l’Église ; Cf.. F. Gaquère, Le théâtre devant la conscience chrétienne. De saint Jean Chrysostome à Pie XII et à Vatican II, de Bossuet au P. Carré, Paris, Beauchesne, 1965.
[24] Voir J. Ponton, La Religieuse dans la littérature française, Québec, Presses de l’Université de Laval, 1969.