Chronique d’Écriture Sainte (NT)
Véronique Fabre
N°2007-4 • Octobre 2007
| P. 288-294 |
Nous regroupons les livres que les éditeurs ont bien voulu nous faire parvenir en quatre sections : les Évangiles (I) ; les Actes des Apôtres et Paul (II) ; l’Apocalypse (III) ; ouvrages généraux (IV). Soulignons dès à présent l’intérêt pastoral de l’ouvrage présenté en finale.
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Nous regroupons les livres que les éditeurs ont bien voulu nous faire parvenir en quatre sections : les Évangiles (I) ; les Actes des Apôtres et Paul (II) ; l’Apocalypse (III) ; ouvrages généraux (IV). Soulignons dès à présent l’intérêt pastoral de l’ouvrage présenté en finale.
I
Un beau livre sur « le beau Christ de Luc ». Ainsi démarre la préface du 145e numéro de la collection « Lire la Bible » aux éditions du Cerf [1]. Cette préface, signée de l’ancien archevêque d’Avignon, Mgr R. Bouchex, affirme que la beauté, inséparable de l’amour et de la vérité, est à sa place dans la science théologique. Ainsi l’ouvrage a-t-il pour but de faire ressortir l’unité, la cohérence de l’évangile de Luc « en choisissant trois portes d’entrée, en suivant trois routes, ou trois fils qui courent sous le texte et en assurent la solidité pour en faire un tissu tout d’une pièce, comme on le dit d’un vêtement » (p. 13). Jésus apparaît au fil des péricopes choisies, comme le Bon Samaritain proche de tous les hommes (route des seuils ou des moments de commencement), Celui qui vient en Parole (route de la Parole), le Fils qui veut ramener les hommes à leur Père (route de la prière). Après avoir scruté comme des sourciers les détails du récit pour en faire jaillir le sens (à la manière de l’analyse narrative) et avoir essayé d’emprunter le regard contemplatif de Luc pour « admirer le Seigneur dans sa beauté » (Ps 26, 4), les auteurs concluent : « Le salut en Personne, le salut en Parole et en actes pour tout homme, telle est l’heureuse nouvelle pour aujourd’hui qui rayonne sur le visage du Beau Christ de Luc » (p. 228). Qu’ils soient remerciés de leur bel ouvrage !
Comme en 2005 à propos de Marc et en 2006 à propos des Actes des Apôtres, le Centre « Le Chemin » du monastère des bénédictines de Rixensart édite un guide, traduit de l’espagnol, pour une lecture communautaire de l’évangile selon saint Matthieu [2]. Cette parution est destinée à des communautés paroissiales, groupes de jeunes, groupes de foyers, etc., désireux de creuser ensemble et de partager la Parole de Dieu, dans un climat de prière et d’ouverture à la conversion. Deux livrets d’accompagnement, un pour le participant et un pour l’animateur, proposent de découvrir comment Matthieu s’est servi du « vieux », c’est-à-dire des anciennes Écritures d’Israël pour composer son évangile (cf. Mt 13, 51-52), d’où le titre de l’ouvrage : Le trésor du scribe. Les auteurs précisent encore : « Avec ce titre nous avons voulu dire aussi ce que représente pour nous la Parole de Dieu : un trésor inépuisable duquel nous devons tirer avec sagesse ce dont nous avons besoin à chaque instant. Nous essayons de tirer du trésor du Nouveau Testament des paroles de vie et de lumière pour notre aujourd’hui » (p. 5).
« La source Q » – qui jusqu’à nouvel ordre reste une hypothèse littéraire – fait parler d’elle avec un ouvrage du pasteur J.-M. Babut, docteur en sciences bibliques et actuellement secrétaire de l’Association œcuménique pour la recherche biblique [3]. Le titre change puisque la première de couverture invite « à la recherche de la Source », tandis que la suite de l’ouvrage titre : « A la découverte de la Source ». L’auteur commence par rappeler l’hypothèse émise par les Allemands, il y a déjà un siècle et demi, et qui serait aujourd’hui adoptée par une très large majorité de spécialistes : « la source Q » aurait, parallèlement à l’évangile de Marc, servi de référence commune aux évangélistes Matthieu et Luc. Il s’agit dès lors de partir à sa découverte, d’essayer de reconnaître son originalité, ses thèmes de prédilection, éventuellement son organisation interne, tout cela en s’intéressant non pas à son histoire mais à son contenu. La première chose était de donner accès au texte lui-même, ce que l’auteur fait en traduisant le texte grec reconstitué par J. Robinson, P. Hoffmann et J. Kloppenborg en l’an 2000 : un livret séparé, avec en introduction les options de traduction et au fil du texte les passages parallèles de Marc, facilite la lecture et la consultation. Puis une minutieuse analyse de ce texte permet d’y percevoir le message de Jésus, les gens auxquels il était adressé, le monde nouveau dont Jésus annonçait l’avènement, la personne de Jésus, l’image de Dieu. En fait, simple collection de paroles de Jésus, la Source constituerait un évangile sans récit de la Passion. Les deux derniers chapitres la comparent à l’évangile de Marc, en soulignant les aspects similaires et les aspects complémentaires. Notre sentiment est d’avoir pu, à travers cet ouvrage, effectivement prendre connaissance d’une recherche plutôt que bénéficier d’une découverte.
Enfin, un petit livre sur les paraboles, publié aux éditions Médiaspaul, nous vient d’un franciscain, R. Poudrier [4]. Ce dernier commence par faire une rapide histoire de l’interprétation des paraboles à partir de l’époque où l’on refusa d’en faire une lecture allégorique, c’est-à-dire au début du XIXe siècle. Quelques points essentiels s’en dégagent : « A notre avis, Jésus proclamait l’Évangile de Dieu et invitait ses contemporains à y croire. La Bonne Nouvelle, c’est le Royaume de Dieu, à savoir le Père souverain et glorieux, compatissant et miséricordieux, et son projet de salut pour tous ses enfants (Mc 1, 14-15). Voilà le cœur du message de Jésus ! Voilà le cœur des paraboles ! Telle sera notre grille de lecture » (p. 15). Ainsi, quarante paraboles sont abordées selon une séquence en trois parties : le Père miséricordieux ; le Royaume du Père ; les enfants du Père. Pour chacune, l’enjeu est de dégager la pointe et l’enseignement spécifique. Une conclusion finale reprend l’ensemble et justifie pleinement le sous-titre de cet ouvrage simple et limpide : Toute brebis perdue sera retrouvée.
II
Deux livres fort instructifs sur les Actes des Apôtres. Tout d’abord le commentaire très attendu de D. Marguerat, professeur de la Faculté de théologie protestante de Lausanne [5]. L’auteur lui-même explique dans la préface de l’ouvrage qu’un commentaire suit une hypothèse de lecture. Celle-ci, développée dans l’introduction, y est en quelque sorte condensée dans les premières lignes : « Luc est le premier à faire suivre sa biographie de Jésus (l’évangile) d’une histoire du mouvement issu de lui (Actes) […] A notre connaissance, il est également le premier écrivain antique à présenter un mouvement religieux sous la forme d’un ouvrage historiographique […] Luc et son œuvre se situent au confluent de la culture gréco-romaine et de la tradition juive » (p. 17). D’où la méthode employée : « Méthodologiquement, j’allie donc le nouveau et l’ancien, l’analyse narrative nouvellement née et la classique critique historique. J’emprunte autant à Paul Ricœur qu’aux commentateurs historico-critiques, aux Pères de l’Église qu’aux narratologues américains. Sans oublier Jean Calvin, le Réformateur, dont j’ai dégusté le commentaire des Actes » (p. 7). Chaque péricope donne lieu à la traduction du texte, une bibliographie, l’analyse, l’explication et les perspectives théologiques. Une mine pour tous les chercheurs de Dieu à l’écoute de sa Parole qui se donne avec tant de puissance dans les Actes des Apôtres ! Malgré l’ampleur de l’ouvrage, nous attendons déjà le volume suivant de façon à pouvoir bénéficier du commentaire du livre en son entièreté !
Le second ouvrage se penche plus précisément sur la figure de Paul [6]. O. Flichy, professeur au Centre Sèvres de Paris nous y livre les fruits de sa recherche doctorale. Le début présente un magnifique état de la recherche aboutissant au point de départ de son étude : « il s’agit moins, désormais, de chercher à distinguer, voire à opposer, ce qui chez Luc relève du travail de l’historien ou de la mise en œuvre d’une théologie que de s’interroger sur le sens de ces deux composantes du projet lucanien et de réfléchir à la manière dont elles s’articulent dans son récit » (p. 34). C’est donc dans l’originalité de sa réception lucanienne que la figure de Paul est abordée, principalement grâce à l’analyse narrative, mais sans négliger aux moments opportuns la rhétorique ou encore la sémiotique. Deux temps se succèdent : Paul, le juif converti (I) ; Paul, missionnaire des juifs et des païens (II). Au long du parcours, la manière dont Luc conçoit le rapport entre judaïsme et le christianisme s’éclaire, notamment à travers l’histoire de la conversion de Saul et ce que Paul incarne sous la figure du juif converti. Missionnaire des juifs et des païens, Paul proclame et vit l’accomplissement du salut universel promis par Dieu. On peut comprendre alors pourquoi « Luc choisit d’interrompre son récit… sans interrompre Paul ! » (p. 325). Signalons, pour parachever l’ensemble, une bibliographie très précieuse pour toute étude des Actes des Apôtres.
Le caractère composite de la première lettre de Paul aux Corinthiens est remis à l’honneur avec l’étude de Ch. Jacon [7], docteur en théologie protestante et pasteur de l’Église réformée de France à Brive-la-Gaillarde. Le plus étonnant est que l’auteur se sert des moyens mêmes qui ont présidé ces dernières années à la lecture continue des lettres pauliniennes, à savoir l’épistolographie antique et la rhétorique gréco-romaine. En fait, la démarche d’ensemble s’inscrit dans une perspective historique : la première partie se penche sur la vie de l’apôtre pour mieux percevoir combien sa rhétorique est à la fois juive et grecque ; puis après l’étude du cadre épistolaire, l’analyse rhétorique de la lettre est menée pour chacune des différentes unités ; le parcours permet de tirer le bilan des deux approches, et de conclure sur la question de l’unité de l’épître en évoquant les conséquences de l’étude sur le parcours de Paul. Soulignons le grand intérêt du fondement direct sur les sources (témoignages, traités de rhétorique et recueils des règles exégétiques juives).
III
Le 44e volume de la collection « Connaître la Bible » des éditions Lumen Vitae nous offre une lecture revigorante de l’Apocalypse de saint Jean [8]. L’auteur, J. Rochette, curé de paroisse, vicaire épiscopal et recteur du séminaire de Namur (Belgique), se propose de scruter les visions du livre avec intelligence afin d’y percevoir la ligne de vie que les béatitudes parsemées tout au long du livre tracent, « ligne de vie en laquelle se déploie la force transformante du salut » (p. 8). C’est alors avec une nouvelle vigueur que se lit le livre : « L’Apocalypse n’est pas d’abord une force de résistance dans l’épreuve, en attendant la consommation finale : elle est une force d’appréhension et de transformation du monde et des hommes, tout ensemble corps, cœurs et esprits sauvés par le Christ […] De quoi est-on sauvé ? A-t-on besoin de l’être ? Comment est conduit et réalisé ce salut dans les images de l’Apocalypse ? Et comment est-il décrit, en termes précis qui font progresser le lecteur dans sa compréhension du mystère chrétien ? Ce sont autant de questions auxquelles notre petit ouvrage veut répondre, pour sa part » (p. 8). Effectivement, le lecteur sort revigoré de sa lecture !
Un autre ouvrage traite de l’Apocalypse, et plus précisément de la Théologie de l’Apocalypse [9]. Il s’agit de l’édition française du livre publié en 1993 à Cambridge par R. Bauckham, professeur de Nouveau Testament à l’université de Saint Andrews, en Écosse. Notons que la bibliographie a été mise à jour pour cette édition. Après avoir situé le genre littéraire auquel appartient l’Apocalypse – qui tiendrait de l’apocalypse prophétique ou encore de la prophétie apocalyptique – l’auteur explore comment ce dernier livre de la Bible comprend Dieu, Jésus Christ, le salut, l’Église et l’espérance chrétienne pour l’avenir du monde. Le dernier chapitre, intitulé « l’Apocalypse aujourd’hui », insiste sur son statut d’unique œuvre prophétique chrétienne à faire partie du canon, ce qui signifie que l’Église l’a reconnu comme prophétie véridique. Une synthèse finale reprend les orientations théologiques que l’Apocalypse propose à la réflexion contemporaine et sa pertinence inattendue pour aujourd’hui : « elle peut contribuer à inspirer le renouveau de la doctrine de Dieu, qui est peut-être le besoin théologique contemporain le plus urgent » (p. 187).
Un troisième ouvrage, mais cette fois-ci en provenance de l’Afrique, tente de décrypter l’Apocalypse [10]. P. Poucouta, prêtre du diocèse de Pointe-Noire (Congo Brazzaville) et professeur à l’université catholique d’Afrique centrale, n’hésite pas à proposer une compréhension africaine du livre, au fil de sa lecture pas à pas. Le commentaire ne s’ouvre qu’avec Ap 4 puisque les lettres aux Églises avaient déjà fait l’objet d’un ouvrage intitulé Lettres aux Églises d’Afrique. Apocalypse 1 – 3. « Jean nous fait contempler le ciel pour mieux inventer la terre (Ap 4). La gloire de l’Agneau céleste se joue sur le terrain concret de l’histoire (Ap 5). Le jugement de Dieu y est annonce d’un salut (Ap 6) dont l’Église est le sacrement (Ap 7). Il s’agit d’une Église enracinée dans la Parole de Dieu, douce et amère (Ap 10, 8-11), lieu thérapeutique de toute forme de violence (Ap 13) et surtout sacrement de la vie (Ap 20). Alors, à côté du sapientiel, du prophétique et du liturgique, l’apocalyptique n’est-elle pas un lieu de théologie africaine, pour une Église de veilleurs ? » (p. 16). Ce livre invite, en se mettant à l’école de l’Apocalypse, à passer de la violence à la sagesse. Invitation adressée à l’Église d’Afrique, mais également à chacun de ses lecteurs.
IV
J. Schlosser, professeur émérite à l’université Marc-Bloch de Strasbourg, publie le tome 207 de la collection « Lectio Divina » aux éditions du Cerf, qui rassemble vingt-cinq études déjà parues dans des revues spécialisées ou des collectifs [11]. Seule l’étude qui clôt le livre, sur le ministère de l’épiscopè d’après les épîtres pastorales, est inédite. L’ensemble est organisé selon quatre grands thèmes : le Jésus de l’histoire ; la source Q ; la première épître de Pierre ; l’articulation entre histoire et théologie. Cette dernière partie regroupe en fait trois articles – outre celui nommé ci-dessus – portant sur l’histoire du salut, les apparitions pascales et la figure de Dieu dans l’épître aux Philippiens. Ce volume très consistant s’adresse à ceux qui désirent approfondir leur connaissances des diverses méthodes en usage dans l’exégèse historico-critique. Notons en ce sens, la très intéressante introduction à la seconde partie sur l’hypothétique document Q qui souligne le rapprochement avec la quête historique sur Jésus.
Cette chronique se clôture avec un ouvrage de E Vouga, bien connu des lecteurs (cf. VC 2003-6, p. 414 etVC 2001-6, p. 411), dont le titre est évocateur : Évangile et vie quotidienne [12]. La démarche est intéressante sur le plan pastoral puisqu’ils’ agit de prendre la vie quotidienne comme thème de réflexion théologique, et plus précisément de voir comment l’Évangile apporte une proposition de sens dans les conversations qui organisent les trois grands domaines de notre vie : la vie publique ; la maison avec l’entourage familier ; notre intimité propre avec le dialogue intime que l’on mène avec soi-même. Ainsi, des textes fondateurs néotestamentaires éclairent bien des questions sur la vie de famille, les amitiés, le rapport à l’argent, le travail, les loisirs, les limites entre la santé et la maladie, et entre la vie et la mort. Simples exemples : Jn 1, 1-13 et Jn 3, 1-8 permettent de repenser l’engendrement et la naissance, tandis que Ph 1, 20-26, de se préparer à la mort. La sève évangélique ne cesse de jaillir tout au long du livre dont voici les dernières lignes : « La vision de la personne offerte par l’Écriture canonique constitue la base d’une société ouverte. La distinction entre la personne et ses qualités, impliquée par la vérité de la gratuité et du don, est solidaire d’une reconnaissance universelle de toute personne comme vie spirituelle, habilitée à parler pour elle-même, et comme conscience de soi. Conscience de soi comme corps, dans le rapport que chacun entretient avec sa naissance, avec sa vie, sa santé, sa maladie, son vieillissement et sa mort, et avec autrui, dans le cercle privé et sur l’arène publique. Conscience de soi comme âme, qui est le lieu intime et la liberté de la conversation intérieure. Et conscience de soi comme esprit, qui enracine la subjectivité individuelle dans une origine qui se trouve au-delà d’elle-même » (p. 284)
[1] L. Barlet, C. Guillermain, Le beau Christ de Luc, coll. « Lire la Bible » 145, Paris, Cerf, 2006, 13,5 × 21,5 cm, 22,00 €.
[2] La Casa De La Biblia, Le trésor du scribe. Guide pour une lecture communautaire de l’évangile selon saint Matthieu, Rixensart, Monastère des Bénédictines– Centre le Chemin, 2007, 14 × 21 cm, 104 p. (participant) 6,00 € et 136 p. (animateur) 12,00 €.
[3] J.-M. Babut, A la recherche de la Source. Mots et thèmes de la double tradition évangélique, coll. « Initiations bibliques », Paris, Cerf, 2007, 13,5 × 21,5 cm, 304 p., 28,00 €.
[4] R. Poudrier, Paraboles de Jésus. Toute brebis perdue sera retrouvée, Montréal, Médiaspaul, 2006, 12,5 × 19 cm, 261 p., 15,60 €.
[5] D. Marguerat, Les Actes des Apôtres (1 – 12), coll. « Commentaire du Nouveau Testament », Genève, Labor et Fides, 2007, 17,5 × 23,5 cm, 446 p., 52,00 €.
[6] O. Flichy, La figure de Paul dans les Actes des Apôtres. Un phénomène de réception de la tradition paulinienne à la fin du Ier siècle, coll. « Lectio Divina » 214, Paris, Cerf, 2007, 13,5 × 21,5 cm, 368 p., 38,00 €.
[7] Ch. Jacon, La sagesse du discours. Analyse rhétorique et épistolaire de 1 Corinthiens, coll. « Actes et Recherches », Genève, Labor et Fides, 2006, 14,5 × 22,5 cm, 353 p., 25,00 €.
[8] J. Rochette, Il nous a déliés de nos péchés. Lecture revigorante de l’Apocalypse de saint Jean, coll. « Connaître la Bible » 44, Bruxelles, Lumen Vitae, 2006, 15 × 21 cm, 80 p., 10,00 €.
[9] R. Bauckham, La théologie de l’Apocalypse, coll. « Théologies », Paris, Cerf, 2006, 14,5 × 23,5 cm, 208 p., 26,00 €.
[10] P. Poucouta, Pour une Église de Veilleurs. Apocalypse johannique et théologie africaine, Yaoundé, Ed. CLE, 2006, 15 × 21 cm, 192 p.
[11] J. Schlosser, A la recherche de la Parole, coll. « Lectio Divina » 207, Paris, Cerf, 2006, 13,5 × 21,5 cm, 606 p., 38,00 €.
[12] F. Vouga, Évangile et vie quotidienne, coll. « Essais bibliques » 14, Genève, Labor et Fides, 2006, 15 x 22,5 cm, 296 p., 52,00 €
