Chronique d’Écriture Sainte
Nouveau Testament
Véronique Fabre
N°2002-6 • Novembre 2002
| P. 415-423 |
Bon nombre de livres envoyés par les éditeurs cette année s’intéressent aux Évangiles, et quelques-uns seulement aux autres livres du N.T. Les ouvrages restants sont plus généraux ou plus thématiques. Au total, vingt livres recensés avec la compétence que nous apprécions chez notre collaboratrice.
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I
Aux éditions Labor et Fides paraît la suite de l’imposant commentaire de l’évangile de Luc [1] entrepris par F. Bovon en 1991. Fidèle à son projet (cf. VC. 69, 1997, p. 336), l’auteur donne pour chaque péricope traduction, bibliographie, analyse littéraire, explication, histoire de la réception, conclusion théologique. Soulignons l’attention particulière à la façon dont Luc retravaille ses sources telles qu’elles nous apparaissent aujourd’hui (Marc et les logia), ainsi que l’intérêt croissant pour l’histoire de la réception (cf. p. 5). C’est donc une véritable mine qui nous est offerte, comme une invitation à scruter davantage ces cinq chapitres de l’évangile de Luc. La dernière étape de ce commentaire sur la fin du ministère de Jésus à Jérusalem et les récits de la Passion et de la Résurrection, sera bienvenue au terme d’un si beau travail.
Signalons aux mêmes éditions Labor et Fides une réédition du commentaire de l’évangile selon saint Matthieu de P. Bonnard [2], la quatrième depuis 1963. C’est dire combien cet ouvrage est un classique de l’exégèse, même si les deux dernières rééditions ne comportent aucun ajout par rapport à la seconde édition qui avait été revue et augmentée en 1970.
La collection « La Bible tout simplement », des éditions de l’Atelier, nous présente un ouvrage sur l’évangile de Marc [3]. C. Runacher, enseignant l’exégèse du N.T. aux Facultés de théologie de Lille et de Paris, se propose de « mettre en lumière quelques aspects caractéristiques de la théologie de Marc » (p. 11). Quatre étapes se succèdent : après des points d’ordre général, la question de l’identité de Jésus et du « secret messianique » est suivie de celle de l’activité de Jésus, pour finir par l’évocation de la figure des disciples de Jésus et de la condition de la « suivance ». Des encadrés apportent de précieuses informations en cours de lecture, et des invitations à lire les passages évangéliques se détachent régulièrement tout au long du texte. Un ouvrage à recommander pour qui veut découvrir la richesse propre de l’Évangile de Jésus selon Marc.
Pour les passionnés de cet évangile de Marc, deux ouvrages publient aux éditions Gabalda des thèses de doctorat soutenues l’une à l’Institut protestant de théologie de Paris [4], l’autre à l’université de Montréal [5]. Les sujets sont très différents : d’un côté, les controverses, de l’autre, les stratégies rédactionnelles et fonctions communautaires. Par contre, les méthodes ne sont pas très éloignées l’une de l’autre puisque le premier ouvrage se situe « à l’articulation de ces deux approches que sont d’une part la critique de la rédaction, comme étape d’une démarche historico-critique, et d’autre part l’étude de l’argumentation et de la narration » (p. 4), tandis que le second déploie une approche socio-littéraire de la rédaction (cf. p. 13). Finalement, les visées sont très proches : « La problématique de cette recherche est donc celle de l’intention théologique de Marc, et dans la mesure du possible, celle de son cadre historique », précise P. Rolin (p. 4). « A l’aide des stratégies rédactionnelles déployées dans la narration..., il sera possible de dégager, en partie du moins, le dessein que Marc poursuit, en vue d’en arriver à déterminer les fonctions assignées à l’évangile pris comme un tout », annonce G. Bonneau (p. 13). Ce petit jeu de rapprochement des deux ouvrages ne peut que s’arrêter là : chacun demande une attention particulière afin d’en percevoir toute l’intensité.
P. Prigent, auteur d’un livre sur l’Apocalypse l’an dernier (cf. V.C. 73, 2001, 418), relit le quatrième évangile en donnant à nouveau la parole à Jean qui commenterait lui-même, pour sa communauté, les grands textes de son évangile [6]. « C’est une lecture seconde, car il faut absolument lire l’évangile lui-même en premier. C’est lui qui est la bonne nouvelle. Tout ce qui est dans le présent livre n’est qu’un discours second » (p. 8). En ce sens, ce petit livre est un réel stimulant et un véritable guide pour la lecture de l’évangile de Jean.
Les éditions du Cerf publient tout un livre sur le vingtième chapitre de cet évangile johannique [7]. M. Corbin, professeur à la Faculté de théologie et à l’Institut œcuménique de l’Université catholique de Paris, situe son ouvrage à la suite du précédent (La Trinité ou l’Excès de Dieu) où saint Thomas y est lu à la lumière des Pères de l’Église : « Au retour en arrière de saint Thomas vers les Pères, devait s’ajouter un retour en arrière des Pères vers la Bible, non pour contourner la tradition d’interprétation, ni pour dire le sens définitif de tel ou tel passage, mais pour réformer notre intelligence égarée par ses évidences, et vérifier quelque peu que les Pères des premiers siècles se sont laissés modeler par une Parole qui les dépassait autant qu’elle les nourrissait » (p. 8 et 9). Les trois premiers chapitres présentent les présupposés théologiques de l’auteur : « En somme, s’il est permis de parler d’un Événement de Dieu en tant que Dieu, hors et au-delà de toutes nos catégories, c’est en raison de l’Écriture nouvelle. Elle clame que l’accomplissement des Écritures juives n’est plus une écriture, mais au-delà de toute écriture ancienne et nouvelle la nativitas Dei dans l’épaisseur de notre humanité » (p. 94). Dans cette ligne d’interprétation, l’auteur déploie au fil des chapitres suivants une lecture théologique du texte pétrie de toutes les lectures qui l’ont précédée et donc remplie de cet Amour dont le propre est de surabonder en s’offrant librement.
Vient enfin un ouvrage sur les logia de Jésus [8]. F. Amsler, historien du christianisme, enseignant le N.T. à la Faculté de théologie protestante de l’Université de Genève, publie « la première traduction française autonome de la plus récente des reconstructions de la Source des paroles de Jésus » (p. 7). Une introduction générale pose très clairement les enjeux de l’ouvrage : le problème synoptique, l’hypothèse des deux sources, la découverte des origines du christianisme. En soulignant l’absence dans la Source de thèmes théologiques majeurs, d’un récit de la Passion et d’une allusion à la résurrection de Jésus, et même des termes de Messie et Christ, l’auteur affirme : « Sur le plan théologique, l’enjeu fondamental de la Source des paroles de Jésus est l’existence, aux premiers temps du christianisme, de chrétiens qui ne confessaient pas explicitement Jésus comme le Christ, mais qui le tenaient néanmoins pour un Maître de sagesse prêchant et vivant lui-même l’abandon de toutes les sécurités de l’existence » (p. 12 et 13). La seconde partie du livre présente la reconstitution de cette Source en une traduction d’abord annotée, puis continue. Il s’agit bien de l’évangile inconnu.
II
A la suite de Paul, théologien de la confiance en Dieu (cf. V.C. 71, 1999, p. 410), voici, du même auteur, une lecture de la lettre de Paul aux Galates [9] : « Je n’ai nullement la prétention de donner un commentaire exhaustif de l’Épître aux Galates. Ma seule ambition est de montrer que son texte devient merveilleusement limpide aux yeux de qui met une distinction très nette entre “foi du Christ” et “foi au Christ” » (p. 2). Une belle invitation à approfondir le texte lui-même qui constitue la première partie de ce cahier.
Un second ouvrage nous parvient sur cette épître aux Galates [10] : « Au cours de l’année universitaire 1998-1999, le Centre d’analyse du discours religieux (cadir) et le Département d’exégèse de la faculté de théologie de l’Université catholique de Lyon ont proposé, à des enseignants de diverses disciplines, de faire une lecture croisée de l’épître aux Galates ou d’une partie de l’épître. Il s’agissait, non pas de confronter des méthodes, mais de “lire” le texte de Galates. » Ainsi commence le liminaire de l’ouvrage qui se poursuit par une proposition de traduction littérale due à J.P. Lémonon accompagnée d’une réflexion sur l’unité de la lettre. Alors les interventions qui eurent lieu au cours du séminaire se succèdent : d’abord des analyses touchant les rapports qu’entretiennent les deux Testaments en cette lettre ; ensuite une série de contributions autour de la constitution du sujet, qu’il s’agisse du « je » de l’Apôtre ou de celui du croyant avec en finale, une présentation de l’exégèse de l’épître par Calvin. On ne saurait mieux démontrer la richesse du travail interdisciplinaire.
« En réalité, la première épître de Pierre est l’un des chefs-d’œuvre du Nouveau Testament. Par sa simplicité même, elle trace les fondements les plus solides sur lesquels se règle toute prédication chrétienne » (p. 8). Telle est la vision de D. Barsotti, et comme pour nous en apporter aussitôt la démonstration, il nous offre en ce petit ouvrage [11] traduit de l’italien, une très belle prédication adressée à chacun de nous aujourd’hui, une exhortation à croire pour agir : « La morale chrétienne dépend toujours du dogme, de la foi. Seule la foi est génératrice de vie. Nous ne pouvons pas même fonder l’obéissance sur les commandements de Dieu, mais bien sur la foi en un Dieu personnel, qui veut quelque chose de toi » (p. 10).
Un livre sur l’Apocalypse, traduit de l’espagnol, nous arrive du Costa Rica [12]. L’auteur donne différentes clés d’interprétation du genre apocalyptique pour lire le livre lui-même. La conclusion dégage deux lignes de force. D’abord en ce qui concerne le message central de l’Apocalypse : « La réalité eschatologique fondamentale de l’Apocalypse n’est donc pas la fin du monde, mais la résurrection du Christ dans l’histoire présente de notre monde » (p. 231). Ensuite sur la signification apocalyptique pour notre temps : « L’Apocalypse nous aide à créer un nouveau langage historique et libérateur... L’Apocalypse devient le livre préféré des communautés ecclésiales de base et de tous les mouvements ecclésiaux transformateurs de la réalité et réformateurs de l’Église, qui naissent chez les pauvres, les opprimés et les exclus, femmes et hommes » (p. 236). Un livre peut-être dérangeant, mais certainement instructif.
III
La troisième partie des ouvrages plus généraux ou plus thématiques peut s’ouvrir avec Une introduction au Nouveau Testament d’Y. Simoens [13] : « Comme l’indique le sous-titre, ce recueil publie un cours d’introduction au Nouveau Testament donné au Centre Sèvres de 1997 à 2001. Son premier titre disait : Une entrée dans le N.T., son sous-titre primitif : Interprétation du Canon. Il s’agissait en effet de ne pas consacrer trop de temps ni d’énergie à ce que propose toute introduction bien conçue... Le propos consistait plutôt à donner le goût de lire au plus vite les textes, en faisant confiance à l’organisation canonique du N.T. » (p. 7). C’est ainsi qu’au long des seize chapitres, de l’évangile de Matthieu à l’Apocalypse de Jean, l’auteur propose de précieux outils : séquences des péricopes, synopses, structures littéraires, traductions littéraires et structurées. Une bibliographie sélective sur le N.T. clôture ces pages très denses.
Le titre du dernier livre d’André Paul est quelque peu provocateur [14] : Jésus Christ, la rupture. L’argumentaire de l’éditeur est suffisamment éloquent pour situer l’ouvrage : « André Paul n’ajoute pas un livre de plus aux nombreux ouvrages sur Jésus. Il propose une thèse audacieuse et dérangeante : elle vient briser le consensus des clercs et des biblistes sur la figure de Jésus et plus encore sur les méthodes couramment employées. Et si Jésus n’était pas un juif aussi pieux qu’on veut bien le dire ? Et si c’était lui-même et non Paul qui avait instauré et même déclaré la rupture avec le système idéologique d’Israël ? Et s’il avait eu la conscience vive de son rôle de fondateur et, partant, de sa place unique dans l’histoire ? S’appuyant sur une connaissance encyclopédique des textes de la période – notamment ceux de la communauté de Qumrân– et adoptant une démarche rigoureuse mais originale d’historien, André Paul présente une approche neuve de la personne de Jésus et une explication inédite de la naissance du christianisme. »
Nous retrouvons Pierre avec un petit livre de P Gibert qui explicite lui-même sa visée [15] : « Ce livre ne se veut pas un ouvrage de critique exégétique ou historique, il veut avant tout présenter la figure de Pierre telle qu’elle se dégage du Nouveau Testament, telle aussi qu’elle reçoit écho des quelques écrits apocryphes encore proches du ier siècle. Inviter à lire les textes, tenter de les placer dans une perspective qui fasse ressortir le personnage de Pierre dans sa complexité, tel est le projet de ce livre » (p. 7). En effet, Pierre nous apparaît en ces belles pages comme un personnage à la fois lointain et très proche de nous : « premier » des apôtres et figure de tout croyant, de toute personne qui se décide à « suivre Jésus ».
Après Pierre, Paul : J. Guillet, décédé récemment, nous propose tout un itinéraire spirituel pour mieux découvrir la personnalité de Paul ainsi que son rôle d’apôtre auprès des différents peuples du bassin méditerranéen [16]. Une première partie s’appuie sur les Actes des Apôtres pour présenter l’itinéraire de Paul fondateur de tant d’Églises et la réitération en lui de la Passion de Jésus. La seconde partie dégage des lettres pauliniennes la personnalité de Paul et son rayonnement humain, apostolique et intellectuel. En finale, l’auteur expose la théologie de l’Église paulinienne, corps du Christ, c’est-à-dire la réalité de « la présence indestructible du Christ en son Église, au cœur des croyants, à la source de leur vie et de leur action : “Vous êtes le corps du Christ, et vous êtes chacun de ses membres” (1 Co 12, 27) » (p. 176).
Une autre introduction à la lecture des épîtres de saint Paul nous est offerte par M. Quesnel [17]. Tout en donnant de clairs points de repère, l’ouvrage fait le point de la recherche actuelle sur Paul : sa biographie revue par les historiens ; ses relations complexes avec l’Église de Corinthe ; la construction littéraire des épîtres ; ses relations à la loi juive et à Israël ; l’évolution de ses idées ; les œuvres d’imitation, y compris les apocryphes. L’ensemble ne cesse de redire la nécessité de remettre les textes dans leur contexte aussi bien historique que littéraire, pour une juste réinterprétation. Encore une belle invitation à lire Paul lui-même.
A la suite de deux études sur les épîtres aux Colossiens et aux Éphésiens qui manifestaient l’influence d’une liturgie baptismale sur ces deux lettres, M.E. Boismard publie un ouvrage sur le baptême chrétien [18]. L’auteur précise d’abord comment se célébrait la liturgie du baptême au ive siècle en Orient d’après les témoignages des Pères de l’Église. Or, cette liturgie est attestée dans les écrits du N.T., spécialement dans les lettres de Paul. Il est donc possible de se faire une idée assez précise de la liturgie baptismale telle qu’elle était pratiquée aux origines du christianisme et de la comparer avec celle de nos jours. Finalement, un appendice dû à V. Mora, aborde les questions actuelles sur le baptême et la confirmation. Ce livre témoigne d’une solide articulation entre Écriture et théologie sacramentaire.
G. Ravasi nous offre un petit ouvrage dont l’original est en italien, sur la paternité de Dieu dans la Bible [19]. Celui-ci se conclut sur des « pistes pour un approfondissement » révélatrices des orientations du livre : recherche comparée sur la paternité dans les autres cultures religieuses, approfondissement de la notion de Dieu non seulement dans la tradition biblique mais aussi dans la tradition chrétienne, analyse des péricopes et des perspectives évangéliques sur le Dieu de Jésus, étude approfondie du Notre Père, découverte d’une spiritualité d’abandon filial en lieu et place d’une « religion de l’obligation » et de la loi.
C’est précisément sur le Notre Père que se penche le vingt-sixième cahier des éditions de Lumen Vitae rédigé par M. Gourgues [20]. Les deux versions, matthéenne et lucanienne, semblables pour l’essentiel, sont chacune scrutées avec grand soin afin de se laisser enseigner au plus profond. Un fil conducteur tout au long de ces pages : « S’il révèle des traits fondamentaux du visage de Dieu, le Pater révèle en même temps des aspects fondamentaux du mystère humain » (p. 71). Grâce de la prière !
Chargée de Cours en exégèse et patristique, à l’Institut d’Études Théologique (I.E.T.) de Bruxelles.
[1] Fr. Bovon, L’évangile selon saint Luc (15, 1–19, 27), coll. « Commentaire du Nouveau Testament », Genève, Labor et Fides, 2001, 24 x 18, 268 p., 33,50 €.
[2] P. Bonnard, L’évangile selon saint Matthieu, coll. « Commentaire du Nouveau Testament », Genève, Labor et Fides, 2002, 24 x 18, 480 p., 36,45 €.
[3] C. Runacher, Saint Marc, coll. « La Bible tout simplement », Paris, Les Ed. de l’Atelier, 2001, 23 x 17, 158 p., 14,00 €.
[4] P. Rolin, Les controverses dans l’Évangile de Marc, coll. « Études bibliques » Nouvelle Série 43, Paris, Gabalda, 2001, 24 x 16, 383 p., 45,74 €.
[5] G. Bonneau, Stratégies rédactionnelles et fonctions communautaires de l’Évangile de Marc, coll. « Études bibliques » Nouvelle Série 44, Paris, Gabalda, 2001, 24 x 16, 406 p., 46,00 €.
[6] P. Prigent, Ainsi parlait l’apôtre Jean, coll. « Lire la Bible » 122, Paris, Cerf, 2001, 18 x 12, 173 p., 14,00 €.
[7] M. Corbin, Résurrection et nativité. Lecture théologique de Jn 20,1-31. Coll. « Théologies », Paris, Cerf, 2002,24 x 15, 356 p., 28,00 €.
[8] F. Amsler, L’évangile inconnu. La source des paroles de Jésus, coll. « Essais bibliques », Genève, Labor et Fides, 2001, 23 x 15, 128 p., 13,41 €.
[9] P.-D. Dognin, « La foi étant venue ». L’Épître aux Galates, coll. « Connaître la Bible » 25, Bruxelles, Lumen Vitae, 2002, 21 x 15, 64 p., 9,00 €.
[10] J.R Lémonon, dir., Regards sur l’épître aux Galates, Lyon, Profac, 2001, 170 p., 12,20€.
[11] D. Barsotti, Première Épître de saint Pierre, Paris, Téqui, 2001, 21 x 14, 105 p., 9,00€.
[12] P. Richard, L’Apocalypse, reconstruction de l’espérance, Montréal/Bruxelles, Ed. Paulines/LumenVitae, 2002, 22 x 15, 246 p., 30,00€.
[13] Y. Simoens, Entrer dans l’Alliance. Une introduction au Nouveau Testament, coll. « Études biliques » 123, Paris, Médiasèvres, 2001, 30x21, 276 p.
[14] André Paul, Jésus Christ, la rupture, coll. « Histoire », Paris, Bayard, 2001, 21 x 15, 280 p., 18,90 €.
[15] P. Gibert, Simon Pierre, apôtre et compagnon, Paris, Bayard, 2001, 19 x 12, 140 p., 12,20 €.
[16] J. Guillet, Paul, l’apôtre des nations, coll. « Domaine biblique », Paris, Bayard, 2002, 9 x 12, 184 p., 14,00 €.
[17] M. Quesnel, Paul et les commencements du christianisme, Paris, Desclée de Brouwer, 2001,20 x 13, 150 p., 14,50€.
[18] M.E. Boismard, Le Baptême chrétien selon le Nouveau Testament, coll. « Théologie », Paris, Cerf, 2001, 24 x 15, 144 p., 14,00€.
[19] G. Ravasi, La paternité de Dieu dans la Bible, Saint-Maurice, Ed. Saint-Augustin, 2001, 21 x 13, 132 p., 16,00 €.
[20] M. Gourgues, Le Pater. Parole sur Dieu, parole sur nous, coll. « Connaître la Bible » 26, Bruxelles, Lumen Vitae, 2002, 21 x 15, 75 p., 9,00 €.