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Chronique d’Écriture Sainte

Nouveau Testament

Véronique Fabre

N°2001-6 Novembre 2001

| P. 410-419 |

Le seuil du troisième millénaire voit éclore de nombreux livres sur le Nouveau Testament. Nous regroupons en cinq chapitres ceux que les éditeurs ont eu l’amabilité de nous envoyer : le NT en son ensemble, les Évangiles, la personne de Jésus, les écrits pauliniens, l’Apocalypse.

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I

Les éditions Labor et Fides nous proposent deux ouvrages conséquents. Le premier se veut un manuel présentant et synthétisant les acquis de la recherche sur l’écriture du N.T. [1]. Chacun des 27 livres néotestamentaires fait l’objet d’un chapitre où figurent les mêmes rubriques : présentation de l’écrit – milieu historique de production – composition littéraire – visée théologique - perspectives nouvelles – bibliographie. L’approche du livre est historico-critique (le texte est remis dans le contexte historique qui l’a vu apparaître), mais renouvelée notamment par la narratologie (art de raconter) et la rhétorique (art de l’éloquence). Chaque partie de l’ouvrage est rédigée par un spécialiste, enseignant dans une faculté de théologie protestante ou catholique (pour les deux épîtres de Pierre et celle de Jude). En finale, un glossaire définit les termes techniques utilisés, et un index facilite la recherche par thèmes. L’ensemble constitue un outil de travail très précieux, particulièrement utile dans un programme de formation théologique.

Le second livre émanant de Labor et Fides porte sur la théologie du Nouveau Testament. C’est l’œuvre de l’un des précédents co-auteurs, F. Vouga, professeur à la faculté de théologie protestante de Béthel-Bielefeld (Allemagne) [2]. Voici ses propres mots : « Ce livre est une tentative de rendre compte du message essentiel du Nouveau Testament dans sa diversité, dans sa cohérence et dans la pertinence qui est la sienne dans une culture pluraliste » (p. 7). À la vision historique habituelle, l’auteur préfère un ordre de présentation systématique : le salut (ch. 2), la condition humaine (ch. 3), la politique (ch. 5), l’existence après la mort (ch. 7). L’accent est mis sur la personne humaine et sa rencontre avec le message évangélique (ch. 1) à l’intérieur de la philosophie de l’histoire de F. C. Baur et de l’interprétation existentiale de R. Bultmann (ch. 6). Le dernier chapitre conclut l’ouvrage : la diversité théologique comme principe d’unité du christianisme. Si l’on saisit bien que nous est présentée ici non pas la théologie, mais une lecture théologique du Premier Testament, on tirera profit de ce livre dont une des richesses est de réunir les différentes disciplines théologiques encore si souvent fractionnées.

Après Jésus. Le ministère chez les premiers chrétiens examine un point particulier de la théologie néotestamentaire [3]. Ch. Perrot, professeur honoraire à l’Institut Catholique de Paris porte une regard exégétique sur la question, en cherchant à mieux cerner les raisons du décalage entre nos discours actuels sur le ministère et le langage du N.T. Une première section fait l’inventaire des différentes pièces du dossier néotestamentaire. La seconde vise l’essentiel du ministère chrétien en tant que service d’une parole apostolique et prophétique. « Parmi d’autres, l’un des efforts de ce livre sera de déplacer l’application de la dimension médiatrice du ministère - une médiation située au creux du ministère chrétien - du motif sacerdotal, auquel elle est souvent attachée, au motif d’un ministère apostolique et prophétique de la parole où l’Esprit Saint continue de parler et d’œuvrer » (p. 12). Le résultat est éclairant !

Ajoutons encore une traduction en français courant du texte du N.T., parue aux éditions du Signe [4]. Il s’agit d’une édition révisée du texte de 1996 cherchant à rendre avec précision l’original grec dans un langage usuel accessible à un large public. Or, les deux objectifs sont difficilement conciliables car, en sa forme extérieure, la Parole de Dieu n’est pas d’un accès facile. Le chemin pour y accéder est de la lire et de l’interpréter « à la lumière du même Esprit qui la fit rédiger » [5]. Il s’ensuit ici de nombreuses interprétations discutables. Mais peut-être est-ce là pour certains une première étape qui leur permettra d’aller plus loin. Les six cents illustrations accompagnant le texte peuvent aider, ainsi que les éléments d’information en marge du texte, ou encore la liste finale de passages néotestamentaires pouvant servir de « repères » dans la vie quotidienne.

II

Un commentaire de la seconde partie de l’évangile de Matthieu nous vient des éditions Edifac [6]. La faculté de théologie évangélique complète la traduction de la première partie du commentaire sur l’évangile de Matthieu rédigé par R.T. France et paru dans la collection « Tyndale New Testament Commentary » en 1985. Cette traduction, parue aux Éditions Sator, est épuisée et fera l’objet d’une réédition Edifac. Elle nous fournira l’introduction qui manque ici pour profiter pleinement de ce commentaire anglo-saxon. Néanmoins, on peut déjà goûter la clarté des explications s’appuyant souvent sur les termes originaux grecs et sur la tradition juive.

Deux livres très différents concernent l’évangile de Marc. Le premier, de G. Bonneau, enseignant à l’Université de Sudbury au Canada, s’intéresse à la lecture du récit de Marc en tant que commencement de l’Évangile de Jésus-Christ [7]. Jésus y est présenté comme prophète et roi, comme semeur devenu semence. Tel est le mystère que Jésus révèle à ses disciples, appelés à être, à leur tour, semeurs. Marc, héraut de l’évangile de Jésus, en raconte le commencement. C’est alors à la communauté à laquelle il s’adresse de semer la Parole. Le dix-huitième cahier de la collection « Connaître la Bible » s’inscrit dans cette dynamique puisqu’il ne cesse de nous reconduire à la Parole-semence.

La christologie de saint Marc renvoie aux mêmes mots : « Commencement de l’Évangile de Jésus, Christ, Fils de Dieu » [8]. Ici, ils annoncent le programme de l’Évangile, à savoir la vie de Jésus reconnu comme Christ par Pierre (S, 30) et comme Fils de Dieu par le centurion au pied de la croix (15,39). Voici l’Évangile : annoncer en Jésus le vrai Messie attendu par Israël et le Fils de Dieu révélé pour le salut de toutes les nations. L’ouvrage veut rendre compte le plus simplement possible de la manière dont un évangéliste a dit sa foi en Jésus Christ, Fils de Dieu, par le moyen d’un simple récit, autrement dit de sa « théologie narrative » (p. 147). Une première partie expose la christologie des différents acteurs du récit et prépare ainsi à percevoir en une seconde partie la christologie du rédacteur de Marc. L’auteur qui fut professeur à l’Institut catholique de Paris, conduit ainsi son lecteur à découvrir ou à redécouvrir progressivement « l’Évangile de Jésus, Christ, Fils de Dieu ».

Enfin, un dernier livre sur les Évangiles nous change d’horizon [9]. P. Perrier, rompant avec une exégèse exclusivement scripturaire, cherche à replacer l’Évangile dans le milieu araméen et oral où il a vu le jour, dans la ligne des travaux de M. Jousse. Le livre se veut simple, tout en renvoyant les érudits au site internet : www.sarment.net. Appliquant des méthodes mises au point pour la recherche informatique des mots clés et des analogies orales, l’auteur met en évidence les « colliers » et les « filets » qui organisent les textes et gardent trace de l’histoire de leur composition. Ces structures auraient aidé les premiers chrétiens à mémoriser et à transmettre fidèlement « les Mémoires des Apôtres », recueillis par les Apôtres eux-mêmes lors de leur parcours en Galilée vers Jésus ressuscité. Un index et toute une série d’annexes permet au lecteur de suivre l’Auteur dans ses raisonnements qui peuvent parfois surprendre par leur force de frappe.

III

Que sait-on de Jésus de Nazareth ? La question a suscité des débats parfois bien ténébreux... Pour répondre à une demande d’éclaircissements de plus en plus pressante, quatre professeurs de la faculté de théologie de Toulouse ont donné une série de conférences, à l’origine de ce livre [10]. Les chapitres se déploient autour de quatre thèmes : les évangiles apocryphes et les découvertes de Qumrân, le monde où vivait Jésus, la place des miracles et des paraboles dans le parcours et la stratégie de Jésus, la mort et la résurrection de Jésus. L’articulation entre histoire et foi est au cœur de l’ouvrage reposant sur la conviction de l’enracinement historique de Jésus sans pour autant nier le saut de la foi. A. Marchadour conclut son avant-propos en situant l’entreprise dans le sillage du quatrième évangéliste : « Ces signes ont été mis par écrit, pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et pour qu’en croyant vous ayez la vie en son nom » (Jn 10, 31). Nous n’avons pas d’autre ambition dans cet ouvrage que de permettre à des croyants du troisième millénaire de se faire lecteurs, à leur tour, de ces livres pour devenir, eux aussi, croyants et vivre en s’inscrivant dans le sillage du Prince de la Vie » (p. 8).

Le second cahier de la collection « Sens et Foi » présente une catéchèse d’adultes sur la résurrection de Jésus, émanant d’une session organisée par le Centre de Formation Cardijn (Belgique) [11]. Diverses réactions devant la résurrection sont suivies par une étude de l’idée même de résurrection chez différents peuples et dans le monde juif et grec. Ensuite, les textes du Nouveau Testament sont travaillés pour eux-mêmes. Finalement, après un petit clin d’œil des Pères de l’Église, deux questions sont abordées : la résurrection de Jésus est-elle un fait historique ? Quel intérêt la résurrection a-t-elle pour nous ? Voici quelques lignes bien évocatrices de l’ensemble de ce cahier très pédagogique : « L’historien laisse le croyant libre ; il lui donne assez pour lui permettre de croire sans que sa raison soit déchirée par des évidences historiques contraires. Il ne lui donne pas assez pour contraindre son adhésion, ou simplement satisfaire sa curiosité » (p. 130).

Un livre venu d’outre-mer, écrit par un américain d’origine irlandaise, nous entretient des paraboles de Jésus [12]. L’auteur commence par affirmer et expliquer son point de vue : les paraboles sont des fictions constituant un appel au changement, un moyen de confronter les gens. « Dans les paraboles nous apprenons que c’est au-dedans de l’histoire de notre quotidien que se trouve l’histoire la plus profonde de notre salut » (p. 38). Aussitôt, comme pour enclencher ce mouvement de retournement chez ses lecteurs, l’ouvrage va droit au but : Et si l’on commençait par la fin ? (ch. 2). La parabole du jugement dernier (Mt 25, 31-45) « provoque la question : si c’est cela la façon dont nous serons jugés à la fin des temps, comment devons-nous vivre aujourd’hui ? » (p. 41). Les huit chapitres suivants traitent d’une ou plusieurs paraboles sur différents thèmes, jusqu’à la dernière, la parabole du pharisien et du collecteur d’impôts, qui clôture le livre sans ménagement. L’abrupt de la fin renvoie à chaque chapitre comme à un tout contenant sa propre conclusion. Cet ouvrage, d’autant plus instructif que l’auteur connait bien la Bible et les lieux où Jésus a vécu, est à recommander pour qui aime les histoires...

Le Royaume de Dieu. Avant, avec et après Jésus [13]. C. Grappe, professeur de Nouveau Testament à la faculté de théologie protestante de l’Université Marc Bloch de Strasbourg, commence par examiner les représentations associées au Royaume dans le Proche-Orient ancien, à l’intérieur du Premier Testament, particulièrement les Psaumes, et durant la période intertestamentaire. Une perception du Royaume de Dieu s’en dégage, organisée autour d’un centre : le Temple-palais céleste et terrestre. Puis, les passages évangéliques relatifs au Royaume de Dieu sont ensuite analysés : l’annonce du Royaume se substitue au Temple et à son culte tout en assumant et en en récapitulant les diverses fonctions. Enfin, dans le christianisme naissant : le baptême et la Cène sont les lieux où se déploient les différentes harmoniques du Royaume, valorisant la communauté en tant que Temple. Le Père confie à ses fils la responsabilité d’annoncer le Royaume entre la venue et le retour de son Fils. L’ouvrage ne manque pas de technicité, avec de solides outils pour aider à y entrer : dossiers de textes et tableaux récapitulatifs jalonnant l’ouvrage, bibliographie abondante, index des textes cités. « Ce livre ne veut donc pas seulement présenter une thèse mais aussi inviter à un parcours à la découverte ou à la redécouverte de textes dont il nous semble important de comprendre la profonde cohérence » (p. 5).

IV

Saint Paul se laisse découvrir comme Serviteur de notre joie dans le 39e cahier de l’École Cathédrale, rédigé par É. Morin, professeur d’Écriture Sainte [14]. L’ouvrage suit l’Apôtre des nations, de Tarse sa ville natale jusqu’à Corinthe où il commença son activité épistolaire. Pourquoi s’arrêter à Corinthe, alors que son histoire continue au-delà ? L’auteur s’en explique : « Son itinéraire jusqu’à Corinthe dévoile son histoire et l’intégration progressive du mystère du Christ. À Corinthe, il est devenu en vérité l’Apôtre manifestant une sagesse à nulle autre pareille dans sa compréhension du salut offert à tous les hommes, qu’ils soient juifs ou païens » (p. 5). La preuve en est donnée par l’incessant recours de l’auteur aux divers écrits pauliniens pour éclairer cet itinéraire. À travers ce petit livre, c’est la voix de Paul qui résonne, nous entraînant avec lui à la suite du Christ : « Soyez toujours dans la joie, laissez-moi vous le redire, soyez toujours dans la joie » (Ph 4, 4).

Le Père P. Grelot nous offre une lecture suivie de l’épître aux Romains centrée sur l’actualité du message de saint Paul [15]. L’auteur lit l’épître par grandes tranches, au fur et à mesure du déroulement de l’épître, en s’efforçant de voir en quoi chaque passage intéresse nos vies quant à leur dimension spirituelle, morale et sociale. La conclusion reprend l’ensemble en quatre grands points : l’obéissance de la foi, la vie de l’homme nouveau, la vie en Église, l’accomplissement des Écritures. C’est dire la solidité de l’orientation de l’ouvrage qui pourra aider ses lecteurs à pénétrer à l’intérieur de ce monument théologique qu’est l’épître de saint Paul aux Romains.

Enfin, Cent mots-clés de la théologie de Paul sont regroupés en un lexique paru aux éditions canadiennes Novalis, en collaboration avec le Cerf [16]. Ces mots sont empruntés aux sept épîtres reconnues comme authentiques par la majorité des exégètes : Romains, Corinthiens (I et II), Galates, Philippiens, Philémon et la première aux Thessaloniciens. Chaque mot est l’objet d’un développement précédé d’une série de références bibliques et suivi d’un ensemble de termes complémentaires et d’associations de mots. Les substrats hébreu et grec sont éventuellement introduits, et une bibliographie propre à chaque mot-clé situe le commentaire et permet d’aller plus loin. La fin du livre offre une bibliographie générale et différents index. L’ensemble, accessible et solide, devrait rendre grand service à tous ceux qui veulent comprendre la pensée de saint Paul.

V

L’Apocalypse a connu un regain d’intérêt en ce changement de millénaire. Deux livres nous sont arrivés, se complétant l’un l’autre. L’un se présente, en première page de couverture, comme une « lettre ouverte de Jean, auteur présumé de l’Apocalypse, à nos contemporains pour leur expliquer son intention profonde lors de l’écriture de ce livre... et récuser quelques clichés simplificateurs ! » [17]. L’auteur, bibliste enseignant en Bretagne et en Bolivie, précise lui-même les limites imposées à cette fiction : « Oser faire parler Jean de Patmos, c’était donner une permission de minuit à ma subjectivité. Mais je ne pouvais pas, justement, aller au-delà de minuit, c’est-à-dire amener Jean à trancher parmi les hypothèses scientifiquement fondées qui s’affrontent. Je me suis sorti de cette difficulté en faisant dire parfois à Jean que son interprète préfère telle solution parmi les explications proposées » (p. 6). Le résultat est un livre captivant et instructif dans lequel les pièges liés au genre littéraire apocalyptique sont déjoués avec astuce. Notons aussi la coloration américano-latine de l’ouvrage qui aide à aborder l’Apocalypse du dedans : « Celui qui siège sur le trône, dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles » (Ap 21, 5).

En finale du livre que nous venons de présenter, Y. Saoût donne ce conseil : « S’il [le lecteur] désire aborder une exégèse de niveau scientifique, il utilisera avec profit, la nouvelle édition, chez Labor et Fides, du commentaire de Pierre Prigent, qui marquera l’an 2000 » (p. 219) [18]. En effet, ce livre est véritablement une somme, fruit de l’expérience de P. Prigent qui fut professeur de N.T. à la faculté de théologie protestante de l’Université de Strasbourg. Il s’agit d’une version complètement revue de son commentaire de l’Apocalypse de 1981 et corrigée en 1988, intégrant les nombreuses publications sur le sujet parues entre temps. Dans la présentation de son ouvrage, l’auteur nous livre quelques lignes sur l’enjeu de l’Apocalypse qui sont, me semble-t-il, un encouragement à n’avoir peur ni de l’Apocalypse, ni de son étude approfondie : « L’Apocalypse est la révélation d’une réalité auprès de laquelle l’actualité prend presque statut d’apparence. Ce n’est pas un dualisme docète : le monde est vrai et réel, mais il y a une vérité et une réalité supérieures. La transcendance est loin d’être un rêve. Elle est source de vie et assurance de victoire. La temporalité n’est pas abolie, mais elle connaît une totale conversion. Le monde nouveau est un espace de vie que l’on peut découvrir ici-bas » (p. 6).

L’auteur de cette Chronique est chargée de Cours en théologie biblique à l’Institut d’Études Théologiques (I.E. T.) de Bruxelles.

[1D. Marguerat (éd.), Introduction au Nouveau Testament, Coll. « Le Monde de la Bible » 41, Genève, Labor et Fides, 2000, 22,5 x 15, 489 p., 60 CHF/240 frf.

[2F. Vouga, Une théologie du Nouveau Testament, Coll. « Le Monde de la Bible » 43, Genève, Labor et Fides, 2001, 22,5 x 15, 512 p., 60 CHF/240 frf.

[3Ch. Perrot, Après Jésus. Le ministère chez les premier chrétiens, Coll. « Vivre, Croire, Célébrer/Recherches », Paris, Les Éditions de l’Atelier/Éditions ouvrières, 2000, 21,5 x 14,5, 272 p., 110 FRF/16,77 €.

[4Le Nouveau Testament en français courant, Strasbourg, Éditions du Signe, 2001, 22,5 x 14, 618 p.

[5Cf. Dei Verbum 12.

[6R.T. France, L’Évangile de Matthieu, tome 2, Coll. « Commentaire Évangélique de la Bible », 21, Vaux-sur-Seine, Edifac, 21, 2000, 21 x 13,5, 240 p., 140 FRF/21,34 €.

[7G. Bonneau, Le Récit de Marc. Commencement de l’Évangile de Jésus Christ, Coll. « Connaître la Bible » 18, Bruxelles, Lumen Vitae, 2000, 21 x 15, 64 p., 250 bef.

[8M. Trimaille, La christologie de Saint Marc, Coll. « Jésus et Jésus Christ » 82, Paris, Desclée, 2001, 22,5 x 15, 244 p., 150,90 FRF/23,00 €.

[9P. Perrier, Évangiles de l’oral à l’écrit, Paris, le Sarment (Fayard), 2000, 23,5 x 15,5, 304 p., 98 FRF.

[10P. Debergé, A. Marchadour, J. Nieuviarts, J.M. Poirier, Que sait-on de Jésus de Nazareth ? Paris, Bayard, 2001, 20,5 x 15, 298 p., 120 FRF/18,29 €.

[11J.C. Brau (dir.), S’interroger sur la résurrection de Jésus, Coll. « Sens et Foi » 2, Bruxelles, Lumen Vitae, 2001, 21 x 15, 150 p., 590 bef.

[12D. McBride, Les paraboles de Jésus, Coll. « La Bible tout simplement », Paris, Les éditions de l’Atelier, 2001, 23 x 17, 208 p., 100 FRF/15,24 €.

[13C. Grappe, Le Royaume de Dieu. Avant, avec et après Jésus, Coll. « Le Monde de la Bible » 42, Genève, Labor et Fides, 2001, 22,5 x 15, 340 p., 45 CHF/180 frf.

[14É. Morin, Saint Paul, serviteur de notre joie, Coll. « Cahiers de l’École Cathédrale » 39, Paris, CERP-Parole et Silence, 2000, 14 x 21, 108 p., 75 frf.

[15P. Grelot, L’Épître de saint Paul aux Romains, Versailles, Éditions Saint-Paul, 2001, 22,5 x 15, 227 p., 120 FRF/18,30 €.

[16J. Côté, Cent mots-clés de la théologie de Paul, Ottawa/Paris, Novalis/Cerf, 2000, 22,5 x 14,5, 504 p., 196 FRF/29,88 €.

[17Y. Saoût, Je n’ai pas écrit l’Apocalypse pour vous faire peur ! Par Jean de Patmos, Paris, Bayard, 2000, 20,5 x 15, 230 p., 120 frf/18, 29 €.

[18P. Prigent, L’Apocalypse de Saint Jean, Coll. « Commentaire du Nouveau Testament » - deuxième Série XIV, Genève, Labor et Fides, 2001, 23,5 x 17,5, 508 p.

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