Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.

Chronique d’Écriture Sainte

Jean-Louis Ska, s.j.

N°1985-5 Septembre 1985

| P. 308-315 |

Cette année, nous avons regroupé sous trois rubriques les livres que les éditeurs ont eu l’obligeance de nous envoyer : ouvrages écrits en vue de la méditation, ouvrages destinés à la réflexion, ouvrages traitant d’un livre de la Bible en particulier.

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I

Une fois par mois, près de trois mille jeunes se donnent rendez-vous à la cathédrale de Milan pour y prier. Le fait en soi a de quoi étonner, car Milan n’est pas connu pour être un centre de pèlerinages. Au cours de ces réunions, l’archevêque de Milan, le cardinal C. Martini, introduit ces jeunes à la vie de prière. La collection Maranatha [1] publie la traduction de ces entretiens. Après quelques principes de base et certaines méthodes de prières simples, nous trouvons des exposés des principales prières de l’évangile de Luc : prières de Marie, de Siméon, de Jésus et des premiers chrétiens (Actes des Apôtres). Les brèves indications sur la façon de prier seront d’une grande utilité au débutant et à tous ceux qui sont chargés de groupes de réflexion chrétienne. Ils y trouveront des phrases pétries d’expérience sur la valeur du silence, de la position du corps, du rythme de la respiration et de l’échange. Les méditations proposées sont très simples, mais on y perçoit l’écho d’une longue fréquentation avec l’Écriture.

Deux autres volumes, publiés dans la même collection, reprennent les conférences données au cours de retraites sacerdotales, l’une à partir de saint Luc, l’autre, de saint Paul [2]. Le lecteur y retrouvera en filigrane le schéma d’une retraite ignatienne : approche du mystère de Dieu, expérience du pardon et du péché, appel du Christ, passion et résurrection. Mais il verra aussi avec combien de souplesse ce schéma peut être utilisé.

La première des deux plaquettes a pour thème l’évangélisation dans l’évangile de Luc. La première prédication de Jésus à Nazareth (Lc 4,16-30) et l’apparition du ressuscité aux disciples d’Emmaüs fournissent les données de base. L’auteur réfléchit longuement sur le fait que Jésus rencontre un échec dès le début de son activité. Quelques réflexions sur le sacrement de pénitence ou de réconciliation cherchent à redonner vie à une pratique qui court le danger de tomber dans la routine. Puis nous suivons Pierre, lentement éduqué par Jésus à se désapproprier de lui-même pour devenir un instrument docile entre les mains de son Seigneur. L’évangélisateur n’a pas seulement à annoncer le pardon de Dieu, il doit lui-même faire l’expérience de sa propre faiblesse et de la miséricorde infinie de Dieu. Dernier paradoxe enfin, Jésus évangélise plus par sa passion que par sa prédication. Les paroles du ressuscité ne font que confirmer cette intuition : la personne et l’existence du Christ sont le premier message de l’Évangile.

Accompagner saint Paul depuis sa conversion jusqu’à son martyre, voilà un thème de retraite assez séduisant. Sur le chemin de Damas, nous dit le cardinal Martini, Paul a fait autre chose que changer de style de vie (point de vue moral) ou « changer de drapeau ». Sa rencontre avec le Christ a bouleversé toute son échelle de valeurs. Les pages consacrées à l’expérience des « ténèbres » ou aux relations entre Paul et Barnabé montrent la finesse avec laquelle l’auteur réussit à lire dans les âmes et à faire parler les textes. Paul et Barnabé étaient deux tempéraments peut-être trop riches et trop libres pour pouvoir se côtoyer longtemps. Les souffrances de Paul peuvent être comparées à la passion du Christ et elles aboutissent à la « transfiguration » de l’apôtre. Le discours de Milet (Ac 20,17-38) résume admirablement sa prédication.

Ces trois brochures gardent la marque de leur contexte d’origine : style oral, ton familier, remarques de circonstance, cadre d’une retraite ou d’une réunion de prière. Mais la personnalité de l’auteur, sa compétence biblique, son expérience pastorale leur donnent un relief particulier, une profondeur de champ peu habituelle pour ce genre d’écrits.

II

Les livres de réflexion traitent de grands thèmes : Jésus face à ses adversaires, le sabbat et la mort. Le premier nous vient de F. Quéré [3] (cf. Vie consacrée, 1982, 311). « Perfidie et violence épaulent la foi. Paradoxe de l’évangile » (103). « Sévir était servir. Dieu soit loué, Jésus n’a pas compté que des amis » (121). On pourrait multiplier à l’envi les citations peu conformistes de ce livre sur les ennemis de Jésus. Le but de l’auteur est de montrer que ces derniers occupent une place indispensable dans l’évangile. Sans eux, le Christ ne serait pas celui que nous vénérons. Sans eux, pas de passion ni de résurrection. Le livre démarre peut-être un peu lentement (« Qui sont les adversaires de Jésus ? »). Le lecteur y trouvera une sorte de sommaire de ce que contiennent les « Introductions au Nouveau Testament » sur le cadre historique des évangiles. Avec la seconde partie (« Les enjeux »), le ton s’anime. Peu à peu, l’opposition entre Jésus et les pharisiens prend le pas sur leur profonde parenté. Dans la troisième partie (« L’affrontement »), nous avons trouvé quelques pages remarquables. La lecture du récit sur l’impôt de César (79-83) ou du récit de la passion (92-100) en sont deux exemples. Malgré leur aversion pour Rome, les Pharisiens utilisent l’argent de César et Jésus les prend « la main dans le sac ». Le procès de Jésus fourmille d’anomalies et les analyses de l’auteur de fines observations. La dernière partie (« Rayonnement ») regroupe les données de façon systématique. Si nous n’avions que les foules ou les disciples, la figure de Jésus resterait ambiguë. Les partisans restent en effet très souvent superficiels ou intéressés. Les adversaires ne peuvent être soupçonnés de flagornerie. C’est dans leur bouche que la vérité apparaît sans fard. On peut dire que leurs virulentes attaques contiennent comme le négatif de la vraie foi. Si les foules ont souvent projeté en Jésus l’image de leurs désirs, ses adversaires ont rejeté le cœur de son message. De plus, ils l’ont obligé à mettre en équation sa vie et ses paroles jusqu’à la mort sur la croix. L’auteur leur donne le titre de « collaborateurs de l’amour ». La grâce de Dieu les enveloppe et ils font partie intégrante de la texture de la Bonne Nouvelle. On saura gré à F. Quéré d’avoir souligné cette vérité avec autant de fermeté, dans une langue alerte et nerveuse.

Une thèse écrite par un Adventiste du Septième Jour et défendue à l’Université Pontificale Grégorienne de Rome, voilà qui est peu banal. Son sujet est l’origine du dimanche [4]. La lecture suppose une bonne connaissance des sources bibliques et patristiques et une certaine habitude de la réflexion historique et théologique. Les recherches de l’auteur aboutissent en gros à dire que le dimanche chrétien n’est pas d’origine biblique. Jésus lui-même n’a pas aboli le sabbat. Il a voulu lui rendre son vrai sens, celui d’un jour de grâce et de bénédiction, de célébration de la création du monde et de la rédemption d’Israël. Saint Paul non plus ne s’est jamais attaqué au sabbat en tant que tel. Il a continué à l’observer fidèlement. Si les chrétiens ont abandonné le sabbat au profit du dimanche, c’est en raison de plusieurs facteurs historiques. Les persécutions des Romains contre les juifs, les vives controverses entre juifs et chrétiens à partir de la fin du premier siècle ont amené ces derniers à se distinguer de leurs frères en choisissant un autre calendrier liturgique. Ainsi, ils ne seraient plus confondus par les autorités impériales. L’afflux de convertis venus du paganisme, surtout après la conversion de Constantin, convertis influencés par le culte du soleil, a pesé dans la balance en faveur d’un jour déjà en honneur dans le monde romain. Ce n’est qu’a posteriori que les théologiens ont cherché une justification biblique à ce choix (premier jour de la création, jour de la résurrection, mentions du « huitième jour », etc.). Le livre se termine par un plaidoyer en faveur d’un retour à la pratique du sabbat, de préférence à un dimanche paganisé. La thèse est solide et le lecteur pourra difficilement ne pas souscrire à une argumentation serrée. Le spécialiste ajoutera sans doute un bémol ou un bécarre à certaines affirmations, mais ne changera guère l’essentiel de la mélodie. L’ouvrage est peut-être de lecture difficile, mais sûrement très enrichissant.

Il y a dix ans, l’Université catholique de Louvain-la-Neuve avait organisé un colloque sur la mort. Après bien des difficultés, surtout d’ordre technique, trois communications de ce colloque viennent d’être publiées [5] : Mgr Descamps interroge la Bible, L. Elders l’antiquité classique et J. Ries le manichéisme. Nous ne traiterons ici que de la première. Pour Mgr Descamps, la Bible pose deux questions à propos de la mort : pourquoi meurt-on ? Qu’est-ce que la mort ? À la première question, les écrivains bibliques donnent deux réponses. L’une, provenant des milieux de sagesse, considère la mort comme le dénouement naturel de l’existence. Pour un autre courant, plus théologique, la mort est la conséquence du péché. Cette seconde idée est plus riche, car elle ouvre la possibilité d’une rédemption. C’est dans cette ligne que viendra s’inscrire la réflexion paulinienne. Quant à la seconde question, plus générale, elle reçoit aussi une double réponse. Tout d’abord, l’Écriture développe peu à peu la doctrine de la résurrection. Ensuite, l’auteur estime que l’on trouve dans la Bible des conceptions très proches de celles de la Grèce sur l’immortalité de l’âme. C’est par ce biais que les premiers chrétiens ont pu résoudre les problèmes posés par le retard de la parousie. Où restent en effet ceux qui sont morts avant le retour glorieux du Christ ? Il faut admettre l’existence d’une âme immortelle séparée du corps mortel jusqu’à la résurrection de la chair. L’auteur est un érudit et son texte requiert une bonne formation biblique. Signalons en passant deux ouvrages récents sur le même sujet qui, bien sûr, n’ont pu être consultés par Mgr Descamps, décédé accidentellement en 1980 : X. Léon-Dufour, Face à la mort. Jésus et Paul (cf. Vie consacrée, 1980, 317) et l’article « Résurrection » par R. Martin-Achard et J. Schmitt, dans le Supplément au Dictionnaire de la Bible. Il faut sans doute dire que tous les exégètes ne partagent pas les idées de Mgr Descamps sur la conception biblique de l’âme. Il y a un certain écart entre Job, les psaumes, Jésus, Paul, d’une part, et le Phédon ou Antigone, de l’autre. Les deux autres articles traitent de l’évolution des idées sur la mort et le suicide dans la Rome antique et des différentes options qui s’offrent à l’âme, étincelle divine tombée dans la matière, dans les doctrines dualistes du manichéisme. Rédigés par des hommes dont la compétence est bien connue, ces articles complètent harmonieusement un recueil qui s’adresse plutôt à un public spécialisé.

III

Il nous reste à présenter un dernier trio de livres : une traduction du Nouveau Testament, un commentaire des Actes des Apôtres et un autre sur l’Apocalypse.

Nos lecteurs se souviendront peut-être de la traduction d’A. Chouraqui (cf. Vie consacrée, 1971, 52 ; 1975, 54 ; 1976, 309 ; 1977, 311...). Entretemps, l’auteur a publié L’Univers de la Bible en dix volumes. Il met à présent à la disposition du public un ouvrage qui comprend la traduction du Nouveau Testament et l’essentiel des introductions et des notes contenues dans les volumes huit et neuf de son encyclopédie [6]. Juif croyant, il a conçu son œuvre comme un vibrant appel à « l’universelle réconciliation » (11). Il ne veut pas troubler les chrétiens dans leur foi, mais puiser dans le message de Jésus suffisamment de raisons pour unir toutes les forces des hommes de bonne volonté en vue de sauver une humanité en péril. Nous ne reviendrons pas ici sur les qualités et les difficultés de la traduction d’A. Chouraqui, qui fait affleurer au détour de chaque mot et de chaque phrase le substrat sémitique de la langue du Nouveau Testament. La lecture de cette traduction intrigue, irrite ou enthousiasme selon les tempéraments. Elle ne laisse jamais indifférent. Dans les introductions, spécialement celles des Actes des Apôtres ou des lettres de Paul, l’auteur énonce sa position sur les rapports entre la Synagogue et l’Église. Il semble vouloir les rapprocher au maximum. Avant d’être divisés, juifs et chrétiens ont dû lutter contre l’empire romain. Ce qui les sépare n’est pas d’ordre théologique, mais « téléologique » (conception de la fin). L’Église veut convertir tous les païens. La Synagogue est d’abord occupée à sauver l’héritage de sa foi et de sa culture. Les objections de Paul contre ses frères ne vont pas au-delà des querelles d’écoles au sein du judaïsme, nous dit A. Chouraqui. Est-ce minimiser l’enjeu du début ? Peut-être. Mais n’est-ce pas aussi une autre façon d’affirmer ce que Paul et les apôtres n’ont cessé de répéter, qu’ils étaient d’authentiques héritiers des promesses faites aux patriarches ? D’où vient la sève qui circule dans les sarments de l’olivier sauvage greffés sur l’olivier franc (Rm 11,17-24) ?

Après ses réflexions sur l’Exode (cf. Vie consacrée, 1978, 317), Y. Saoût, missionnaire au Cameroun et spécialiste de l’Écriture sainte, confronte son expérience à celle des premiers chrétiens [7]. Il ne s’agit pas à proprement parler d’un commentaire des Actes des Apôtres. L’auteur a plutôt creusé trois grands thèmes actuels (le pouvoir, l’avoir et le savoir) en mettant à profit les grands textes des Actes. Le langage se veut simple et accessible au non-spécialiste. Par ailleurs, l’information est très poussée. La bibliographie et les notes, regroupées en fin de volume, en font foi. Le plan de l’ouvrage est réfléchi, même s’il peut surprendre puisque le discours d’Étienne (Ac 7) ouvre le feu et que le récit de la Pentecôte (Ac 2) n’est lu que tout à la fin. En général, l’auteur débute par une lecture attentive des textes, ensuite il donne un aperçu du contexte historique du passage en question si cela s’avère nécessaire et il termine par des « Réflexions pour aujourd’hui ». Certains trouveront la lecture des textes un peu plus difficile, peut-être, qu’ils ne l’attendaient. Les données historiques sont, à notre avis, parmi les pages les plus instructives de ce volume. Quant aux « Réflexions », elles susciteront probablement diverses réactions. Admirons surtout le courage et la franchise de l’auteur. Il ne recule pas devant la difficulté de remettre en question les liens entre le christianisme et une certaine culture européenne. Pourquoi faut-il, par exemple, que l’eucharistie soit célébrée avec du pain et du vin importés à grands frais d’Europe et non pas avec du vin de palme et des galettes de mil ? La question est posée, mais l’auteur n’impose pas de réponse. Après avoir refermé le volume, il nous semble cependant qu’il aurait gagné à décanter, à mûrir davantage. L’auteur nous livre, parfois un peu en vrac, le fruit de ses études, de ses réflexions, ses notes de lecture (surtout des Frères Karamazov de Dostoïevski !) et ses questions. Le tout est certes stimulant, mais trop de problèmes sont abordés pour pouvoir être traités avec toute la précision requise. Il n’empêche que personne ne regrettera de consulter cet ouvrage pour entrer dans le monde des Actes des Apôtres.

L’Apocalypse connaît un certain succès ces derniers temps et pas seulement parmi les exégètes. Un auteur italien développe à ce sujet une thèse originale que la traduction française résume en reprenant le titre d’un film : « L’Apocalypse maintenant [8] ». Selon E. Corsini, les visions de ce livre n’ont pas pour objet des événements futurs, mais bien le présent de la vie du croyant, l’entrée dans le mystère de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. Comme le souligne X. Léon Dufour dans sa préface, cette position a plus d’un avantage. Pourquoi, en effet, l’Apocalypse réveillerait-elle l’espoir d’un retour imminent du Christ, alors que cette attente s’estompe dans le reste du Nouveau Testament ? Pour la primitive Église, les Écritures sont accomplies par la première venue du Christ. Pourquoi le seraient-elles uniquement par la seconde dans l’Apocalypse ? Les discours « apocalyptiques » que nous trouvons dans les évangiles synoptiques peuvent s’interpréter dans le même sens. La « profanation du temple » prédite par Jésus ne vise pas d’abord la destruction de celui-ci par les armées romaines, mais ce qui advient lors de la crucifixion. C’est la passion qui change totalement le culte juif. Les écrits johanniques, qui insistent tant sur ce qu’on a appelé « l’eschatologie anticipée », c’est-à-dire l’anticipation de la gloire future dans la vie de foi au Christ, seraient alors en pleine harmonie avec l’Apocalypse, attribuée au même apôtre. Paul non plus ne serait pas éloigné de ce message, lui qui dresse la croix au centre de sa prédication. L’auteur en est arrivé à cette conclusion en cherchant la clé de lecture du texte biblique dans la cohérence interne de ses images et de ses énoncés sur le fond plus large du reste de l’Écriture. Il n’a pas voulu rechercher cette clé dans des événements extérieurs à la révélation biblique (et tirés de l’histoire profane de l’empire romain). Ainsi, la « bête de la mer » et la « bête de la terre » (Ap 13,1-18) désignent surtout la corruption du pouvoir politique et du pouvoir religieux. La « grande prostituée » (Ap 17) n’est pas Rome, mais la Jérusalem qui a rejeté Jésus-Christ. L’auteur relie également les symboles entre eux et voit par exemple une continuité dans toutes les aspirations de la « femme » ; elle serait un résumé de l’histoire du salut, tout d’abord figure de l’humanité, puis de l’Israël des promesses, de l’Israël déchu et enfin de l’épouse de l’Agneau. Le plan de l’Apocalypse est basé sur la reprise des mêmes thèmes et la charpente en est fournie par les quatre septénaires : les sept églises, les sept sceaux, les sept trompettes et les sept coupes. La première épître de Jean n’utilise-t-elle pas le même procédé, selon certains ? Index et tables complètent ce livre agréable à lire malgré la technicité des problèmes qu’il aborde. La thèse est solide, même si les spécialistes en discuteront plus d’un point. Elle éclaire et renouvelle surtout la lecture d’un texte qui reste trop souvent énigmatique.

Via della Pilotta 25
I-00187 ROMA, Italie

[1Card. C. M. Martini. Itinéraire de prière avec saint Luc. Coll. Maranatha, 2. Paris, Médiaspaul, 1984, 20 x 13, 112 p., 50 FF.

[2Card. C. M. Martini. L’évangélisateur en saint Luc. – Saint Paul face à lui-même. Coll. Maranatha, 5 et 3. Paris, Médiaspaul, 1985 et 1984, 190 et 160 p., 66 et 57 FF.

[3Fr. Quéré. Les ennemis de Jésus. Paris, Seuil, 1985, 21 x 14, 180 p., 69 FF.

[4S. Bacchiocchi. Du sabbat au dimanche. Une recherche historique sur les origines du dimanche chrétien. Coll. Bible et vie chrétienne. N.S. Référence. Paris, Lethielleux, 1984, 22 x 16, 304 p., 100 FF.

[5La mort selon la Bible, dans l’antiquité classique et selon le manichéisme. Actes d’un colloque de Louvain-la-Neuve, édités par J. Ries. Louvain-la-Neuve, Centre d’histoire des religions, 1983, 26 x 16, 166 p.

[6Un Pacte neuf. Le Nouveau Testament, traduit et présenté par André Chouraqui. Bruxelles, Éd. Brepols-Lidis, 1984, 20 x 13, 600 p.

[7Y. Saoût. Cette activité libératrice... Étude des Actes des Apôtres. Les disciples de Jésus devant le pouvoir, l’avoir, le savoir. Coll. École de la foi. Paris, Marne, 1984, 22 x 14, 360 p., 135 FF.

[8E. Corsini. L’Apocalypse maintenant. Coll. Parole de Dieu. Paris, Éd. du Seuil, 1984, 21 x 14, 350 p., 110 FF.

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