Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.

Moins de communications pour plus de communication ?

Piet Penning De Vries, s.j.

N°1972-3 Mai 1972

| P. 159-167 |

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La vie religieuse traditionnelle ne semble pas favorable à la multiplicité des communications : que l’on pense aux règles du silence, aux habitations séparées, aux grilles... À l’heure actuelle, ces règles et ces coutumes sont de plus en plus mises en question au nom des frustrations qu’elles engendrent ou peuvent provoquer.

La communication avec les autres n’est-elle pas le seul moyen de devenir homme, dans le face à face du dialogue et le partage des préoccupations de ce monde ? Dans ces échanges, la sexualité joue un rôle irremplaçable. Il ne s’agit pas du « génital », mais, plus profondément, de l’être homme ou femme : sans rapports équilibrés homme-femme, l’être humain peut-il atteindre son épanouissement ?

Ces données fondamentales de la psychologie ne doivent-elles pas trouver leur épanouissement surtout dans une religion qui, dès ses premières origines (relisez la Genèse), se veut une religion d’amour ? Personne est-il en droit de se croire exempté de cette obligation, quelque religieuse que soit l’inspiration qui commande le service qu’il veut rendre au monde ?

Qu’elles soient affirmées avec violence ou suggérées sous forme d’interrogations, ces propositions finissent par se grouper en un système capable de menacer dangereusement la liberté intérieure requise pour la méditation, le silence, la solitude, le contact avec Dieu, le retrait du monde, le retour sur soi, le recueillement. D’où cet article, qui se propose d’examiner ces pratiques, d’en découvrir les fondements, les motifs et les buts : cela a-t-il encore un sens, pour des hommes et des femmes du XXe siècle, de s’y adonner et d’y réfléchir ?

Nous entreprendrons cette recherche par le biais de l’histoire. Notre époque n’est point la première à connaître de profonds bouleversements, qui semblent remettre en question toutes les valeurs et les manières de faire traditionnelles. La Renaissance, puis la Réforme provoquèrent dans l’Église des secousses et des ébranlements qui ressemblent, à bien des égards, à la situation que nous vivons aujourd’hui. C’est pourquoi nous interrogerons les documents où les premiers Jésuites et leur fondateur ont fixé leur attitude dans le domaine qui nous intéresse.

Si nous le faisons, c’est assurément que, comme Jésuite, nous connaissons mieux cette histoire (nous avons même la persuasion – illusoire peut-être – de la comprendre quelque peu de l’intérieur, pour avoir essayé d’en vivre). Mais c’est aussi parce que nous croyons que les choix d’Ignace et de ses premiers compagnons peuvent encore être éclairants pour notre temps. Nous nous trouvons en effet devant un groupe d’hommes qui se sentent appelés à s’occuper activement de tout ce qui concerne leur temps. On leur a même souvent reproché de s’insinuer partout : ils deviennent les confesseurs des rois et des puissants de ce monde, leurs conseillers même en matière politique, ils prennent vite une place prépondérante dans l’éducation et la recherche scientifique de leur temps. Voilà certes des gens qui ne se croient nullement appelés à une vocation de moines adonnés au silence et réservant tout leur temps à la contemplation. Il n’en sera que plus intéressant d’examiner les restrictions de communication qui, dans ce groupe, sont devenus la règle : quelles sont-elles ? quels motifs a-t-on invoqués pour les justifier et permettre ainsi d’accepter et d’intégrer les frustrations qui en découlent nécessairement ?

Remarquons en passant que les vœux eux-mêmes incluent déjà une importante limitation de la communication. Certes, ils ne signifient pas qu’on ne ressent point le désir de telle communication, mais bien que l’on éprouve un besoin plus grand d’autre chose, en laquelle on perçoit une valeur supérieure. Mais cette autre chose n’est pas toujours aussi immédiatement parlante. C’est pourquoi le choix fait jadis peut être remis en question, subir de nouveaux assauts : l’infidélité au choix primitif est dans l’ordre des possibilités.

Puisqu’il en est ainsi, il va de soi que l’on peut traduire l’attitude choisie dans des directives qui jouent un rôle analogue à celui des lignes blanches sur un terrain de football. Assumer ces limitations dans le tout de sa personnalité demande une attention et un effort particuliers si l’on veut aboutir non à des frustrations, mais à la réalisation de soi sur le modèle que l’on s’est précisément proposé.

Au moment où l’Ordre naissant se répand à travers le monde (envahit tout, disent ses adversaires), sept limitations à la communication avec autrui s’imposent et deviennent la règle : limitation dans le temps et le rôle de la communication, dans le ton de voix et la manifestation des sentiments, dans le choix des personnes et des sujets de conversation, enfin limitation des communications non-verbales. Nous allons les passer en revue à la lumière des documents de l’époque : pour chacune d’elle, nous nous demanderons comment les premiers Jésuites la justifiaient et le sens qu’ils lui découvraient.

1. Temps limité

Entre jésuites, le silence est la règle : point de parole qui ne soit justifiée « par la nécessité ou l’édification [1] ». Pour le dire en passant, nous voilà loin de ces couvents où l’on est passé d’un excès à l’autre : d’un silence crispé à un bavardage superficiel non moins crispé. L’on justifie parfois ce bavardage au nom de « l’être-avec ». Mais avec quoi ou avec Qui ?

En tout cas, vivre un silence authentique n’est point chose à laquelle on parvient rapidement, mais cela se perd terriblement vite. On comprend dès lors que des règles protectrices s’indiquent, et pour se protéger soi-même, et pour offrir à autrui l’occasion de découvrir la valeur de ce silence.

Chose curieuse à première vue, le fondement donné ici par Ignace à cette attitude est l’humilité. Comprenons : la conscience de sa propre petitesse, conscience d’où découle que l’on ne recourt pas volontiers à de grands mots et même que l’on sent vite que parler vous dépasse. Ne peut-on penser que pareille attitude ouvre la porte à la rencontre entre le caractère mystérieux des hommes et des choses et le mystère de Dieu : un moineau à la fenêtre, une mouette dans la cour, ou même un malade dont la sclérose multiple se développe, n’est-ce point partout et en tout Dieu qui se laisse découvrir ?

Ailleurs, Ignace fait découler cette attitude de silence d’une attention au Dieu vivant : « en présence de leur Créateur et Seigneur [2] ». Limitation donc d’une forme de communication humaine non pour le silence lui-même, mais précisément en vue d’une autre communication : la communication avec Dieu, avec lequel nous souhaitons nous entretenir avec confiance et familiarité. Il ne s’agit donc nullement d’un moindre besoin de communication, tout au contraire. Si l’on ne s’oriente pas uniquement vers les communications entre hommes, c’est parce qu’il y a communication de la part de Dieu. Le fondement dernier du silence est donc un langage. Avec Dieu. Et de Dieu.

2. Rôle limité

Lorsque la communication avec Dieu est une réalité pour quelqu’un, ses contacts humains peuvent non seulement être réduits, mais encore se dérouler autrement. Dans ce contexte, Ignace parle de « désirer nous entretenir avec Dieu seul, et avec le prochain par amour de lui, et non à cause de nos goûts et pour tuer le temps [3] ». Parce que la communication doit fournir moins d’aliment au sentiment personnel, il devient possible de la purifier.

Mais ne court-on point de la sorte le danger de devenir des êtres qui font pitié à cause de leur incapacité à se mouvoir avec aisance au milieu des autres ? Le danger est réel. Pis encore, l’incompréhension et le mépris qui se manifestent parfois dans cette pitié peuvent provoquer une frustration plus grande que la gaucherie elle-même. Il n’y a moyen d’éviter ce danger que si la communication est réellement purifiée de toute recherche intéressée. Alors le contact peut s’établir bien davantage à cause de l’autre et par le fait de celui-ci. Mais ceci demande que l’on juge à leur vraie valeur ses propres préférences et répulsions, en un mot, tous ses sentiments personnels envers autrui. « Faites l’amour, non la guerre » n’est pas chose facile à réaliser : il faut, pour cela, la maîtrise de soi et une mortification énergique des sentiments moins profonds, moins évangéliques.

Par là, on peut rendre à d’autres le service d’être disponible pour leur contact avec Dieu. Lorsque, par une saine discrétion, on réserve ses propres problèmes pour Dieu, soi-même et son directeur spirituel, lorsqu’on ne transfère pas sur autrui ses goûts et ses dégoûts, on peut se présenter à lui en toute liberté et s’offrir à servir à son contact avec Dieu. Dans un service tout à fait fonctionnel donc, pourvu que l’on comprenne bien cette expression, telle que nous venons de la souligner. Ce n’est point chose aisée et cela ne coïncide jamais parfaitement avec les penchants personnels d’un individu : personne ne naît directeur spirituel.

Être au service d’autrui à cette profondeur est tout un problème, parce qu’on ne peut laisser des vues ou des goûts personnels interférer dans cette tâche pour la gauchir ou l’entraver. Rendre cette unique communication possible demande la limitation ou la suppression de nombreuses communications (Que le directeur spirituel ait lui aussi à se faire diriger n’a pas à être développé ici [4]).

3. Modération des sentiments

Lancer spontanément à la tête des gens tout ce que l’on pense n’est donc pas indiqué. « Que le langage de chacun soit modeste et pondéré [5] ». Ce qui est visé ici est une communication à laquelle il faut s’exercer de son mieux, une communication tellement vraie et sincère qu’elle jaillisse du fond du cœur et de la foi qui l’habite : alors tout vain bavardage s’élimine de lui-même. Ces limitations sont donc au service de la communication : elles sont fonctionnelles, mises au service d’une communication qui part de Dieu et de l’expérience qu’on a de Lui, et donc aussi d’une foi plus profonde dans les possibilités de cette communication même.

Ici encore, c’est l’humilité qu’Ignace donne comme source de cette attitude : « Que l’humilité intérieure se montre à l’extérieur... aussi ne doit-on discuter avec personne de façon désordonnée et avec entêtement [6] ». Les autres ne sont pas pour nous une occasion de réagir, d’assurer notre propre bien-être psychologique : ni un excitant, ni un calmant. Aussi « dans la conversation, faut-il se montrer modéré, non triste ni sévère, mais pas non plus excité ou désordonné : au contraire, il faut garder un juste milieu, conforme à la parole de l’Apôtre : « Que votre modestie soit connue de tous [7] ». Ce n’est certes pas chose aisée, mais quel intérêt y aurait-il à la mettre par écrit si elle allait de soi ? Avec beaucoup de réalisme, Ignace fait même l’application du principe aux cas difficiles : cela va de la maladie [8] à la situation du supérieur [9]. A ce dernier Ignace rappelle l’avertissement traditionnel : la retenue dans l’expression ne doit pas atteindre un point tel qu’on ne sache plus ce qu’il pense : « pour des manquements publics, il faut que la pénitence soit publique [10] ».

La purification de l’intérêt pour soi-même entraîne aussi que l’on s’intéresse moins à l’autre tel qu’un regard superficiel le découvre sous ses aspects attrayants ou repoussants. On croit – et ce qui, pour la foi, est une gageure, est scandale ou folie pour qui ne croit pas –, on croit à la possibilité de rencontrer l’autre en profondeur, précisément parce qu’on n’en reste point aux apparences, agréables ou non. Mais, sans une certaine expérience intérieure faite dans la foi, un contact de ce genre apparaît comme une manifestation de dureté et d’insensibilité plutôt que d’un amour surnaturel bien compris.

4. Modération du ton de voix

La modération des sentiments se traduit spontanément dans le ton de la voix ; aussi ce paragraphe n’est-il qu’un complément du précédent.

Il va sans dire (c’est le cas de prendre l’expression au pied de la lettre) que la pratique du silence rejaillit sur la parole elle-même : celle-ci en devient, si l’on peut dire, plus silencieuse, on s’exprime en moins de mots, moins appuyés, et ceux-ci baignent dans le silence. Selon l’expression familière, on chante un ton plus bas. Telle est aussi l’expression employée par Ignace : « à voix basse ou étouffée ». A première vue, cette prescription se justifie par une raison tout à fait pratique : assurer le calme et le silence dans la maison, ne pas déranger les autres [11]. Mais agir de la sorte est déjà faire preuve d’humilité et celle-ci est explicitement mentionnée : « Tous doivent parler à voix basse... de telle sorte que personne ne dérange les autres et que ceci soit signe d’humilité [12]. » C’est tout autre chose que de s’efforcer d’assourdir et d’écraser l’autre en forçant la voix et en haussant le ton.

Ce qu’il y a d’étonnant et même d’admirable dans ce style de vie à première vue assez extraordinaire, c’est que, nulle part, il n’y est question d’étouffer les sentiments ; au contraire, ceux-ci, loin d’être refoulés hors de la vue de l’intéressé, ont à être gardés par lui devant ses yeux, maîtrisés et réglés dans la foi.

Il nous faut rencontrer ici une objection qui n’est pas dénuée de fondement : le résultat auquel aboutit cette ascèse ne sera-t-il pas de nous donner un individu que l’on fuira comme la peste, quelles que soient par ailleurs sa grandeur morale, sa compétence et ses autres qualités, réelles ou supposées ? Il faut le reconnaître, le défi lancé de la sorte à la nature est brutal : on court certes le risque de sombrer dans la neurasthénie et l’absence de joie de vivre, mais aussi la chance de déboucher sur une foi qui intègre tout. Il en résultera une communication qui ne sera pas du genre : « pourvu qu’il y ait communication », mais une communication qui s’efforce de s’approfondir et y prend goût.

5 et 6. Choix des personnes et des sujets de conversation

Ces deux points vont de pair, aussi les traiterons-nous ensemble. Si le silence est la règle, le choix des interlocuteurs prend figure d’exception. Ceci aide à situer certaines prescriptions, à première vue dures et injustifiées.

Ainsi les débutants, encore peu entraînés au bon usage de la parole, se verront-ils spécialement recommander le silence : « Entre eux, qu’ils observent le silence... qu’ils fréquentent de préférence des gens doués de maturité et de prudence [13] », des gens capables donc, par leur exemple plus encore que par leurs conseils, de leur apprendre cet art difficile. Une application loyale de cette règle limite forcément le nombre de ceux avec qui s’entretenir : la maturité vraie ne court pas les rues [14].

Une autre restriction se comprend de même : il faudra faire attention à ceux qui sont de rapport difficile [15], mais plus encore à la fragilité spirituelle : « que l’on ne laisse point converser entre eux des gens relâchés, ni ceux qui sont l’objet des mêmes tentations [16] ». Il est à peine besoin de souligner que le choix de pareils interlocuteurs mènerait presque fatalement à des conversations qui pourraient s’avérer particulièrement dangereuses pour les partenaires.

Dans toutes ces directives, nous découvrons donc un appauvrissement des contacts pour un enrichissement du contact. Ce n’est certes pas en multipliant les contacts, avec la superficialité qui en est la suite presque inévitable, qu’on aboutit à l’approfondissement du contact. Car, pour se fortifier à ce niveau de profondeur, le contact demande une profonde loyauté dans le respect qu’on porte au mystère de la foi.

Plus le projet de vie est riche de sens, plus il détermine la communication, dans le choix des personnes comme dans celui des sujets : « Ce qui ne contribue pas au progrès de l’âme, comme le désir de connaître tout ce qui se passe [17] », doit céder la place à ce qui édifie [18], soi-même ou l’interlocuteur.

7. Communication non-verbale

Pour être complet, disons un mot de cet aspect aussi. Il est impensable, en effet, qu’une telle mortification de la communication verbale n’entraîne pas de restriction dans l’expression non-verbale.

Ce qui nous étonne davantage, nous qui avons conservé de l’ère victorienne une fixation sur le domaine sexuel, c’est le motif mis en avant pour justifier cette sobriété. Nous nous attendrions à ce que des directives de discrétion dans les contacts corporels soient sous-tendues par une mise en garde contre les dangers d’ordre sexuel ; dans cette optique, un lecteur avisé n’aurait pas de peine à découvrir, en arrière-fond, un certain mépris du corps.

Il n’en va nullement de la sorte pour Ignace. L’usage modéré de la parole, tel qu’il le prône, n’inclut aucun mépris pour celle-ci, bien au contraire : il est commandé par un respect profond pour le rôle éminent qu’elle peut jouer. Il en va de même dans la modération qui est demandée à l’expression corporelle : ce qui la commande, ce ne sont point des préoccupations morbides, fruit d’une jalousie de célibataires ou d’une angoisse nerveuse devant la vie, mais « le sérieux et la modération qui conviennent à des religieux [19] ». Sereine et souple, cette règle permet toutes les adaptations raisonnables aux coutumes de l’époque et du pays : Ignace prévoyait explicitement, en bon Méridional qu’il était, que l’on s’embrasse à l’arrivée et au départ.

Que conclure de ce tour d’horizon ?

La première impression, avouons-le, est sans doute celle d’un dépaysement analogue à celui que nous ressentons en feuilletant un vieil album de famille ou un magazine du début du siècle : que les costumes de ces âges révolus étaient donc étranges ! Certes, les anciens parmi nous se rappellent avoir été formés selon ces règles, mais qu’en reste-t-il à l’heure actuelle ? On a l’impression qu’un énorme raz de marée a tout balayé et certains s’en félicitent. Il serait assurément illusoire, même si l’on ne partage point leur optimisme, de vouloir en revenir sans plus aux modes et aux coutumes d’antan. Mais n’y a-t-il rien à prendre dans la sagesse dont elles étaient la traduction ? L’application que nous en ferons aujourd’hui aura certes à être neuve par bien des aspects, sinon elle ne serait qu’un pauvre décalque du passé, non un fruit nouveau de cette sagesse éternelle. Il restera toujours vrai, croyons-nous, – et c’est l’essentiel du message d’Ignace et de ses premiers compagnons – que la communication ne peut s’instaurer et se maintenir à un certain niveau de profondeur religieuse sans les limitations qui en sont la condition nécessaire, mais que ces limitations ne gardent leur sens que si leur motivation religieuse reste vivante et est perçue comme telle. Tâche difficile sans doute, mais ne serait-elle peut-être point celle qui nous est demandée aujourd’hui ?

St.-Ignatiuscollege
Hobbemakade 51
AMSTERDAM-Z., Nederland

[1Monumenta Historica Societatis Iesu, vol. 71 (= MHSI 71) : Monumenta Ignatiana, série 3, tome 4, Rome, 1948, p. 82, 141 ; cf. aussi Exercices Spirituels, n. 40 et Constitutions, n. 701 et 702.

[2Constitutions, n. 701.

[3MHSI 71, p. 82, 141 ; cf. Constitutions, n. 247, 250, 280.

[4MHSI 71, p. 88-89, 142 ; Exercices Spirituels, n. 332-333 ; Constitutions, n. 263 ; Sommaire des Constitutions, n. 41.

[5MHSI 71, p. 225 ; cf. 82, 85-90, 141-143 ; cf. aussi Exercices Spirituels, n. 80 et Constitutions, n. 270, 273, 726.

[6MHSI 71, 85-86.

[7MHSI 71, p. 88-90, 143.

[8Constitutions, n. 273.

[9Constitutions, n. 270, 726.

[10Constitutions, n. 270 ; le texte a (3e partie, chapitre 2, n. 28) donne comme source Chrysostome (PG 58, col. 583-585).

[11MHSI 71, p. 72, 86, 163, 194, 225, 289 ; cf. Règles communes, n. 24 (anciennement 27).

[12MHSI, 71, p. 288 ; cf. Constitutions, texte a, III, 2, 7, et Règles communes, n. 13 (anciennement 26).

[13Constitutions, n. 249 ; cf. n. 247 et texte a, III, 2, 4.

[14MHSI, 71, p. 88-90, 193-194, 292, 298.

[15MHSI 71, p. 163.

[16MHSI 71, p. 225.

[17MHSI 71, p. 82, 141 ; cf. p. 225, et aussi Constitutions, n. 823, et Règles communes, n. 11 (anciennement 28).

[18MHSI 71, p. 82, 88, 141, 558-562 ; Constitutions, n. 247, 726.

[19Règles communes, n. 25 (anciennement 32) ; cf. MHSI 71, p. 288-290, 561.

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