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Chronique du Nouveau Testament

Dany Dideberg, s.j.

N°1971-5 Septembre 1971

| P. 309-316 |

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En tête de cette nouvelle chronique du Nouveau Testament, nous placerons d’abord deux ouvrages généraux, d’ailleurs fort dissemblables.

Le premier est la nouvelle traduction du Nouveau Testament [1] que Jean Grosjean et Michel Léturmy présentent, avec notes, cartes, index de personnes et concordance, dans la luxueuse « Bibliothèque de la Pléiade ». Le texte utilisé est celui de Nestlé et de Merk. La traduction obéit aux principes suivants : fidélité au vocabulaire, au mouvement, au ton de chaque texte. Une introduction originale et savoureuse figure en tête de chaque texte : riche d’une information sur le milieu culturel, elle est vide de toute considération théologique. Parce qu’à la limite traduire c’est interpréter, plus d’un passage prêtera à discussion. Pourquoi avoir traduit « ressusciter » par « élever », « croire à » par « se fier à », « bienheureux » par « magnifique »... ? La recherche d’un langage nouveau n’aboutit-elle pas à affaiblir le sens des termes bibliques ? Mais le lecteur goûtera souvent l’élégance, voire la poésie, de cette nouvelle traduction.

En second lieu, signalons la réédition en livre de poche de L’histoire de Jésus-Christ [2] du Père Bruckberger, augmentée en fin de volume de notes et d’une lettre de Jacques Maritain. En retraçant les principales étapes de la vie de Jésus, ce livre s’interroge sur le fait unique d’un Dieu fait homme et veut y rendre sensible l’homme contemporain.

Lire les Évangiles

Les récits de l’enfance du Christ tels qu’ils se présentent chez Matthieu et Luc ont fait l’objet de multiples recherches. Quelle part appartient, dans ces récits, à l’histoire, à la présentation littéraire, à la réflexion théologique ? Le Père Winandy [3] tente ici de répondre à cette question à propos de la naissance du Christ et des circonstances qui l’entourent. Il réussit à montrer dans ces événements de l’enfance du Christ leur réalité historique et leur signification pour la foi.

À l’écoute du Notre Père [4] condense, sous une forme accessible à un large public, les recherches approfondies que Jean Carmignac a consacrées au Notre Père dans une copieuse thèse de 600 pages. Fondateur de la Revue de Qumrân et spécialiste des documents de la Mer Morte, nul mieux que lui n’était qualifié pour redéfinir les termes de chaque demande du Pater, situer cette prière à l’intérieur du Nouveau Testament et en montrer la richesse spirituelle à la lumière de la tradition chrétienne. La traduction qu’il propose du Pater laisse pressentir les principales acquisitions de son étude. Le lecteur appréciera la densité de cet essai ; il regrettera sans doute que la traduction œcuménique du Pater n’ait point bénéficié d’une telle recherche.

Le nouveau volume que le Père Béda Rigaux consacre à « l’histoire de Jésus » a pour objet Le témoignage de l’évangile de Luc [5]. Comme dans les volumes précédents sur Marc ou Matthieu, l’auteur étudie d’abord le troisième évangile comme une œuvre littéraire et décrit le but et la personnalité de Luc, le style, les sources et la structure de son écrit. Analysant ensuite les discours et les récits, il parcourt les différentes sections de l’évangile depuis le récit de l’enfance jusqu’à celui de la passion-résurrection du Christ. Il dégage enfin le message doctrinal de Luc en abordant plusieurs thèmes importants tels que le Règne de Dieu, Jésus, prophète, sauveur, Seigneur et Fils de Dieu, l’homme nouveau et la solidité des paroles. Ce volume comporte également une abondante bibliographie, trop touffue à notre avis. Comme tel, cet ouvrage fournit, d’une manière claire et commode, un état de la question des recherches et constitue en langue française un excellent instrument de travail pour l’étude du troisième évangile.

Le livre que Jean Colson [6] consacre également à saint Luc est d’un autre genre que le précédent : non pas œuvre d’érudition, mais de spiritualité. Bien connu par ses nombreuses études sur les ministères dans l’Église, l’auteur a voulu montrer comment, selon Luc, Jésus, Messie-prêtre, réalise son sacerdoce dans la pauvreté et forme ses disciples à ce même esprit. A qui veut vivre le sacerdoce selon l’Évangile, nul doute que cette méditation lucanienne apportera lumière et réconfort.

Parmi les études johanniques, il faut relever deux ouvrages importants, l’un traite de l’éthique, l’autre de l’ecclésiologie.

C’est par la voie des symboles que le Père Stemberger [7] a choisi d’explorer l’éthique de saint Jean en considérant l’opposition fondamentale du bien et du mal, puis le triomphe du bien sur le mal. La première partie, qui décrit le dualisme éthique, analyse une série de symboles antithétiques : lumière-ténèbres, vie-maladie-mort, liberté-servitude, haut-bas, vérité-mensonge et enfin haine-amour. La seconde partie étudie la symbolique de l’eau, celle du combat et de la victoire, celle du jugement. Ce nouveau volume de la collection « Parole de Dieu » dirigée par le Père X. Léon-Dufour retiendra l’attention par la qualité de son information et la clarté de l’exposé. Limité à l’étude d’un thème fondamental, il constitue dans l’étude de l’éthique johannique une voie nouvelle riche en promesses.

Dans sa thèse, le pasteur Le Fort, nommé récemment Doyen de la Faculté de théologie protestante de Bruxelles, aborde également un thème fondamental du quatrième évangile : Les structures de l’Église militante selon saint Jean [8]. Dans les épîtres johanniques l’auteur analyse principalement la lutte pour l’intégrité de l’Église et d’autres données ecclésiologiques secondaires (les ministères, le culte, les sacrements, l’organisation de l’Église et le sens de l’unité). Dans l’Évangile, il s’attache aux grands thèmes ecclésiologiques tels que la protection (Jn 10), la purification (Jn 15), l’intercession du Christ (Jn 17), l’action du Paraclet (Jn 13-16), sans négliger pour autant d’autres thèmes mineurs - à ses yeux - tels que le pouvoir de pardonner et de retenir les péchés (Jn 20,21-23), la charge pastorale de Pierre (Jn 21), le disciple que Jésus aimait. Quelle image de l’Église johannique offre cette double enquête ? Une Église non pas incarnation continuée, mais communauté eschatologique habitée par l’Esprit. Cet essai ne manque ni d’ampleur ni d’originalité : les questions soulevées nous concernent ; les réponses proposées sont à notre avis commandées plus par l’actualité que par une exégèse rigoureuse des textes johanniques.

Pour clore cette série d’études sur les évangiles, il nous faut mentionner la contribution érudite de Joachim Jeremias sur les Paroles inconnues de Jésus [9]. Un grand nombre de paroles de Jésus nous sont parvenues en dehors des évangiles canoniques. L’auteur étudie d’abord avec minutie leur origine et leur authenticité : il en retient vingt et une. Puis, il les examine une à une : la plupart répètent le commandement de l’amour fraternel et l’appel à la vigilance. Pareille enquête ne manque d’intérêt ni pour l’histoire de la tradition ni pour la théologie biblique. Ces paroles de Jésus constituent « des compléments importants et précieux - rien de plus ! », conclut l’auteur avec honnêteté.

À la découverte de saint Paul

Saisir le Christ aujourd’hui [10], tel est le propos du Père Lauzeral dans son essai sur saint Paul. Familier de l’Écriture et attentif aux requêtes contemporaines, l’auteur dégage en traits de feu l’expérience chrétienne et cherche au contact de l’Apôtre à en susciter le réveil aujourd’hui. Ce livre écrit avec ferveur et vivacité plaira à ceux qui, lassés par la contestation, sont en quête d’une source d’eau vive.

L’épître aux Éphésiens est généralement considérée comme l’apogée de la pensée paulinienne : une méditation sur le Christ, Seigneur de l’Univers, qui se réconcilie tous les hommes par l’Église. Dans L’insondable richesse du Christ [11], R. Baulès poursuit une étude approfondie de la doctrine de cette épître après en avoir au préalable déterminé le plan et les principaux thèmes. L’ouvrage s’achève par une réflexion générale sur la compréhension de Jésus et la possibilité de trouver en Lui le sens. Ces considérations finales qui, de l’avis de l’auteur lui-même, dépassent la lettre du texte et la pensée explicite de Paul, dérouteront plus d’un lecteur davantage intéressé par le commentaire-biblique qui forme l’essentiel de l’ouvrage.

La collection « Parole et Prière » présente en un volume La lettre aux Philippiens (par J. Gnilka) et La lettre à Tite (par J. Reuss) [12]. Cette collection invite ceux qui veulent approfondir par la prière la Parole de Dieu à « une lecture savoureuse du Nouveau Testament ».

Autres écrits du Nouveau Testament

En relisant les Actes des Apôtres [13], le dessein du Cardinal Daniélou n’est pas d’écrire un commentaire mais de présenter l’Église des Apôtres à une époque où l’Église est mise en question. « C’est ainsi que la question de la hiérarchie et des charismes, que celle de la relation du christianisme et du judaïsme, que celle des catégories païennes retiendront particulièrement l’attention » (p. 8). Bien informé des problèmes littéraires et historiques du livre des Actes, le Cardinal Daniélou présente une fois de plus un essai théologique de valeur à un large public.

Pour de nombreux croyants, L’Apocalypse de Jean [14] est un livre « scellé de sept sceaux » (Ap 1, 5). Le terme même d’apocalypse a perdu sa riche signification biblique. C’est la raison pour laquelle dans son ouvrage A. Läpple examine d’abord les problèmes littéraires de cet écrit néotestamentaire : ses attaches avec l’apocalyptique juive, l’Ancien Testament et l’histoire du premier siècle, sa genèse et sa structure. Puis, en paraphrasant le texte de l’Apocalypse, il présente longuement son message doctrinal. En guise de conclusion, il en formule la théologie - trop succinctement à notre avis - en dégageant de l’Apocalypse un portrait du Christ et une théologie de l’Histoire. Comme tel, cet ouvrage aidera le lecteur à déchiffrer le langage énigmatique de ce livre biblique et à méditer son message d’espérance.

Thèmes bibliques

Dans son étude sur L’existence chrétienne selon le Nouveau Testament [15], R. Schnackenburg, un exégète de renom, n’a pas l’ambition de traiter pareil sujet dans toute son ampleur : il réunit une série d’études de théologie biblique, les unes anciennes, les autres récentes, plusieurs inédites. Son souci est d’aborder certains thèmes actuels à la lumière de l’Écriture : conception de l’homme, la conversion, la foi, la suite du Christ, le sermon sur la montagne, la perfection chrétienne, l’intelligence du monde, l’existence temporelle du chrétien, la liberté, la « majorité » du chrétien, l’adoration en esprit et en vérité, le péché, la vie et la mort, l’avenir du monde. Ce recueil, apparemment disparate, apporte en plus d’un point essentiel une parole de vie au chrétien d’aujourd’hui. H. Rochais en a donné une agréable traduction.

Jamais en pleine société de consommation on n’a autant parlé de la pauvreté et des pauvres. Privé de sa référence évangélique, ce langage n’est-il pas ambigu ou utopique ? Lors d’un symposium franciscain, une équipe d’exégètes ont fait l’état de la question en ce qui concerne l’Ancien Testament (A. George), les évangiles et les Actes (J. Dupont, S. Légasse, B. Rigaux) et le corpus paulinien (Ph. Seidensticker). Ils proposent une définition actuelle de la pauvreté évangélique [16].

Le Jésus et les révolutionnaires de son temps [17] d’O. Cullmann traite également un sujet brûlant. Sa thèse est celle-ci : dans le domaine religieux, social, politique, l’attitude de Jésus ne peut s’identifier à aucun mouvement contemporain : il prend ses distances vis-à-vis de toute institution temporelle, car son Royaume n’est pas de ce monde. Personne ne déniera à cet éminent exégète une vaste information historique. Mais les partisans de l’ordre établi ou de la révolution accueilleront sa thèse avec des réserves : n’est-elle pas inspirée par une vue trop idéaliste de l’engagement du chrétien dans le monde ? Son mérite est de faire saisir la complexité d’une situation historique et de rappeler la condition paradoxale du chrétien, vivre dans le monde sans être du monde.

La révélation de l’au-delà et de la vie éternelle se réalise dans la Bible par étapes : le plus souvent, elle s’exprime dans un langage sémitique ; tardivement, elle emprunte également des schèmes grecs. En recueillant dans leur diversité les données de l’Écriture, Sœur Jeanne d’Arc [18] s’est efforcée de montrer comment Dieu a éduqué progressivement son peuple à la foi en la résurrection telle qu’elle s’est réalisée en plénitude dans le Christ.

Soucieux de promouvoir une dévotion à la Vierge sobre et solide, le Père Behler [19] offre une méditation « nourrie avant tout de citations bibliques, de textes liturgiques et patristiques, des enseignements du magistère ecclésiastique et des écrits des saints ». Parmi les textes scripturaires, il commente surtout les psaumes 87 et 48, la salutation angélique et le Magnificat de la Vierge, le récit des noces de Cana et le témoignage de la mère des douleurs au pied de la croix.

La collection « Thèmes bibliques » aborde une série de nouveaux sujets en de courtes monographies [20] réalisées le plus souvent par des spécialistes : Le mariage (G. N. Vollebregt), La conversion (A. Hulsbosch), L’initiation chrétienne selon saint Marc (G. Dambricourt), La sexualité dans la Bible (T. C. de Kruijf), La prière (collectif), Le miracle (A. De Groot). Destinée à un large public, cette collection cherche à cultiver une connaissance savoureuse de l’Écriture en tenant compte des résultats de l’exégèse moderne.

Au fil de l’année liturgique

En suivant le nouvel Ordre des lectures de la Messe de 1969, Mgr Soubigou présente, en suivant les temps liturgiques, les lectures des trois années pour chaque dimanche, avec clarté et concision. Jusqu’à présent sept volumes [21] sont parus : le dernier s’arrête au quatorzième dimanche ordinaire. Grâce à leur richesse biblique et leur orientation pastorale, ces explications facilitent la préparation des homélies dominicales ainsi que la méditation des textes bibliques. De ce point de vue, ne serait-il pas souhaitable que certains commentaires bibliques de Mgr Soubigou soient réédités, celui de l’évangile de Luc, par exemple ?

En suivant également le nouveau lectionnaire, l’abbé Destoop présente des indications pour prier l’évangile et en vivre. Elles forment un bref commentaire de l’évangile et des psaumes utilisés dans la liturgie du dimanche et de la semaine. Deux fascicules sont parus jusqu’à présent [22].

Un brin d’humour !

Une découverte sensationnelle : le cinquième évangile [23] ! Malheureusement, l’éditeur Giacomo Biffi n’en présente que trente fragments, mais tous sont significatifs. Il a soin pour chacun d’eux, dans la mesure du possible, d’indiquer le passage correspondant aux quatre évangiles canoniques : la comparaison est éclairante ! Le commentaire l’est encore plus : sans aucun doute, il s’agit d’un apocryphe, admirable condensé de toutes les hérésies qui ont pullulé dans l’Église au XXe siècle après le dernier concile du Vatican. En somme, rien dans ces pages qui ressemble à la Bonne Nouvelle. L’ouvrage est d’abord paru en Italie revêtu de l’Imprimatur de son Exc. Mgr l’évêque de Brescia.

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B - 3000 LEUVEN, Belgique

[1La Bible. Nouveau Testament. Coll. Bibliothèque de la Pléiade, NRF. Paris, Gallimard, 1971, 18 x 11, XX-1055 p.

[2R.-L. Bruckberger. L’histoire de Jésus-Christ. Le Livre de Poche, 2884. Paris, Grasset, 1971, 17 x 11, 634 p.

[3J. Winandy, o.s.b. Autour de la naissance de Jésus. Accomplissement et prophétie. Coll. « Lire la Bible », 26. Paris, Êd. du Cerf, 1970, 19 x 14, 120 p.

[4J. Carmignac. À l’écoute du Notre Père. Paris, Éd. de Paris (7, rue de la Comète - 7e), 1971, 20 x 12, 124 p., 9,90 FF.

[5B. Rigaux. Témoignage de l’évangile de Luc. Coll. « Pour une histoire de Jésu »s, 4. Desclée De Brouwer, 1970, 20 x 13, 482 p.

[6J. Colson. Le sacerdoce du pauvre. Réflexions sur le sacerdoce prophétique du Messie Roi des pauvres dans l’évangile selon saint Luc. Paris, Éd. S.O.S., 1971, 20 x 13, 280 p., 6 ill„ 28 FF.

[7G. Stemberger. La symbolique du bien et du mal selon saint Jean. Coll. « Parole de Dieu ». Paris, Éd. du Seuil, 1970, 21 x 14, 274 p.

[8P. Le Fort. Les structures de l’Église militante selon saint Jean. Étude d’ecclésiologie appliquée au IVe évangile et aux épîtres johanniques. Coll. « Nouvelle Série Théologique », 25. Genève, Labor et Fides, 1970, 25 x 18, 192 p.En ce qui concerne l’Évangile de Marc, signalons la suite du commentaire d’I. Hermann. L’Évangile de saint Marc. Deuxième partie. Coll. « Lumières Bibliques ». Paris, Éd. du Cerf, 1969, 19 x 12, 124 p.

[9J. Jeremias. Paroles inconnues de Jésus. Coll. « Lectio divina », 62. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 22 x 14, 132 p.

[10P. Lauzeral. Saisir le Christ aujourd’hui. Un renouveau sous le signe de saint Paul. Paris, Éd. du Centurion, 1971, 18 x 12, 176 p., 12,90 FF.

[11R. Baulès. L’insondable richesse du Christ. Étude des thèmes de l’Épître aux Éphésiens. Coll. « Lectio divina », 66. Paris, Éd. du Cerf, 1971, 22 x 14, 170 p.

[12J. Gnilka. La Lettre aux Philippiens. - J. Reuss. La Lettre à Tite. Coll. « Parole et Prière ». 1 vol., Tournai-Paris, Desclée, 1970, 21 x 14, 160 p., 195 FB.

[13J. Daniélou. L’Église des Apôtres. Paris, Éd. du Seuil, 1970, 19 x 13, 158 p.

[14A. Läpple. L’Apocalypse de Jean, livre de vie pour les chrétiens. Coll. « Lire la Bible », 24. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 19 x 14, 270 p.

[15R. Schnackenburg. L’existence chrétienne selon le Nouveau Testament. Tomes I et II. 2 vols, Desclée De Brouwer, 1971, 20 x 13, 428 p.

[16La pauvreté évangélique. Coll. « Lire la Bible », 27. Paris, Éd. du Cerf, 1971, 19 x 14, 190 p.

[17O. Cullmann. Jésus et les révolutionnaires de son temps. Culte, Société, Politique. Coll. Flèche. Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1970, 18 x 12, 88 p.

[18Sœur Jeanne d’Arc, o.p. J’attends la résurrection. Coll. « Lire la Bible », 25. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 19 x 14, 152 p.

[19G. M. Behler, o.p. Louange biblique de la Vierge. Desclée De Brouwer, 1970, 20 x 13, 244 p., 161 FB.

[20G. N. Vollebregt. Le mariage, 158 p., 9 FF. – A. Hulsbosch. La conversion. 138 p., 7,50 FF. – G. Dambricourt. L’initiation chrétienne selon saint Marc. 170 p., 7,50 FF. – T. C. De Kruijf. La sexualité dans la Bible. 144 p. – La prière. 124 p., 9 FF. – A. De Groot. Le miracle. 168 p. – Coll. « Thèmes bibliques », 2-7. 6 vols, Paris, Apostolat des Éditions, 1970 et 1971, 18 x 11.

[21Mgr L. Soubigou. Les lectures bibliques des dimanches expliquées, méditées, prêchées. Avent - Le temps de Noël - Du 2e au 8e dimanche ordinaire - Le Carême - Temps pascal : de la vigile pascale au 4e dimanche de Pâques - Temps pascal : du 5e dimanche de Pâques à la Pentecôte - Du 9’au 14e dimanche ordinaire. Coll. « Liturgie et oraison ». 7 vols, Paris, Lethielleux, 1970 et 1971, 19 x 14, 204, 208, 200, 280, 168, 168 et 176 p.

[22P. Destoop. Paroles d’Évangile pour chaque jour. Carême et Temps pascal - Temps ordinaire : semaines 10 à 34. Coll. « Liturgie et oraison ». Paris, Lethielleux, 1971, 18 x 12, 86 et 160 p., 7,30 et 12 PF.

[23G. Biffi. Le cinquième évangile. Paris, Éd. du Cèdre, 1971, 19 x 12, 116 p.

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