Chronique du Nouveau Testament
Dany Dideberg, s.j.
N°1970-5 • Septembre 1970
| P. 306-314 |
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L’Écriture, parce qu’elle est Parole de Dieu, demeure un aliment privilégié de la vie spirituelle. Depuis que cette Parole a été jetée, telle une semence, dans le cœur des hommes, elle déploie toutes ses virtualités et suscite au cours de l’histoire de nouvelles interprétations. Ceci ne doit pas empêcher de prendre un contact avec l’Écriture elle-même et de se laisser pénétrer par sa Parole vivifiante. Toutefois, certains commentaires peuvent aider à mieux assimiler et goûter la Parole de Dieu qui se livre à nous dans un langage humain que l’exégèse peut rendre plus accessible. Nous ne retiendrons ici que les ouvrages récemment parus en langue française et que les éditeurs ont bien voulu nous envoyer pour recension. Cette chronique n’a pas la prétention d’être critique : elle voudrait seulement permettre aux lecteurs et lectrices de cette revue de s’orienter parmi les publications nouvelles et d’opérer un choix judicieux et nécessaire.
Un historien juif interroge la vie du Christ : tel est, dans son Jésus [1], le propos de David Flusser, professeur à l’Université hébraïque de Jérusalem et spécialiste de l’époque néotestamentaire. À la lumière de la tradition religieuse du judaïsme, mieux connue aujourd’hui par les documents de la Mer Morte, plus d’un aspect de la vie de Jésus reçoit un éclairage nouveau : sa naissance, ses relations avec Jean-Baptiste, son attitude vis-à-vis de la Loi, la portée de certains de ses titres, le sens de son procès... Ainsi replacé dans son milieu de vie, la terre de Palestine et le peuple d’Israël, le Jésus de Flusser retrouve des traits historiques quelquefois oubliés par l’exégèse moderne mais, présenté en dehors de la lumière de la Résurrection, ce Jésus ne reste, parmi d’autres, qu’une grande figure de l’histoire d’Israël. Toutefois, ce livre écrit avec autant de probité que de sympathie permettra au croyant d’approfondir sa connaissance de Jésus de Nazareth.
La démarche de Romano Guardini [2] se situe non au plan historique comme celle de Flusser, mais au plan théologique. Par une série d’approximations, ce théologien catholique cherche à fixer L’image de Jésus-Christ dans le Nouveau Testament. D’abord, est présenté le Christ paulinien, Seigneur dont la présence spirituelle transforme les individus et les rassemble en Église, puis, le Christ de l’Épitre aux Hébreux, Grand-Prêtre éternel, ensuite, la vision johannique du Logos fait chair (Évangile) et du Seigneur de l’Histoire (Apocalypse), enfin, le Jésus des Synoptiques, Fils de l’homme et rédempteur. Paradoxalement, ce ne sont pas les écrits les plus primitifs qui nous introduisent à la réalité du Christ, mais saint Paul : comme nous, il n’a pas connu le Christ dans sa présence terrestre mais il l’a rencontré par la foi dans l’Église. Cet essai est comme la conclusion de l’ouvrage célèbre que R. Guardini écrivit naguère sur Le Seigneur.
Jean-Claude Barreau nous convie moins à une réflexion sur Jésus-Christ comme R. Guardini qu’à une découverte directe de L’aujourd’hui des Évangiles [3]. Frappé par la méconnaissance des évangiles qui entraîne chez nos contemporains une méconnaissance du Christ, J.-C. Barreau choisit une lecture simple et chaleureuse, sans ignorer celle, plus savante, de l’exégète, de l’historien ou du théologien. Les quatre évangélistes, tout en concordant sur l’essentiel, offrent chacun une vision personnelle du Christ. L’auteur les parcourt tour à tour sans prétendre analyser chacun des évangiles de manière exhaustive. Que retient-il de ces écrits ? Chez Marc, les matériaux de l’évangile, sa manière propre de présenter Jésus et son mystère, surtout durant sa passion ; chez Matthieu, en plus des récits de l’enfance et de celui des tentations au désert, les six grands discours ; chez Luc, outre le récit de l’enfance, les principaux thèmes doctrinaux de son évangile et le récit final de la vie de Jésus à Jérusalem. Seul l’évangile de Jean est présenté à peu près dans son ensemble. Dans cette lecture, l’essentiel n’est pas d’analyser des textes mais de retrouver un regard naïf, une écoute attentive. Cette approche plaira à ceux qui veulent se laisser interpeller par la Bonne Nouvelle et oublier un instant les controverses des spécialistes ou leurs commentaires savants. Une fois de plus, J.-C. Barreau réussit, comme dans ses ouvrages antérieurs, à traiter un point vital de la foi chrétienne.
Le dernier ouvrage de Claude Tresmontant s’inscrit dans une perspective autre que celle de J.-C. Barreau. Il prolonge une recherche sur le Problème de la Révélation, paru l’an dernier : comment l’enseignement de Ieschoua de Nazareth [4] peut-il être considéré comme la Parole même de Dieu ? L’auteur tente de redécouvrir dans sa fraîcheur l’enseignement du rabbi galiléen, trop souvent réduite à une morale dite chrétienne : il est une science intégrale de la vie, proposée à tous les hommes dans un langage accessible. Finalement, cet enseignement pose, comme autrefois, une question inéluctable : qui est ce rabbi qui se prononce avec une telle autorité sur la destinée humaine, sa genèse et son développement. Quoique s’adressant avant tout au lecteur non-chrétien, ce livre permettra au chrétien lui-même de goûter maint passage d’Évangile dans sa saveur première et de redécouvrir la vérité du christianisme.
Sous le titre de Théologie du Nouveau Testament [5], Hans Conzelmann, professeur de Göttingen et disciple de Bultmann, a voulu offrir un manuel qui soit « moyen pratique d’orientation » dans le domaine démesurément agrandi de la recherche néotestamentaire. Mais ce propos modeste ne doit pas nous dissimuler l’ampleur de son entreprise, plus vaste que celle des auteurs que nous venons de présenter. Après une introduction où est posé le problème d’une théologie du Nouveau Testament et présenté brièvement le milieu juif et hellénistique où s’est élaboré cette théologie, l’exposé comprend cinq grandes parties : le kérygme de la communauté primitive et de la communauté hellénistique, le message de la tradition synoptique, l’élaboration de la théologie paulinienne, l’évolution après Paul et la conception de Jean. Comme on le voit, H. Conzelmann n’offre pas d’exposé dogmatique de la théologie néotestamentaire mais il cherche à saisir le mouvement qui la porte des origines à son terme, à en caractériser les moments successifs et à les situer dans une perspective d’ensemble, l’histoire des traditions. Cette méthode qui veut être fidèle au cheminement historique – c’est son originalité – connaît cependant quelque difficulté : comment, par exemple, isoler le kérygme de la communauté primitive du message paulinien ou séparer dans la tradition synoptique, prédication de Jésus, kérygme ecclésial et théologie des évangélistes ? D’autre part, certaines parties de l’exposé sont disproportionnées. En voici un exemple : la section relative à saint Paul – la plus riche – occupe plus d’un tiers du volume tandis que la théologie de chacun des synoptiques reçoit une part égale mais dérisoire, chacun quatre pages ! Chaque point traité comporte une bibliographie, un état de la question, souvent une appréciation personnelle qu’on lira avec intérêt, le sens critique en éveil toutefois, car certaines prises de position sont discutables. L’essentiel, selon le vœu de l’auteur lui-même, n’est pas d’accumuler de l’érudition mais de fréquenter les textes et de se former un jugement personnel. Cet incomparable instrument de travail y aidera assurément le lecteur.
L’ouvrage d’A. Läpple [6] veut être aussi un manuel, non pas pour l’étude de la théologie comme celui de Conzelmann, mais pour la lectio divina et la méditation du Nouveau Testament. Après avoir traité des questions préliminaires de théologie biblique, l’auteur présente l’Évangile à rebours, tel qu’il s’est constitué progressivement dans la prédication de l’Église primitive : annonce de la crucifixion et de la résurrection, les actes de puissance de Jésus, la proclamation de son message, la présentation du mystère de sa personne et de sa mission, récits de son enfance et de sa naissance. Chaque épisode comprend une étude de la forme du texte, diverses explications sur les mots et les choses et des perspectives en vue de l’utilisation pastorale. Le message de l’Évangile aujourd’hui se situe à mi-chemin des excès d’une certaine critique biblique et d’un traditionnalisme satisfait de lui-même.
Parmi les monographies particulières, les deux premières concernent l’évangile de Marc : l’une traite de la mort de Jésus, l’autre de sa résurrection. La mort de Jésus en croix est un fait universellement admis mais diversément interprété. Quelle est finalement sa signification pour Jésus lui-même et par conséquent pour chacun d’entre nous, croyant ou incroyant ? Telle est la question que J.-L. Chordat [7] se pose dans le dernier livre de l’excellente collection « Lire la Bible ». L’auteur se limite à l’évangile de Marc. Le choix est heureux, mais les raisons qu’il en donne sont discutables : Marc est-il le narrateur naïf, primitif... moins théologien que les autres évangélistes ? Voici les étapes de son enquête : qu’est-ce qui dans le ministère de Jésus peut expliquer le dénouement final ? Comment Jésus à différentes reprises a-t-il vu venir sa mort et l’a-t-il annoncée ? Quel sens a-t-il voulu lui donner ? Enfin, comment Jésus a-t-il vécu sa mort au cours de la Passion ? Mais pourquoi, sous prétexte de faire de l’histoire au sens restreint, l’auteur met-il entre parenthèses l’événement de la Résurrection à la lumière de laquelle les premiers disciples ont approfondi et célébré le mystère salvifique de la mort de Jésus ? Malgré ces remarques, il reste que J.-L. Chordat a réussi à définir l’attitude de Jésus devant sa mort dans l’Évangile de Marc sans minimiser les difficultés critiques d’une telle recherche ni l’interpellation qu’elle adresse à tout homme.
Parmi les études parues récemment sur la résurrection de Jésus, celle de L. Schenke, Le tombeau vide et l’annonce de la résurrection [8], est remarquable par sa clarté et sa minutie. Elle s’attache à la péricope de Marc (16,1-8). L’analyse en montre d’abord l’indépendance par rapport au récit qui précède, celui de l’ensevelissement (15, 42-47) ; puis, elle dégage à l’intérieur du texte les éléments adventices et les sutures rédactionnelles pour en déterminer l’état primitif ; ensuite, elle examine la tradition sous-jacente à ce texte, en recherche le milieu d’origine et en définit la portée historique. Pour L. Schenke, cette péricope marcienne du tombeau vide n’est pas une entreprise apologétique pour démontrer tardivement la résurrection du Christ, ni le constat d’un fait brut : elle est plutôt une « anamnèse cultuelle », évocation d’un souvenir à l’occasion du pèlerinage (annuel ?) au tombeau du Christ. L’intérêt de cette analyse microcospique du texte est de montrer l’enracinement d’un récit évangélique dans la tradition ecclésiale qui se réfère à un événement et lui donne sa plénitude de sens à la lumière de la Résurrection.
Beaucoup plus technique et ne s’adressant guère qu’à des spécialistes, J.-D. Kaestli[ J.-D. Kaestli. L’eschatologie dans l’œuvre de Luc. Ses caractéristiques et sa place dans le développement du christianisme primitif. Coll. Nouvelle série théologique, 22. Genève, Labor et Fides,, 1969, 25 x 18, 120 p., 15,60 FS.]] traite un thème particulier de l’évangile de Luc : l’eschatologie. Il entreprend d’abord l’exégèse des principaux textes. Puis il situe la théologie lucanienne, d’une part par rapport au kérygme primitif tel que le présente Paul, d’autre part par rapport aux écrits plus tardifs du Nouveau Testament : il souligne plutôt la différence entre ces deux séries d’écrits que leur complémentarité à l’intérieur de l’époque apostolique. Par-là, il s’efforce de prendre parti dans les questions débattues par la théologie contemporaine, celle de l’histoire du salut et celle du catholicisme primitif.
Pour l’étude de Matthieu, relevons le travail de W. D. Davies, Pour comprendre le Sermon sur la Montagne [9] : il n’offre pas un commentaire mais une mise en situation de ce discours. Tour à tour, sont examinés les divers contextes dans lesquels s’inscrit ce texte capital : le premier évangile, l’attente messianique juive, le judaïsme contemporain, l’Église primitive et enfin, le ministère de Jésus. De cette manière, se dégage la perspective dans laquelle Matthieu a rédigé « la Loi nouvelle » à partir des paroles de Jésus transmises par la communauté primitive dans le monde ambiant du judaïsme. Nul n’était mieux qualifié pour présenter pareille synthèse que Davies. Cet exégète protestant bien connu pour ses travaux sur le milieu juif du premier siècle et son influence sur la littérature chrétienne primitive, a traité le même sujet dans une étude antérieure de 550 pages et il en reprend ici les lignes maîtresses. Ce livre est le dernier paru dans la collection « Parole de Dieu » dirigée par le Père X. Léon Dufour.
Un autre livre récent de la collection « Lire la Bible » est consacré à Saint Jean, témoin du Jésus de l’histoire par A.-M. Hunter [10]. Après avoir défini le « nouveau visage » que prend le quatrième évangile dans les recherches actuelles, l’auteur examine successivement la langue de saint Jean et ses attaches araméennes, l’arrière-fond de son évangile, la tradition évangélique de saint Jean, la topographie, la chronologie du ministère de Jésus, les miracles, les paraboles et les paroles de Jésus telles qu’elles sont présentées dans le dernier évangile. Ces diverses études mettent en lumière l’autorité et la valeur permanente de l’évangile de Jean comme témoignage d’histoire. Le mérite de A.-M. Hunter est d’avoir remis en valeur cette dimension oubliée du quatrième évangile, trop souvent qualifié de « symbolique » et de « spirituel ». En outre, cet ouvrage fait bénéficier le public français des recherches menées dans les pays anglo-saxons contre certaines tendances réductrices de l’exégèse protestante allemande. Plus qu’un état de la question, il présente une nouvelle manière de lire l’Évangile de Jean.
L’essai de G. Bonnet constitue une méditation pénétrante et originale sur les premiers chapitres des Actes des Apôtres. Jésus est ressuscité [11]. Il y a bien des manières d’aborder cette réalité fondamentale de la foi. L’auteur a choisi de la présenter comme une parole à proclamer mais dont il faut auparavant ressaisir le sens à travers les effets qu’elle a eus hier et aujourd’hui. Cette parole a d’abord suscité l’Église, sa venue au monde et sa présence à l’histoire des hommes ; ensuite elle a provoqué dans le monde une révolution et le réveil de toutes les espérances. Attentif aux effets plutôt qu’à la réalité propre, G. Bonnet propose une manière nouvelle de comprendre et d’annoncer la résurrection de Jésus, riche de signification pour nos contemporains.
Pour nous faire découvrir Ce que saint Paul a vraiment dit [12], J. W. C. Wand inventorie les principales acquisitions de la pensée de l’apôtre après l’avoir situé dans le milieu juif et grec ; ensuite il examine successivement les quatre groupes d’épîtres et les textes des Actes qui concernent Paul avant de donner une vue panoramique de l’enseignement paulinien. Introduction brève mais suggestive à Saint Paul.
Éminent exégète de saint Paul, le Père St. Lyonnet s’attache à retracer Les étapes de l’histoire du salut selon l’Épître aux Romains [13]. Il offre une lecture solide, originale sur plusieurs points, des huit premiers chapitres. Plusieurs thèmes sont exposés avec clarté : la justice de Dieu, le péché originel, l’impuissance de l’homme pécheur, sa libération par l’œuvre du Christ et le don de l’Esprit, la rédemption de l’univers. D’une part, l’auteur ressaisit la pensée de Paul en fonction de ses catégories propres, généralement empruntées à l’Ancien Testament, et d’autre part, il se réfère aussi à l’interprétation que des représentants majeurs de la Tradition ecclésiale ont donné de ce texte difficile. Ainsi s’élabore une véritable lecture théologique de l’Écriture. La portée œcuménique de cette lecture s’avère d’autant plus importante qu’avant de redevenir un lieu de rencontre entre chrétiens, l’Épître aux Romains fut à l’origine de leur séparation au temps de la Réforme. À lire l’ouvrage du P. Lyonnet, le lecteur n’éprouvera qu’un seul regret, celui de n’être pas conduit par un guide aussi expérimenté jusqu’au terme de cette grande épître paulinienne.
Le dernier volume de la collection « Parole et Prière » est consacré à la lettre de l’apôtre Jacques [14]. Après avoir brièvement présenté l’épître, O. Knoch prend le texte et le commente, verset par verset, selon un plan clairement défini. Son commentaire est un plaidoyer pour un christianisme de l’action. Cette collection veut être une invitation à une lecture savoureuse du Nouveau Testament. Sans prétention scientifique, chaque commentaire reprend le sens littéral donné par l’exégèse contemporaine et cherche à faire saisir la portée spirituelle du texte.
Signalons pour terminer des éditions de textes, instruments pratiques pour la lecture de l’Écriture.
La Bible du dimanche [15] rassemble les lectures de la messe pour les dimanches et fêtes telles que les a établies le nouveau Lectionnaire liturgique. La traduction utilisée est celle de la Bible de Jérusalem. Les textes sont accompagnés d’un bref commentaire et d’une introduction au livre biblique dont ils sont tirés. Un calendrier des années liturgiques, des tableaux chronologiques, un petit vocabulaire biblique, facilitent le bon usage de cette Bible du dimanche.
Les Quatre Évangiles traduits en français moderne pour les hommes d’aujourd’hui sont l’œuvre de P. de Beaumont [16]. La simplicité des mots, la brièveté des phrases, l’emploi du temps présent, donnent à cette traduction sa vivacité et sa fraîcheur. La fin du volume comporte d’utiles compléments en vue d’une utilisation catéchétique : un lexique biblique, des notes d’explication, des tableaux de comparaison de textes.
Tiensevest, 86
B-3000 LEUVEN (Belgique)
[1] D. Flusser. Jésus. Paris, Éd. du Seuil, 1970. 21 x 14, 160 p., 16 FF.
[2] R. Guardini. L’image de Jésus-Christ dans le Nouveau Testament. Coll. « Livre de vie », 98. Paris, Éd. du Seuil, 1969, 18 x 11, 124 p., 3,50 FF.
[3] J.-C. Barreau. L’aujourd’hui des Évangiles. Paris, Éd. du Seuil, 1970, 21 x 14, 304 p., 18 FF.
[4] Cl. Tresmontant. L’enseignement de Ieschoua de Nazareth. Paris, Éd. du Seuil, 1970, 21 x 14, 272 p., 21 FF.
[5] H. Conzelmann. Théologie du Nouveau Testament. Coll. « Nouvelle série théologique », 21. Genève, Labor et Fides, 25 x 18, 390 p., 52 FF.
[6] A. Läpple. Le message de l’Évangile aujourd’hui. Manuel pour la « lectio divina » et la méditation. Coll. Pax et Veritas, 2. Paris, Apostolat des Éditions, 1969, 20 x 13, 574 p., 33 FF.
[7] J.-L. Chordat. Jésus devant sa mort dans l’Évangile de Marc. Coll. « Lire la Bible », 21. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 19 x 14, 112 p., 11,50 FF.
[8] L. Schenke. Le tombeau vide et l’annonce de la résurrection. Coll. « Lectio divina », 59. Paris, Éd. du Cerf, 1970 22 x 14, 128 p., 13,50 FF.
[9] W. D. Davies. Pour comprendre le Sermon sur la Montagne. Coll. « Parole de Dieu ». Paris, Éd. du Seuil, 1970, 21 x 14, 192 p., 18 FF.
[10] A.-M. Hunter. Saint Jean, témoin du Jésus de l’histoire. Coll. « Lire la Bible », 20. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 19 x 14, 170 p., 15 FF.
[11] G. Bonnet. Jésus est ressuscité. Les effets d’une parole. Coll. « Remise en cause ». Paris-Tournai, Desclée et Cie, 1969, 19 x 13, 184 p.
[12] J. W. C. Wand. Ce que saint Paul a vraiment dit. Paris, Stock, 1970, 20 x 13, 168 p., 15,40 FF.
[13] S. Lyonnet, S.J. Les étapes de l’histoire du salut selon l’Épître aux Romains. Coll. « Bibliothèque œcuménique, 8. Paris, Éd. du Cerf, 1970, 18 x 12, 232 p., 22 FF.
[14] O. Knoch. La Lettre de l’Apôtre Jacques. Coll. « Parole et Prière ». Tournai-Paris, Desclée et Cie, 1970, 21 x 14, 120 p.
[15] La Bible du dimanche. Dieu reprend la Parole. Paris, Éd. du Cerf, Éd. du Centurion, 1970, 18 x 13, 861 p., 38 FF.
[16] Les Quatre Évangiles aux hommes d’aujourd’hui. Traduction en français par Pierre de Beaumont. Coll, de l’Institut Supérieur de Pastorale catéchétique. 3e éd., Paris, Fayard-Mame, 1968, 18 x 11, 444 p., 5,70 FF.