Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Il a suivi le cursus de philosophie près de Louvain, étudié la théologie chrétienne en Inde, puis s’est adonné aux études indiennes à Paris, sans oublier la missiologie à Rome, la coopération en Afrique et un troisième an au Japon : c’est par ce chassé-croisé qu’un jeune jésuite belge est devenu l’érudit historien des religions que l’on va découvrir. Rendez-vous ici pour y trouver un extrait vidéo de cette rencontre.
Depuis le Népal un père jésuite belge évoque pour nous sa longue présence « missionnaire » en Inde, puis son service à la Curie générale de Rome, et aujourd’hui, son expérience de formateur dans cette Région jésuite formée d’un tiers de jeunes. Imprégné par l’apport conciliaire de notre revue, il verrait bien que les religieux soient, au Népal et partout, plus clairement des « Témoins de la Cité de Dieu ».
Vous trouverez ci-dessous la suite de l’article consacré à la figure de Lanza del Vasto présentée par Frédéric Vermorel. Cette partie plus « doctrinale » que biographique demandera une lecture plus attentive et prudente dans le sens indiqué dans notre présentation précédente (V.C. 1999/2).
C’est évidemment dans la même perspective que celle qui nous a conduits à publier le texte sur Lanza de Vasto, que nous proposons, ainsi associé, celui du P. Charles Delhez. Sans être d’une technicité qui ne conviendrait pas à notre revue, le texte offert ici est particulièrement bien documenté et surtout, c’est aussi une raison supplémentaire de le faire lire aux abonné(e)s de notre revue, d’actualité pastorale indéniable. À nouveau, le témoignage de notre vie consacrée, en ce qu’elle est plus particulièrement eschatologique en sa visée et en ses formes, nous place souvent en situation de témoignage quant à « l’au-delà ». La foi en la Résurrection, et une vie inspirée par cela même qui est professé, est peut-être l’essentiel de ce qui se doit d’attester, personnellement et communautairement, la vie consacrée.
Ce n’est plus, depuis un certain temps déjà, une rareté. Les pratiques priantes ou d’intériorisation spirituelle, venues d’extrême-Orient, font les beaux jours de nombreux centres, voire de monastères, de multiples librairies, de plusieurs rayons de livres dans nos bibliothèques religieuses... Si on peut s’en réjouir, dans l’esprit authentique de la réunion de prière d’Assise (et des autres depuis, organisées par la communauté Sant’ Egidio de Rome), on doit aussi offrir les critères de discernement et les perspectives théologiques nécessaires à une réception honnête et féconde des « voies » de l’Orient. Le texte du P. Joseph Masson, s.j., spécialiste bien connu des religions non chrétiennes, nous offre avec clarté cet exercice de respect indispensable à tout accueil de l’autre en sa différence.
Écrit avant la récente Lettre du Saint-Siège sur “Quelques aspects de la méditation chrétienne” (14 décembre 1989), l’article a pour objet de nous introduire sommairement aux enjeux et aux difficultés de la rencontre de ces deux “démarches”. On n’y cherchera donc par autre chose qu’un témoignage averti des impasses, mais aussi des possibilités, de l’apport oriental à notre quête de l’Absolu.
Une religieuse bénédictine a eu l’occasion de passer un mois dans un monastère zen au Japon. Elle nous invite à partager ses découvertes.