La vie consacrée en images
Noëlle Hausman, s.c.m., Jean-Marie Glorieux, s.j.
Hors-série • Septembre 2015
| P. 68-77 |
Le cinéma, cette sorte de théologie de l’image… Récemment, plusieurs œuvres filmées ont donné de voir quelque chose de la vie consacrée et suggéré, croyons-nous, ce que le petit monde des consacrés peut mettre au jour : un affrontement des libertés personnelles ou encore des traditions culturelles. Le propos de cette chronique ne relève pas de la critique cinématographique proprement dite ; on veut y réfléchir aux « choses vues », pour parler comme l’Écriture, en se risquant à les interpréter. Nous avons retenu cinq films. Le premier, Marie Heurtin, devrait faire date pour ce qu’il met en scène de l’éducation par le toucher, dans un long voyage vers l’intériorisation de l’amour. Nous présentons les autres deux par deux : d’abord Sœur Faustine, vrai repoussoir d’Ida, des œuvres évoquant ensemble, mais de manière incroyablement contrastée, l’âme et l’histoire polonaises ; puis Le temps de quelques jours et Celle qui avance comme l’aurore, filmant la vie de moniales trappistines, dans la complémentarité irréfragable du milieu communautaire et de l’itinéraire personnel.
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