De Ruth à Marie
Le chant de la vie consacrée
Moïsa Leleu, f.m.j.
Hors-série • Septembre 2015
| P. 78-80 |
L’œuvre du Père Rupnik, dont les deux personnages féminins principaux se font face sur les murs de la chapelle des Sœurs du Précieux Sang, à Rome, peut se lire de bien des manières : comme une méditation sur le passage en forme d’accomplissement de l’Ancien au Nouveau Testament, de l’attente à la réalisation, du labeur à la rencontre ; mais plus encore comme le chemin d’une vie – et pourquoi pas d’une vie consacrée, en laquelle Ruth et Marie symbolisent une même vocation à l’amour qui œuvre et peine, et se repose tout à la fois dans le Bien-Aimé, ici rencontré comme l’Enfant mais aussi (sur le mur de l’autel) comme le Ressuscité partageant le pain pour les disciples d’Emmaüs. Une rencontre, une histoire – un chant.
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