Éditorial | Que la vie consacrée, dans ses formes si gracieusement diverses, « ne puisse faire défaut à l’Église » (VC 29), voilà la promesse avec laquelle nous pouvons nous acheminer vers le troisième millénaire. Elle relève de la compréhension que l’Église a du don reçu de sa vie même et, tout uniment, de la conscience qu’elle a, d’avoir l’assurance spirituelle d’une réponse accordée à ce qu’elle reçoit. Que les formes que cet accomplissement de la grâce baptismale a connu ne jouissent pas de cette pérennité accordée à (...) Voir le numéro