Tous sarments de l’unique vigne
Associations de laïcs nées sous l’impulsion spirituelle des instituts de vie consacrée et des sociétés de vie apostolique
Aquilino Bocos Merino, c.f.m.
N°1995-4 • Juillet 1995
| P. 224-234 |
Dans le moment ecclésial qui est le nôtre, où nous avons à relire l’exhortation Christifideles laici en nous préparant à recevoir celle qui clôturera les travaux du synode de 1994, il est capital de bien situer les questions et de bien orienter les pratiques qui touchent cette aide et cette responsabilité mutuelles qui tissent la vie de communion dans l’Église. Cette note, émanant du Conseil pontifical pour les laïcs, nous aidera à promouvoir cet “échange de dons” avec respect et créativité.
Note : En parlant de la vie consacrée par rapport aux associations de fidèles, nous entendons nous référer aussi aux sociétés de vie apostolique.
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L’association charismatique : tradition et nouveauté
Tradition
L’interaction entre vie consacrée et fidèles laïcs jaillit de la vie chrétienne elle-même. En effet, le rapport plus ou moins réglementé, que nous pouvons appeler association charismatique, est une réalité ecclésiale qui, sous certaines de ses formes, remonte au monachisme.
Les institutions de vie consacrée deviennent vite des centres de rayonnement. Autour d’elles gravitent des personnes, isolées ou en groupes, qui désirent bénéficier de leur spiritualité et se forger un esprit selon le style des moines : elles cherchent donc à vivre une vie d’austérité et de pénitence, elles coopèrent à leur mission, elles aident les personnes consacrées dans différents services, allégeant ainsi leurs tâches. La spiritualité de la vie consacrée prend la première place et devient paradigme de la spiritualité chrétienne.
Les fidèles, associés ou non, sous ce nom ou sous un autre, avec un lien plus ou moins étroit, entretiennent un certain rapport de dépendance vis-à-vis de leurs familles religieuses respectives. Cette réalité a connu des évolutions diverses au cours des siècles et l’interaction entre communion et lien, entre vie consacrée et fidèles non publiquement consacrés a pris différents noms et modalités [1].
Nouveauté
C’est avec une grande joie que nous voyons aujourd’hui ressusciter le laïcat. À vrai dire, ce n’est pas un fait totalement nouveau, et c’est d’ailleurs pourquoi nous parlons de résurrection. Bien qu’il y ait des coïncidences avec le mouvement des XII. et XIIIe siècles, la nouvelle conscience du laïcat repose aujourd’hui sur sa condition de membre du peuple de Dieu, sur la dignité commune des enfants de Dieu et sur la vocation universelle à la sainteté et à la mission évangélisatrice.
La tendance associative représente un phénomène très important, particulièrement parmi le laïcat ; elle se concrétise surtout dans les nouveaux mouvements. Il suffit de mentionner ici le Néo-catéchuménat, les Focolari, Communion et Libération, la Légion de Marie et, bien qu’avec quelques nuances, l’Opus Dei. La tendance que nous désignerons sous le terme d’association charismatique appartient à ce courant : elle veut établir un lien étroit entre les instituts de vie consacrée et le laïcat. Notre exposé se concentrera sur cette tendance associative.
Commençons par signaler quelques nouveautés sur ce point.
– D’abord la demande adressée par les laïcs, de leur propre initiative, aux institutions de vie consacrée, pour prendre part à leur charisme, dont ils se sentent eux aussi dépositaires. Ils ne se contentent pas d’une simple collaboration, mais cherchent à participer le plus intimement possible à la spiritualité, aux projets de mission et à la vie même de la famille religieuse, parce qu’ils se sentent identifiés à l’esprit du fondateur ou de la fondatrice [2]. - Puis l’ouverture des instituts, ainsi que leur volonté et leurs efforts de promotion associative à la demande des fidèles. Les religieux se sentent poussés à communiquer aux laïcs leur richesse charismatique, pour ce qui a trait à leur spiritualité comme à leur action apostolique. - Ensuite l’aspiration à vivre cette association d’une manière créative dans l’interaction, en sauvegardant en même temps l’identité de chaque groupe. Les caractéristiques et le degré de lien et de participation selon lesquels il est possible de vivre cette communion charismatique sans que les deux institutions se confondent - religieux d’une part et laïcs de l’autre - sont à l’étude.
Situation actuelle : orientations et modalités des expériences
Multiplication du nombre des expériences
Ce qui frappe, c’est la multiplication des expériences par lesquelles on tente de répondre à la demande décrite plus haut. On est ainsi en présence d’expériences, positives ou négatives.
- Expériences positives. Elles sont nombreuses. Bruno Secondin en cite quelques-unes et les qualifie de “vivantes et intéressantes”. Il mentionne notamment : l’Association missionnaire de Marie, liée aux Missionnaires Oblats ; les Coopérateurs de Sainte-Dorothée aux Sœurs de Sainte-Dorothée, le Mouve- ment des Laïcs clarétains aux Missionnaires clarétains et la Famille Lasallienne aux Frères des Écoles Chrétiennes. On citera aussi les Coopérateurs salésiens, la Famille du Carmel, la Communauté Dehonienne, la Société des Missionnaires d’Afrique, les groupes liés aux Dominicains, aux Passionistes, aux Trinitaires, aux Mercédaires, aux Prêtres de Don Orione, etc..
- Expériences négatives. Au cours de ces années post-conciliaires, on a vu éclore certaines expériences insuffisamment soumises à discernement ou approbation. Il suffit de rappeler celles de Bernard Besret, à l’abbaye cistercienne de Boquen, celle du P. Olivier du Roy, à l’abbaye bénédictine de Maredsous, et d’autres encore, qui n’ont pas su intégrer dans leur projet de vie les valeurs de la vie consacrée et celles du laïcat.
Orientations et modalités
À partir de l’étude des Statuts de quatre de ces Associations laïques [3], on peut relever :
– Un dessein de relecture du charisme de l’institut correspondant à la laïcité des associés. L’orientation et les aspects mis en évidence sont les suivants :
Le Christ comme modèle à suivre : chaque association présente dans ses statuts les traits fondamentaux nécessaires à une existence où le Christ est à la fois le fondement et le modèle de comportement. La proposition consiste à vivre une vie chrétienne engagée dans le monde.
La recherche d’une insertion nettement ecclésiale : par un lien avec l’Église diocésaine et avec l’Église universelle, les personnes liées se rendent souvent disponibles, de façon temporaire ou définitive, pour remplir certaines missions ecclésiales.
L’acceptation de valeurs typiques de la vie consacrée, y compris la chasteté, mais dans la ligne de la condition séculière.
L’acceptation de la spiritualité et de la mission de l’institut auquel elles s’associent, qui leur permet de former une “famille” avec celui-ci.
Des liens étroits entre l’institut et l’association, qui naissent de la conscience de participer à un unique don charismatique.
Dans certains cas, le terme consécration est également accepté en référence aux conseils évangéliques, dans un sens plus large que celui que revêt ce terme dans la vie religieuse. Ce terme de consécration recouvre alors notamment le mariage.
– Une volonté de définir les particularités et les différences qui distinguent les deux institutions et à travers lesquelles elles ont chacune leur propre identité :
L’agrégation au mouvement ou à l’association laïque : il s’agit d’un certain type de lien grâce auquel s’établit l’insertion dans le groupe laïc qui, bien que stable dans l’ordre du désir, peut toutefois être rompu.
L’autonomie par rapport à l’institut dont elles partagent le charisme.
La promotion ferme et jalouse de leur identité laïque.
Difficultés
La voie que doivent parcourir ces associations pour obtenir de bons résultats n’est pas facile. En effet, elles ne bénéficient pas de l’attrait de la nouveauté absolue, comme dans le cas des nouveaux mouvements, et il n’est pas aisé d’établir les limites de proximité, de familiarité et de rapports réciproques entre vie consacrée et association, ni l’équilibre entre soutien et intromission. En outre, les associations, en dépit de leur inspiration spécifique et de leur volonté d’indépendance, attendent parfois trop de l’institut.
Les difficultés principales concernent en général la forme à définir pour établir et organiser la forme de lien appropriée et la nécessité de sauvegarder les différences imprescriptibles. En revanche, il n’existe généralement pas de difficultés doctrinales importantes. Par ailleurs, pour l’instant, l’insistance n’a pas particulièrement porté sur le cadre juridique établi par le Code pour ce type d’associations (cf. can. 303).
Points de référence au sein du Magistère ecclésial
Peut-on penser à un charisme dont seraient destinataires ou dépositaires des personnes consacrées et des laïcs, des gens mariés et des célibataires ?
Pour répondre à cette question, il faut se placer dans la perspective ecclésiologique ouverte par le Concile Vatican II et poursuivie par le Magistère de l’Église. La Constitution sur l’Église (LG), le Décret sur la rénovation et l’adaptation de la vie religieuse (PC), les documents Mutuæ relationes (MR) et “Religieux et promotion humaine” (RPH), les Exhortations apostoliques Christifideles laici (ChL) et Pastores dabo vobis (PDV), ainsi que la Déclaration du Synode extraordinaire de 1985 expriment la compréhension que l’Église a acquise d’elle-même en tant que mystère, communion et mission.
L’Église, peuple de Dieu, est mystère parce qu’elle est icône de la Trinité. Évoquer cette dimension de mystère, cette dimension sacramentelle de l’Église, évoque le don, la grâce, la vie nouvelle dans l’Esprit qui nous fait devenir enfants de Dieu et frères dans le Christ.
L’Église -communion exprime le contenu central du mystère, à savoir le dessein de salut (ChL 19). Et “la communion ecclésiale se présente, pour être plus précis, comme une communion ‘organique’, analogue à celle d’un corps vivant et agissant : elle se caractérise, en effet, par la présence simultanée de la diversité et de la complémentarité des vocations de vie, des ministères, des charismes et des responsabilités” (ibid., 20).
L’Église -mission reflète l’esprit missionnaire de l’Église-communion. La communion devient mission, car elle est signe et force d’attraction pour croire.
C’est dans ce cadre de référence - l’ecclésiologie de communion organique, à l’intérieur de laquelle toutes les vocations ont une même origine et une même fin - qu’a été proposée, ces dernières années, la théologie sur la vie consacrée, le laïcat et le ministère ordonné considérés l’un par rapport à l’autre.
Avec ces présupposés théologiques, la théologie de la vie religieuse a réfléchi en profondeur et de façon cohérente sur l’importance de la mission des Fondateurs dans l’Église et dans les communautés qu’ils ont fondées [4]. L’étude de l’histoire des fondations a permis de redécouvrir la valeur du charisme comme don de Dieu au service de la communauté ecclésiale [5]. Elle a jeté une lumière nouvelle sur les rapports réciproques entre religieux et laïcs et a mis en valeur cette tendance à s’associer qui semble être l’un des signes de notre temps ecclésial et dont la mesure doit encore être pleinement découverte. L’histoire de l’Église ne manque pas de fondateurs qui ont incarné un charisme avec un double rayonnement : envers leur propre communauté et envers les laïcs. On a vu récemment des hommes et des femmes, guidés par l’Esprit, réunir des communautés de vie et d’apostolat très hétérogènes, reconnues comme associations de fidèles. Ce sont les nouvelles voies de l’Esprit, qui recrée sans cesse son Église.
Il est clair qu’il faudra revoir la façon d’expliquer les identités vocationnelles en partant d’une perspective purement statique et hermétique. De même, il faut dire que bien des valeurs, considérées uniquement comme des prédicats de la vie consacrée, doivent être soustraites à ce monopole, car elles appartiennent à toutes les formes de la vie chrétienne.
Les normes actuelles de l’Église prennent en compte cette réalité ecclésiale et reconnaissent à la vie consacrée sa force de rayonnement. Le canon 303 parle des fidèles qui participent à l’esprit de l’institut religieux et de sa haute direction.
Indications à considérer pour un développement à venir
En regardant vers l’avenir, je dirais en synthèse :
Le lien charismatique est un chemin ouvert
– Sans attendre que l’approfondissement théologique arrive à des conclusions définitives et sans oublier cette œuvre de réflexion, il est impératif de poursuivre le processus de création ou de rénovation des relations mutuelles, même si cela doit se faire sous forme expérimentale. Il faut pour cela bien examiner les expériences déjà faites par de nombreux instituts et associations qui leur sont liées.
– Tirer toutes les conséquences possibles de la forme de lien mutuel dans le cadre établi par la législation canonique. Sur la base de celle-ci, tous les instituts de vie consacrée et toutes les sociétés de vie apostolique peuvent promouvoir ce type de lien, et pas seulement ceux ou celles qui le possédaient précédemment. L’Église tire profit du fait que les instituts de vie consacrée élargissent leur rayonnement spirituel et apostolique et étendent leur force charismatique au sein de l’Église.
– L’interaction doit être réciproque. Chaque institution et chacun de ses membres doivent apporter leur richesse et doivent s’ouvrir à la richesse des autres, sans jalousies et sans vouloir être au centre de tout. La virtualité du charisme se manifeste plus pleinement lorsqu’elle s’incarne dans différentes formes de vie.
Aspects fondamentaux pour un juste partage du charisme et pour une juste participation à celui-ci
– La conscience réfléchie de posséder un même don de grâce, d’être mûs par l’Esprit pour réaliser en communion une même mission et vivre une spiritualité authentique.
– Posséder une expression objective des relations mutuelles : critères (principes) et organisations (statuts). Et relecture laïque du charisme qui s’ensuit.
– Encourager par des actes concrets (réunions, rencontres, sessions d’étude et programmation conjointe) l’harmonie psychologique et spirituelle des religieux et des laïcs.
– Expliciter les relations de soutien réciproque de chaque partie dans la mesure de ses possibilités et de ses richesses. S’intéresser aux besoins d’autrui. Partager événements, anniversaires, etc.
Respect et soutien des éléments spécifiques de chaque genre de vie
La richesse consiste à ce que chacun vive sa propre vocation avec ses particularités spécifiques : le consacré en tant que consacré et le laïc en tant que laïc. À cette fin, nous retenons les éléments suivants :
- En ce qui concerne les deux parties : la liberté et l’indépendance d’organisation nécessaires. S’aider ne signifie pas supplanter l’autre. L’institution la plus solide et la plus stable pourra, d’une manière transitoire, aider l’autre à se renforcer.
- En ce qui concerne la vie consacrée : les particularités charismatiques de sa façon de vivre les conseils évangéliques, la vie en commun, la séparation ou la propriété des biens, le régime interne.
- En ce qui concerne l’association laïque et ses membres : la re-traduction laïque du charisme en une spiritualité ou en une dynamique apostolique, les droits et les obligations dérivant de l’état conjugal et laïc, l’économie, l’intimité familiale, la liberté des enfants qui ne doivent pas se trouver engagés dans le lien charismatique contre leur volonté, etc.
Valeurs et perspectives
Lorsque l’on étudie ce thème et que l’on veut prendre position à son égard, il faut tenir compte de l’horizon qui s’ouvre à l’Église et des valeurs qui pourront être davantage favorisées.
Les valeurs
De l’association charismatique on peut attendre une plus grande maturité chrétienne et un meilleur rayonnement apostolique. À savoir, concrètement :
– Progrès de la vie en communion : l’association charismatique permet de faire une expérience vivante d’Église et de famille qui enrichit aussi bien la vie religieuse que la vie laïque, et qui permet de capter plus pleinement la force des charismes.
– Progrès de la vie chrétienne et apostolique : ce sont les deux grandes motivations qui conduisent les laïcs à rechercher l’association. De cette manière, en effet, ils trouvent un débouché pour leurs élans intérieurs et l’apostolat s’élargit et progresse car il rencontre un milieu plus incisif pour l’évangélisation.
Face à la diminution des effectifs de la vie consacrée, celle-ci se voit contrainte d’abandonner certaines œuvres sans pouvoir garantir la continuité de leur direction et de leur esprit. L’association peut en partie remédier à ces limites.
– Dépassement d’attitudes peu ecclésiales d’isolement ou de monopole, grâce à la complémentarité du charisme.
Quelques points dignes d’attention
Dans le développement qui suivra, il faudra faire attention à :
- bien délimiter les spécificités, afin qu’aucune confusion ne se produise, mais bien une véritable richesse ;
- une formation adéquate en vue de la communion, de la collaboration et de l’aide, sans interférences ;
- s’accorder une période d’essai : avant de donner une forme juridique définitive aux nouvelles réalités, une période de rodage et de maturation, que seule l’expérience peut apporter, est nécessaire.
Conclusion
L’Esprit Saint, en offrant ses dons et en les faisant fructifier, ouvre de nouvelles voies de témoignage et d’engagement apostolique dans l’histoire du salut. La vie va au-delà de toute norme et rend pratiquement vaines toutes les prévisions. Ce qui est certain, c’est que les efforts accomplis pour vivre le mystère de communion tournent à l’avantage de la croissance du royaume. Les religieux et les laïcs deviennent davantage ecclésiaux lorsqu’ils s’ouvrent à l’action de l’Esprit qui les rassemble et le service qu’ils rendent à l’Église devient d’autant plus fécond qu’ils partagent humblement et généreusement le don reçu pour l’édification du Corps du Christ.
Via Sacro Cuore di Maria,
I-00197 RO MA, Italie
[1] Dès le VIIe siècle, la vie monacale voit surgir autour d’elle un style de vie laïque qui forme avec elle la famille monastique. En son sein, les oblats et les convers parvinrent à entretenir des liens étroits avec les moines. C’est ce qui arriva aussi avec les Chanoines réguliers et les Ordres mendiants.Le mouvement laïc des XII.-XIIIe siècles se prolongea de fait en institutions de vie consacrée qui faisaient partie des ordres mendiants ; toutefois, autour d’eux naquirent les seconds ordres, à savoir la vie consacrée féminine, et l’institution des pénitents et les tiers ordres. De la sorte une véritable famille spirituelle se formait.Plus proches de nous, dans le rayon d’action des congrégations religieuses et des sociétés de vie apostolique, autrefois appelées sociétés de vie commune sans vœux, des mouvements, des groupes ou associations de fidèles désignés sous le nom de collaborateurs, associés, affiliés, tiers ordres, confréries, se sont nourris de leur esprit
[2] Cf. J.C.R. G. Paredes. Association de Laicos - Seglares y Religiosos en communion de Espiritu y de Mission. Conf. à l’Assemblée USG, Mai 1990, 17.
[3] Il s’agit du mémoire de licence de Carlo Fassano à l’Institut de Vie Religieuse Claretianum. La vita consacrata tra Associazioni di Laici e Nuove Communità. Rome 1992, où l’auteur étudie les statuts des Coopérateurs salésiens de la famille Dehonienne des Coopérateurs de Sainte-Dorothée et des Laïcs Clarétains.
[4] Le Magistère a souvent éclairé cette réflexion, cf. LG, PC, ET, MR, RPh, ainsi que de nombreux discours de Paul VI et de Jean-Paul II.
[5] Je signale comme œuvres fondamentales : J. M. Lozano. El Fundador y su familia religiosa. Madrid 1978 ; F. Ciardi. I Fondatori, uomini dello Spirito, Rome 1982 ; A. Romano, I Fondatori, profezia della storia, Milan 1989.