Éditorial | Les grilles du parloir ou leur suppression, les hauts murs qui ceinturent les monastères ou leur disparition, bref, le maintien, l’abandon ou la modification des diverses manières dont la vie cloîtrée a marqué, jusqu’à nos jours, sa séparation du monde, seront légitimement interprétés par nos contemporains comme le signe et le symbole de l’attitude que la vie consacrée adoptera en face du monde. Le problème qui se pose à tous les religieux – et non aux seules cloîtrées – est en effet (...) Voir le numéro