Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.

Chronique d’Ecriture Sainte (N.T.)

Véronique Fabre

N°2004-4 Octobre 2004

| P. 273-279 |

Les ouvrages que les éditeurs ont bien voulu nous envoyer cette année, peuvent être classés en trois catégories : les Évangiles (I), Jésus (II), Paul (III). Nous en ajouterons une de plus avec quelques livres généraux (IV). Deux remarques se dégagent de l’ensemble de ces ouvrages : les rapports semblent s’améliorer entre analyse historico-critique et approches littéraires ; plusieurs études mettent en œuvre l’intertextualité et se penchent sur la question de l’accomplissement des Écritures.

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Nouveau Testament

Les ouvrages que les éditeurs ont bien voulu nous envoyer cette année, peuvent être classés en trois catégories : les Évangiles (I), Jésus (II), Paul (III). Nous en ajouterons une de plus avec quelques livres généraux (IV). Deux remarques se dégagent de l’ensemble de ces ouvrages : les rapports semblent s’améliorer entre analyse historico-critique et approches littéraires ; plusieurs études mettent en œuvre l’intertextualité et se penchent sur la question de l’accomplissement des Écritures.

I

Un premier livre commente le Sermon sur la montagne (Mt 5 – 7) [1]. L’auteur, A. Myre, professeur retraité de la Faculté de théologie de l’Université de Montréal, présente le Sermon comme un chemin de bonheur pour tout être humain, à condition qu’il cherche. Le commentaire se déroule au fur et à mesure du texte qui apparaît selon une traduction originale se voulant très proche du texte grec. Par exemple, la première béatitude devient : « Comme ils seront comblés les essoufflés ! On leur destine le Royaume de Là-haut » (Mt 5, 3). Des « Réflexions » suivent souvent le commentaire et permettent à l’auteur de montrer combien le Sermon est un chemin actuel.

C. Focant, professeur de Nouveau Testament à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain-la-Neuve, nous offre un commentaire de l’évangile selon Marc, dans la nouvelle collection « Commentaire biblique : Nouveau Testament » des éditions du Cerf [2]. Selon l’objectif de cette collection, le commentaire est scientifique tout en demeurant accessible à un large public. Ainsi chaque péricope donne lieu à une traduction aussi littérale que possible, une bibliographie circonstanciée, une interprétation tenant compte de l’articulation du texte, et enfin des « Notes » plus techniques. L’approche utilisée est précisée dans l’avant-propos : « Même si le vocabulaire technique de l’analyse narrative n’est pas employé, c’est bien elle qui guide la démarche. Les principaux résultats de la méthode historico-critique, particulièrement ceux de la critique de la rédaction, ne sont cependant pas négligés ; on les retrouvera dans les notes » (p. 7). C’est un outil très précieux qui est ainsi mis à notre disposition pour lire et approfondir le second évangile marqué par le paradoxe et l’énigme. « Il n’est pas exagéré de parler à propos de Marc d’une christologie de l’étonnement » (p. 43). Que l’auteur soit remercié de son aide pour mieux découvrir le Jésus de Marc !

Un autre ouvrage s’attarde à découvrir le Jésus de Marc, mais cette fois-ci, à travers quelques mots importants et quelques thèmes déterminants de l’évangile [3]. La lecture proposée par J.-M. Babut, traducteur et expert bibliste au service de l’Alliance biblique universelle, est contextuelle : chaque épisode examiné est lu comme un tout ayant sa propre cohérence, et est resitué dans l’ensemble dont il fait partie. Ici aussi, l’ouvrage s’adresse à la fois aux spécialistes qui trouveront des notes techniques et des indications bibliographiques en fin de chapitre, et aux simples amateurs qui bénéficient entre autres des translittérations et des traductions du grec, au fil du texte. L’étude s’achève par la formulation de questions adressées d’une part à l’exégète et à l’historien, d’autre part aux Églises.

L’Évangile de Jean est un évangile spirituel. Telle est l’affirmation que déploie M. Gourgues, professeur au Collège universitaire dominicain d’Ottawa, dans un livre intitulé : En Esprit et en vérité [4]. Sa perspective est synchronique et son parcours s’articule en deux temps : « Il s’agit, dans un premier temps, de retracer le visage particulier du quatrième évangile, d’y repérer certaines clés de lecture, tant du point de vue littéraire que théologique, quitte à fournir, ici et là, quelques indications concernant son origine et sa formation. Dans un second temps, nous nous concentrerons sur le thème particulier de l’Esprit Saint. La vision de Jean sur ce point, qui n’a encore fait l’objet que de peu d’études d’ensemble en français, s’avère particulièrement originale et la façon dont il l’exprime témoigne de façon typique de sa manière propre et de la plupart des procédés littéraires que nous aurons retracés dans la première partie » (p. 6 et 7). Pour Jean, l’Esprit Saint est l’Esprit de vérité. Mais il faut suivre l’auteur pas à pas dans cette très belle étude pour découvrir toute la portée de cette affirmation.

L’exégète R.E. Brown, spécialiste de saint Jean, a accepté d’écrire une retraite à partir du quatrième évangile [5], en retournant la proposition : il s’agirait plutôt d’une retraite donnée par Jean, avec l’aide de R.E. Brown, comme « Traducteur ». C’est ainsi que ce dernier fait parler l’évangéliste au fur et à mesure des sept étapes de la retraite. Chaque chapitre s’ouvre par des versets johanniques et s’achève par une actualisation et une prière finale du « Traducteur ». Ce commentaire méditation de l’ensemble de l’évangile johannique nous donne le goût de lire et de relire l’évangile de saint Jean.

Du même auteur, un autre petit livre se penche sur les Évangiles dans la liturgie [6]. Le parcours commence par une double introduction méthodologique sur la lecture et la compréhension de la Bible. Puis le temps liturgique se déroule : Noël, le Carême, la Semaine sainte avec un chapitre particulier sur les récits de la Passion et l’antisémitisme, Pâques. Le tout se clôt sur la réponse catholique au défi du fondamentalisme. Là encore, ce livre constitue une bonne introduction à la lecture des Évangiles et il pourra accompagner la méditation du croyant tout au long de l’année liturgique.

Les Évangiles au chant des Psaumes [7]. Il ne s’agit pas d’une étude, mais plutôt d’une mise en pratique de l’intertextualité entre les Évangiles et les Psaumes. L’auteur, G. Marier, prêtre du diocèse de Nicolet (Québec) et fondateur de la Communauté du Désert de Victoriaville, lit entre les lignes des évangiles, des passages du Psautier qui était, comme pour tout juif, le livre de prières de Jésus. Certes, le choix des textes peut être discuté ainsi que les traductions proposées, mais à la lecture de ce petit livre, on expérimente combien c’est le même Esprit qui parle dans les Évangiles et dans les prophéties que sont les Psaumes.

II

Les éditions Lumen Vitae nous proposent le cahier 31 de la collection « Connaître la Bible » intitulé Se situer face à la croix [8]. P. Mourlon Beernaert, professeur à l’institut Lumen Vitae, considère le mystère pascal sous diverses facettes : six facettes comme celles d’un dé que l’on tourne et que l’on retourne, six facettes que l’on ne peut voir simultanément. La progression en trois temps successifs, affirmation – explication – synthèse, nous conduit du « Il est réveillé… d’entre les morts ! » jusqu’aux célébrations de la liturgie. Le chemin suivi est d’autant plus interpellant qu’il propose au fur et à mesure une application dans nos vies, à la fois bouleversante et étonnante : de la mort à la vie !

Notons une réédition du livre Les derniers jours de Jésus de F. Bovon [9], recensé jadis dans notre revue (cf. VC 1974, p. 305). Le livre a été mis à jour et complété par l’auteur qui explique lui-même son évolution : « Ce qui a le plus changé depuis la première édition de ce livre, c’est notre conscience d’historien. Nous nous rendons mieux compte aujourd’hui des limites de toute enquête historique. Nous savons maintenant mieux qu’hier que toute description du passé est une reconstruction et que l’examen le plus objectif des témoignages et des sources demeure conditionné par l’identité de celui ou de celle qui les examine. Il est donc bon de dire que celui qui fait ici œuvre d’historien est aussi un croyant et même un théologien chrétien. Il est juste aussi d’ajouter que cet auteur refuse de succomber à ce qu’il considère comme une défaite de la connaissance. Nous continuons de croire que, malgré les préjugés et ce que les Anglo-saxons appellent les biases conscients et inconscients des savants, la communication entre les humains est possible et que l’entente peut se faire à la lecture des mêmes évidences » (p. 9). Cette réédition est bienvenue au moment de la sortie du film The Passion réalisé par M. Gibson : peut-on raconter « l’histoire comme la Bible la raconte » ?

Mort et ressuscité selon les Écritures [10]. R. Meynet, professeur à l’Université Grégorienne de Rome, nous propose une lecture figurative des récits de la Pâque de Jésus dans les évangiles synoptiques. Il montre avec force et lumière comment le texte évangélique laisse apparaître derrière Jésus, comme en filigrane, toute une série de figures qui ponctuent l’histoire : « les figures de l’origine », Adam, Abel, Noé, Abraham et Joseph ; « les figures de l’histoire », de Moïse à Jérémie en passant par Josué, David surtout et Élie ; « la figure de la fin » avec le serviteur souffrant qui représente la fin des figures. C’est une grande joie de lire et de relire les textes bibliques se répondant les uns les autres, et de pouvoir pénétrer un peu plus ce mystère de l’accomplissement du Christ, qui est nouveauté radicale, inouïe : « Allez dire à mes frères… » (Mt 28, 10). Au centre de la séquence de la résurrection, le mot-clé est prononcé, qui change tout ; là réside l’illumination qu’apporte le serviteur, la connaissance qui sauve. En appelant les disciples « ses frères », il révèle que le pardon leur est donné, que « le salut et la guérison » leur sont accordés, que la filiation divine leur est restituée. Le serviteur, les serviteurs ont disparu. Il ne reste que des frères, Abel a racheté Caïn » (p. 172).

Un autre ouvrage nous parle d’accomplissement, celui d’E. Nodet, enseignant le judaïsme ancien à l’école biblique de Jérusalem : Histoire de Jésus ? Nécessité et limites d’une enquête [11]. Son étude procède à partir des évangiles en tant qu’accomplissement des Écritures : « Il ne s’agit pas de la réalisation mécanique d’un programme, mais d’une manière spéciale de dire des choses neuves, avec une langue ancienne, en affirmant qu’il s’agit de la même inspiration, du même Esprit. La langue est adossée à une mémoire scripturaire, et telle est la dimension sacramentelle de l’Écriture » (p. 204-205). Dans une démarche à rebours, l’auteur s’efforce de remonter aux faits initiaux, à partir de l’Eucharistie jusqu’à la Vie de Jésus qui, à elle seule, occupe la moitié du livre. Le livre riche et dense, s’achève avec une annexe donnant accès aux principaux textes anciens non bibliques utilisés par l’auteur.

D’Angleterre nous vient une autre enquête sur Jésus [12]. G. Vermes, professeur à Oxford, spécialiste des manuscrits de la Mer morte, se propose de remonter le temps à partir de la figure de Jésus la plus complexe et la plus tardive de l’évangile de Jean, jusqu’à celle des synoptiques, en passant par le Christ de Paul et le Jésus des Actes des Apôtres. Finalement, le Jésus véritable caché sous les évangiles, apparaît comme un prophète charismatique palestinien, un thaumaturge comme beaucoup le furent en son temps, une victime du parti des prêtres et de l’occupant romain. Les positions de l’auteur, très claires, ont l’avantage de permettre au lecteur de se situer à son tour.

Peter Tomson, théologien réformé néerlandais, étudie le traitement réservé aux Juifs dans le Nouveau Testament, dans un livre intitulé : L’Affaire Jésus et les Juifs [13]. La question est considérée sous trois aspects : ce que représente Jésus pour les Juifs et les Chrétiens ; le procès et la crucifixion de Jésus avec les responsabilités respectives ; l’antagonisme entre Juifs et Chrétiens. L’ouvrage se veut un compte rendu vraisemblable de faits observés, et s’adresse à des lecteurs aussi bien juifs que chrétiens, profanes ou initiés. Certes, le point de vue choisi maintient le lecteur dans une certaine extériorité, mais celle-ci permet de prendre conscience des durcissements de part et d’autre. On s’aperçoit que les différents écrits néotestamentaires portent, plus ou moins, les traces d’une interprétation antijuive de l’évangile de Jésus, alors que Jésus ne comprenait sa vocation que dans le cadre du judaïsme. L’étude s’achève avec une ouverture permettant aux lecteurs d’accueillir les différentes positions vis-à-vis des Juifs qui se rencontrent dans le Nouveau Testament.

Un tout petit mais très précieux livre vient s’ajouter au précédent [14]. Il s’agit d’une cantate à trois voix. S. Légasse répond à la question : Qui est responsable de la mort de Jésus en croix ? Ce sont à la fois des Romains et des Juifs, mais la culpabilité du côté juif a été forcée dans les premiers écrits chrétiens du Nouveau Testament. P. Tomson montre ensuite que le film de Mel Gibson reprend l’image traditionnellement négative, et il invite à revenir au sens théologique de la mort de Jésus contenu dans le N.T. Enfin, un texte de P. Beauchamp déploie à sa manière la célèbre phrase de Jean-Paul II prononcée devant le Conseil central des Juifs d’Allemagne, le 17 novembre 1980 : « La rencontre entre le peuple de Dieu de l’Ancienne Alliance qui n’a jamais été révoquée par Dieu et le peuple de Dieu de la nouvelle alliance est aussi un dialogue à l’intérieur de notre Église et en même temps entre la première et la deuxième partie de sa Bible. »

III

Saint Paul, homme de prière [15]. Claude Tassin, exégète enseignant à l’Institut Catholique de Paris, explicite cette dimension essentielle de Paul en un parcours constitué de quatre chapitres : La prière de Philippiens 1, 3-11 ; Aux racines de la prière de Paul ; La prière de Romains 1, 8-15 ; La prière, acte prophétique. Ce dernier point constitue la pointe de l’analyse et touche l’enracinement de la Parole de Dieu dans nos existences. Ainsi, Paul apparaît comme un véritable maître de prière.

Une fois n’est pas coutume, un chercheur juif nous parle de la conversion de Paul [16]. A.F. Segal, spécialiste des études juives, enseigne l’histoire des religions au Barnard College, Columbia University. En étudiant l’expérience religieuse, en particulier de la conversion, il cherche à la fois une meilleure compréhension des épîtres pauliniennes et une plus grande connaissance de l’histoire juive : « Paul écrit à une communauté chrétienne toute nouvelle et qui est encore juive pour l’essentiel ; il nous apporte ainsi le seul témoignage d’un monde du judaïsme hellénistique quotidien aujourd’hui disparu […] Après Paul, l’histoire a considéré que le christianisme était différent du judaïsme. Ce fait qui semble indéniable aujourd’hui n’était guère évident au ier siècle. Paul se serait opposé avec force à toute distinction entre sa foi et son judaïsme, car il ne cessa de prêcher l’unité en Christ des juifs et des chrétiens. Cependant, le fait que Paul ait réuni juifs et gentils dans sa communauté fut, par une étrange ironie, un pas décisif vers la séparation du judaïsme et du christianisme » (p. 10 et 11). Ces quelques lignes nous montrent l’intérêt de ce volumineux ouvrage pour tous ceux qui désirent mieux comprendre notre histoire chrétienne et qui n’ont pas peur de s’ouvrir à la pensée de l’autre.

IV

Le nom de Daniel Marguerat, professeur de la Faculté de théologie protestante à Lausanne, est connu des lecteurs de notre revue (cf. VC 2001, 410 et VC 2004, 195). Un recueil d’articles lui rendant hommage à l’occasion de son 60e anniversaire, rassemble trente et un biblistes [17]. Le parcours manifeste la richesse de la pluralité des approches, chère à l’exégète : « Parmi les études qui suivent, certaines se situent dans le cadre de l’exégèse historico-critique tout en restant informées des données de l’analyse narrative. D’autres sont au confluent des deux méthodes et cherchent à les articuler d’une manière satisfaisante. D’autres encore partent de l’analyse narrative, en essayant d’ouvrir une voie vers la théologie du récit » (p. 10). L’ensemble est organisé en cinq parties : Thèmes traversants, Évangiles synoptiques, Jean, (Luc) - Actes, Épîtres et Apocalypses. Ce serait trop long de mentionner chaque article de ce trésor substantiel, contentons-nous de l’ouvrir : « L’Écriture comme promesse et comme clôture » (F. Bovon).

Point n’est besoin de présenter X. Léon-Dufour qui a consacré sa vie à l’étude du Nouveau Testament. Un bibliste cherche Dieu [18] : « Arrivant au bout du chemin, j’ai pensé pouvoir m’appuyer sur telle ou telle de mes publications dispersées en divers recueils pour tracer un itinéraire de recherche qui couvre un demi-siècle. Je les ai choisies non pas pour donner un panorama exhaustif de mon travail, mais en vue d’agencer les étapes de ma découverte de Dieu. J’ai distribué mes publications en fonction de l’itinéraire que j’ai suivi, à savoir en allant du problème de l’historique (que s’est-il passé ?) à celui du langage (comment est-ce dit ?), enfin à celui du sens (qu’est-ce que cela veut dire ?) » (p. 7 et 8). L’ouvrage rassemble trente articles écrits entre 1958 et 2003. C’est dans la pratique exégétique en acte que le savant retrace son itinéraire de croyant intellectuel.

Enfin, achevons notre chronique avec le 32e cahier de la collection « Connaître la Bible » déjà rencontrée ci-dessus. Il s’agit d’un commentaire du seul verset de l’Apocalypse : L’Esprit et l’Épouse disent « Viens ! » (Ap 22, 17) [19]. C. Patier, de l’ordre des Vierges consacrées, procède en trois étapes : Dieu vient, l’Esprit Saint nous fait désirer sa venue, la vocation de l’épouse est celle de tout être humain. Chaque point est approfondi à la lumière des Écritures et à l’aide d’écrits juifs et chrétiens. Des visites du Seigneur racontées dans l’Ancien Testament aux noces de l’Agneau célébrées dans l’Eucharistie, le parcours est riche de diverses harmoniques. Il est unifié par la fin vers laquelle il nous achemine : le mystère des épousailles du Christ et de l’Église.

[1A. Myre, Écoutez ce que je vous dis. Le Sermon sur la montagne (Mt 5 – 7), Québec, Ed. Paulines, 2002, 21 x 15 cm, 182 p., 14,80 €.

[2C. Focant, L’évangile selon Marc, coll. « Commentaire biblique : Nouveau Testament », 2, Paris, Cerf, 2004, 23 x 15,5 cm, 661 p., 49,00 €.

[3J.-M. Babut, Pour lire Marc. Mots et thèmes, coll « Initiations bibliques », Paris, Cerf, 2004, 21,5 x 13,5 cm, 265 p., 25,00 €.

[4M. Gourgues, En Esprit et en vérité : Pistes d’exploration de l’évangile de Jean, coll. « Sciences bibliques », 11, Montréal, Médiaspaul, 2002, 22 x 14 cm, 25,50 €.

[5R.E. Brown, Une retraite avec saint Jean, Paris, Cerf, 2004, 19,5 x 13,5 cm, 129 p., 16,00 €.

[6R. E. Brown, Lire les Évangiles avec l’Église, Paris, Cerf, 2004, 19,5 x 13 cm, 119 p., 15,00 €.

[7G. Marier, Les Évangiles au chant des Psaumes, Québec, Anne Sigier, 2003, 22,5 x 12,5 cm, 118 p., 13,00 €.

[8P. Mourlon Beernaert, Se situer face à la Croix. Les étapes vécues par les premiers chrétiens, coll. « Connaître la Bible », 31, Bruxelles, Lumen Vitae, 2003, 21 x 15 cm, 80 p., 9,00 €.

[9F. Bovon, Les derniers jours de Jésus, coll. « Essais bibliques », 34, Genève, Labor et Fides, 2004, 22,5 x 14,5 cm, 118 p., 15,00 €.

[10R. Meynet, Mort et ressuscité selon les Écritures, Paris, Bayard, 2003, 20,5 x 12 cm, 177 p., 16,00 €.

[11E. Nodet, Histoire de Jésus ? Nécessité et limites d’une enquête, coll. « Lire la Bible », 135, Paris, Cerf, 2004, 21,5 x 13,5 cm, 248 p., 19,00 €.

[12G. Vermes, Enquête sur l’identité de Jésus. Nouvelles interprétations. Paris, Bayard, 2004, 24 x 16 cm, 272 p., 21,00 €.

[13P. Tomson, L’Affaire Jésus et les Juifs, coll. « Lire la Bible », 136, Paris, Cerf, 2003, 21,5 x 13,5 cm, 183 p., 18,00 €.

[14S. Légasse et P. Tomson, Qui a tué Jésus ? coll. « Lire la Bible », Paris, Cerf, 2004, 21,5 x 13,5 cm, 62 p., 9,00 €.

[15C. Tassin, Saint Paul, homme de prière. Originalité d’une prière d’Apôtre, Paris, Ed. de l’Atelier, 2003, 21,5 x 14,5 cm, 140 p., 14,00 €.

[16A.F. Segal, Paul le converti. Apôtre ou apostat, Paris, Bayard, 2003, 24 x 16 cm, 415 p., 26,00 €.

[17E. Steffek et Y. Bourquin (éd,), Raconter, interpréter, annoncer. Parcours de Nouveau Testament. Mélanges offerts à Daniel Marguerat pour son 60e anniversaire, coll. « Le monde de la Bible », 47, Genève, Labor et Fides, 2003, 22,5 x 14,5 cm, 380 p., 30,40 €.

[18X. Léon-Dufour, Un bibliste cherche Dieu, coll. « Parole de Dieu », Paris, Seuil, 2003, 20,5 x 14 cm, 358 p., 24,00 €.

[19C. Patier, L’Esprit et l’Épouse disent « Viens ! » (Ap 22, 17)], coll. « Connaître la Bible », 32, Bruxelles, Lumen Vitae, 2003, 21 x 15 cm, 80 p., 9,00 €.