Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Higoumène (Supérieure) du Monastère orthodoxe de Solan (Gard), Mère Hypandia a donné ce récit passionnant chez les Dominicaines de Prouilhe, dans le cadre d’un Colloque du diocèse de Carcassonne sur l’écologie. Querida Amazonia mise en œuvre avant la lettre !
Provinciale des Sœurs de la Charité Dominicaines de la Présentation de la Sainte Vierge, Présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France, la théologienne moraliste qui a fait ses armes auprès de X. Thévenot et C. Geffré, puis B. Cadoré, a accepté de répondre à nos questions.
Quand un missionnaire salésien chevronné, par ailleurs philosophe et professeur de théologie à Lubumbashi, parle à des membres de la vie religieuse en pause spirituelle, il arrive qu’il parle d’amour, d’un premier amour, même, qui porte à rendre grâce pour les fragilités de l’âge grandissant.
Depuis le Népal un père jésuite belge évoque pour nous sa longue présence « missionnaire » en Inde, puis son service à la Curie générale de Rome, et aujourd’hui, son expérience de formateur dans cette Région jésuite formée d’un tiers de jeunes. Imprégné par l’apport conciliaire de notre revue, il verrait bien que les religieux soient, au Népal et partout, plus clairement des « Témoins de la Cité de Dieu ».
Avec l’appui de sœur Carmen Sammut, présidente sortante (voir Vs Cs 2016-3), la récente réunion plénière de l’UISG nous est contée par la supérieure générale d’un petit institut diocésain belge. Des engagements ont été pris, confiés pour leur suivi à sœur Jolanda Kafka, missionnaire clarétaine, nouvelle présidente, et à son conseil.
Jésuite congolais, le P. Léon Ngoy Kalumba est professeur à l’Université de Lubumbashi. Ancien secrétaire de la commission épiscopale chargée de la vie consacrée de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo de 2004 à 2007, il enseigne la théologie spirituelle dans plusieurs institutions ecclésiastiques de Kinshasa, de Lubumbashi et d’Abidjan.
Directeur du CRVR d’Évry, notre ami dominicain Jean-Claude Lavigne, ancien directeur d’« Économie et Humanisme », aujourd’hui président des éditions du Cerf, poursuit ses avancées sur tous les aspects de la vie consacrée, en prise avec les défis du temps ; cette fois, c’est la nouvelle provocation à dire Dieu qu’il s’agit d’entendre, de la part des congrégations religieuses plus anciennes aussi bien que des communautés nouvelles.
Bénédictin de l’Abbaye de Maredsous, le frère Réginald-Ferdinand Poswick, auteur d’un récent Prier 15 jours avec... Columba Marmion, est l’un des initiateurs de la fameuse Table pastorale de la Bible. Il nous retrace ici, en mode décomplexé, son itinéraire personnel, depuis son entrée précoce dans la vie monastique, à travers toutes sortes de crises, jusqu’à ses nouveaux et toujours aventureux horizons.
Artiste et théologienne appartenant à une Congrégation fondée par le père V. Lebbe et longtemps clandestine, sœur Agnès fait écho à la situation actuelle de l’Église en Chine, après les Accords Pékin (Beijing)-Vatican. L’histoire contemporaine et la traversée d’autres cultures lui permettent de penser que tous les consacrés, même européens, sont appelés à la mission.
Nos deux auteurs, du monastère dominicain d’Évry (Paris), sont directeur et directeur-adjoint du Centre de recherche sur la vie religieuse (CRVR), qui y dispense, depuis peu, formations et publications (voir pour l’une d’elles notre chronique, p. 70-71). Ils traitent ici de la difficile question du devenir du charisme quand il s’inculture.
Fondées en 1963, les Petites Sœurs de l’Évangile vivent en petites fraternités internationales parmi les pauvres, pour faire Église avec eux. Sœur Simone Ponnet et ses consœurs ont ainsi passé de longues années « en prison », avec les détenus en fin de peine. Le cinéma vient de nous les faire connaître, maintenant que leur présence témoigne autrement d’une Providence sans frontières.
La Présidente des Amitiés Catherine de Sienne évoque, avec le dernier volume de la nouvelle traduction française des Lettres de Catherine Benincasa, ces Caterinati religieux, prêtres ou ermites, familiers de la grande « mystique du corps mystique », comme l’appelait Paul VI en la proclamant, en 1970, docteur de l’Église.