Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Quand des laïcs rejoignent des religieux et religieuses engagés de longue date dans le monde enseignant : une aventure que Catherine Boulanger et Jean-Jacques Erceau vivent au sein d’un organisme baptisé URCEC (Union des Réseaux Congréganistes de l’Enseignement Catholique), en tant que chargée de mission pour la formation et secrétaire général, et dont ils mettent en relief, pour Vies Consacrées, les enjeux les plus signifiants.
Sœur Christiane, carmélite du monastère de Bruxelles et depuis peu membre de notre Conseil de rédaction, est aussi l’auteur d’une Petite vie du père Jacques de Jésus parue chez DDB en 2005. Elle rappelle le sillon de lumière tracé par le père Jacques, tout ensemble prêtre, pédagogue, carme et prophète.
Jésuite depuis 1979, le père Maier a séjourné dès 1989 au Salvador pour y terminer son doctorat sur « la théologie du peuple crucifié » ; il y donne, ainsi qu’au Centre Sèvres, un enseignement régulier. Ancien directeur de Stimmen der Zeit, il est aujourd’hui secrétaire pour les affaires européennes au Centre social jésuite (Bruxelles). Voir un extrait de la rencontre en vidéo : Oscar Romero, un compagnon de route
Déjà très connue en France par son itinéraire marin et spirituel (voir ses nombreuses publications), sœur Nathalie a été une auditrice active du récent Synode pour les jeunes. Nommée parmi les premières femmes consulteurs du secrétariat général du Synode des évêques, elle est particulièrement indiquée pour nous présenter, à partir de sa vocation de Xavière, les enjeux du Synode pour l’Amazonie maintenant en cours.
Nous remercions le Préfet de la Congrégation pour le Clergé et la discrète traductrice de nous avoir permis de proposer en français cet article paru dans Sequela Christi 2017/2, 84-92. Si « le premier voyage à accomplir dans la formation est d’aller vers soi-même », comment faire ?
Infographiste et photographe, l’auteur s’est intéressé aux nombreux et récents synodes diocésains par le biais inattendu de leurs logos. Selon lui, comparés à ceux des JMJ, ces essais de « rendre visible l’invisible » n’épuisent pas toute la richesse de la synodalité qu’ils permettent pourtant d’entrevoir.
Le Père Lambert Malungu, salésien de don Bosco, après avoir été directeur de la communauté du Theologicum Saint François de Sales de Lumbumbashi (RDC), y enseigne l’Écriture sainte tout en dirigeant l’École supérieure d’informatique Salama (ÉSIS) ; c’est là que cet éducateur des jeunes anime un séminaire de salésianité et qu’il a prononcé cette homélie en la fête de saint Jean Bosco.
Nos deux auteurs, du monastère dominicain d’Évry (Paris), sont directeur et directeur-adjoint du Centre de recherche sur la vie religieuse (CRVR), qui y dispense, depuis peu, formations et publications (voir pour l’une d’elles notre chronique, p. 70-71). Ils traitent ici de la difficile question du devenir du charisme quand il s’inculture.
Quand un couple de laïcs, membre d’une communauté nouvelle, se met à l’écoute de l’Esprit, adviennent d’étonnants retournements. Le médecin et la théologienne (spécialiste de J.-M. R. Tillard, nos lecteurs s’en souviendront) servent au Tchad la mission du Chemin Neuf, ou plutôt, d’une Église jeune qui veut approfondir la Parole à la suite du Christ. Ici, Exercices spirituels, œcuménisme et développement ouvrent les pistes à la bénédiction de Dieu.
Présidente de l’Union internationale des Supérieures générales depuis 2013, Sœur Carmen Sammut est depuis 2011 Supérieure générale des Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique (Sœurs Blanches). Elle a été nommée consulteur du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux et a participé au dernier Synode pour la famille, en tant qu’auditrice nommée par le Pape. Nous l’avons rencontrée.
L’histoire de la vie contemplative, comme celle de l’Église, est faite de morts et de résurrections. Avec finesse et réalisme, Mgr P. Raffin tire les leçons de l’histoire et se réjouit de la naissance de communautés qui, sans être monastiques stricto sensu, reprennent le flambeau. Il encourage le monachisme occidental à poursuivre l’aggiornamento demandé par Perfectae caritatis, à se ressourcer davantage en Orient comme y invite Jean-Paul II dans sa lettre Orientale lumen, ainsi qu’à élargir son regard en continuant à soutenir les fondations dans les jeunes Églises et en prenant davantage en compte la dimension œcuménique, et même interreligieuse, comme certains monastères ont commencé à le faire.
Dans le cadre précis d’un colloque sur la nouvelle évangélisation, l’auteur, qui a beaucoup œuvré au renouvellement de la formation à partir des sentiments du Fils, propose un portrait de l’évangélisateur requis par l’exhortation apostolique Evangelii gaudium ; s’il n’hésite pas, en contrepoint de son « décalogue », à souligner vigoureusement les défauts apparentés, on comprendra que son fil rouge vise à libérer les personnes de tout ce qui les ferme aux autres : un défi et une grâce.