Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Lectrice assidue, sœur Moïsa poursuit des études postdoctorales qui lui font croiser bien des sentiers. Elle décèle ici, dans la manière d’interpréter (et donc l’herméneutique) du frère Adrien Candiard, o.p., une façon d’entendre la Parole qui redonne à Dieu une place dans l’histoire du monde : apocalypse en vérité.
Succédant à l’abbé Sébastien Dehorter, prêtre de l’Emmanuel, le père Alain-Marie de Lassus, docteur en théologie, enseigne l’Écriture sainte et la théologie à Rimont ainsi que dans des sessions et prédications à l’étranger ; il a lui-même publié plusieurs ouvrages sur l’Apocalypse de saint Jean dont le dernier, Attendre la venue du Christ, est présenté en recension sur notre site, à la rubrique « Critiques de livres ».. Cliquez sur le titre d’un ouvrage pour en lire la recension.
Professeur au Centre Sèvres, prêtre du diocèse du Havre et normalien, l’auteur nous a plusieurs fois invités à partager ses recherches sur l’expérience spirituelle des pauvres. Sa méditation du Magnificat, où s’annonce déjà tout l’Évangile, signale le combat que se livrent en nous la promesse et la menace : il s’agit pour tous de se convertir à la fidélité renversante de Dieu.
La chronique biblique est signée de deux noms ! Après le père Sébastien Dehorter qui l’a assumée valeureusement pendant un septennat, c’est le père Alain-Marie, ancien doyen du Studium des Frères de Saint-Jean, bibliste chevronné, qui a généreusement accepté de la poursuivre. Gage de continuité dans l’excellence : la rédaction n’a pas pu déceler lequel des deux avait signé les recensions qu’on va lire...
Le père Sébastien Dehorter, prêtre de l’Emmanuel, aujourd’hui docteur en théologie de l’Université catholique de Louvain, nous propose comme chaque année sa brassée d’ouvrages sur l’Ancien et le Nouveau Testaments, sans oublier tous ceux que l’on trouve sur notre site internet, dans la nouvelle rubrique « Critiques de livres ».
Bibliste bien connue, nouveau membre de la deuxième commission établie par le Pape pour l’étude du diaconat féminin, Anne-Marie Pelletier cherche depuis longtemps à penser l’Église en joignant le féminin au masculin. Issu du Colloque international réuni par L. Vardey, à Rome, en 2016, mais inédit, ce texte invite à méditer sur le cœur de Marie, où s’apprend notre humanité commune.
Directeur du Studium Notre-Dame de Vie, membre de l’institut séculier d’inspiration carmélitaine du même nom, le père Jean-François Lefebvre, bibliste, nous propose un parcours d’Écriture sainte sur un thème qui a soudain pris une brûlante actualité.
Déjà croisée comme archiviste de l’ordre du Carmel en Belgique, sœur Christiane Meres, luxembourgeoise de Bruxelles, nous livre une autre facette de son talent, en nous invitant à la rencontre de deux femmes émouvantes ; leur trajectoire s’éclaire d’une troisième, à l’ombre de la Croix.
Prêtre du diocèse de Lyon, membre de la Communauté de l’Emmanuel, ingénieur de l’École polytechnique, philosophe et doctorant en théologie, Matthieu Bernard nous partage son étonnement de lecteur des Actes des Apôtres d’y voir en filigrane l’Église même du Pape François. Une découverte.
Bénédictin de l’Abbaye de Maredsous, le frère Réginald-Ferdinand Poswick, auteur d’un récent Prier 15 jours avec... Columba Marmion, est l’un des initiateurs de la fameuse Table pastorale de la Bible. Il nous retrace ici, en mode décomplexé, son itinéraire personnel, depuis son entrée précoce dans la vie monastique, à travers toutes sortes de crises, jusqu’à ses nouveaux et toujours aventureux horizons.
Prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles et membre de la Communauté de l’Emmanuel, professeur de théologie à l’I.É.T. (Bruxelles), Olivier Bonnewijn est également président de l’Institut Universitaire Pierre Goursat. Il nous offre une réflexion scripturaire vivifiante sur le chemin de fraternité qui s’ouvre devant toute forme de vie chrétienne, laïque ou consacrée.
Durant le Colloque célébrant en février dernier les cinquante ans de l’I.É.T. (Faculté jésuite de théologie de Bruxelles), l’intervention de Gudrun Nassauer, exégète et vierge consacrée, a attiré notre attention sur cette vocation vécue en Allemagne aujourd’hui. Une riche conversation a pu s’ensuivre, où l’on découvre l’enjeu ecclésial de la consécration des vierges aujourd’hui.