Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Docteur en droit canon, professeur à l’Université pontificale du Latran, ce canoniste laïc belge, membre du « Staff Généralat » de la Congrégation des Frères de la Charité, a collecté les modifications apportées à dix canons qui concernent directement les membres de la vie consacrée.
Deux lettres récentes de notre Dicastère sont présentées par le vice-doyen de la Faculté de droit canonique de l’Institut catholique de Paris : les chapitres et autres conseils généraux ne peuvent se tenir en mode numérique qu’à titre d’exception et moyennant des règles strictes ; la synodalité s’en trouvera-t-elle pour autant réellement praticable ?
Longtemps vicaire général du diocèse de Liège, professeur à l’Université catholique de Louvain et à l’Institut catholique de Paris, canoniste réputé, l’abbé Borras figure parmi les vingt-cinq membres de la commission théologique du prochain Synode des évêques. Il présente ici les nouvelles dispositions canoniques en matière de droit pénal.
Né en Lituanie dans une famille de militaires russes, catholique de conversion, le nouveau prieur du couvent dominicain de Marseille poursuit désormais un ministère de prédication, d’enseignement et d’accompagnement qui l’a déjà conduit à publier un bel ouvrage sur la paternité spirituelle et ses contrefaçons (voir la recension ici). Il nous rend ici le service de revenir sur un texte récent, encore mal connu.
Prêtre du diocèse de Metz, vice-doyen de la Faculté de droit canonique de l’Institut catholique de Paris, Cédric Burgun présente l’important Motu proprio « Authenticum charismatis » qui requiert désormais l’approbation écrite du Saint-Siège avant d’ériger de nouveaux instituts de vie consacrée.
Le prochain Synode des Évêques sera sur la synodalité ! L’abbé Alphonse Borras, qui achève son long mandat de Vicaire général du diocèse de Liège, nous propose, avec sa compétence de canoniste et d’ecclésiologue patenté, d’y voir l’occasion de réfléchir au style synodal propre à la vie consacrée, dans une Église communion.
Certains ouvrages doivent être présentés plus longuement que d’autres (qu’on trouve sur notre site à la rubrique Critiques de livres). Et certains recenseurs s’y risquent volontiers, comme Gonzague de Longcamp, frère de Saint-Jean, responsable du Studium de Saint-Jodard et professeur à l’Université catholique de Lyon.
Après une maîtrise de droit public, sœur Marie-Jean-Baptiste, c.s.j., formée au droit canonique à l’Institut catholique de Paris, a suivi en droit de la vie consacrée les enseignements du père Cédric Burgun, du diocèse de Metz, dont elle présente ici la thèse.
Suite à sa thèse en droit canonique sur la « juste autonomie » des instituts de vie consacrée et des sociétés de vie apostolique (ICP, 2017), l’auteur, sœur du Christ (Union Mysterium Christi), dispense des formations à la demande de la Conférence des Supérieurs majeurs de Madagascar et poursuit ses cours de droit canon aux étudiants en théologie de l’Université catholique d’Antananarivo.
Le père carme Stefano Conotter, aujourd’hui prieur à Bruxelles, a été maître des novices en Italie et prieur en Roumanie ; il présente la récente Instruction Cor orans (15 mai 2018), qui applique la constitution Vultum Dei quaerere (26 juin 2016) sur la vie contemplative féminine – un document qu’on aurait tort de croire réservé aux moniales de vie cloîtrée.
Économiste jésuite, professeur à l’Institut catholique de Paris, l’ami des Yambassa nous présente à sa manière les « Orientations » tout juste publiées par notre Dicastère, sous le titre latin Boni dispensatores multiformis gratiae Dei. On reconnaîtra le style piquant du « polygraphe posté aux frontières de l’économie, de la sociologie et de la politique », que nos lecteurs ont déjà pu apprécier.
Membre des Fraternités Monastiques de Jérusalem, elles aussi au cœur de la ville, sœur Marie-Laure, de la revue Sources Vives, ouvre pour nous les deux derniers tomes de la correspondance de la célèbre assistante sociale d’Ivry. Dans l’inclassable vocation de présence aux frontières, une « spiritualité du forage » se découvre, livrée à l’Église urbaine d’aujourd’hui.