Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Le prochain Synode des Évêques sera sur la synodalité ! L’abbé Alphonse Borras, qui achève son long mandat de Vicaire général du diocèse de Liège, nous propose, avec sa compétence de canoniste et d’ecclésiologue patenté, d’y voir l’occasion de réfléchir au style synodal propre à la vie consacrée, dans une Église communion.
Père spirituel de la communauté des étudiants jésuites de Lubumbashi, Philippe Nzoimbengene a été invité par les deux conférences, masculine et féminine, des religieux du Katanga (ASUMA-USUMA) à donner cette intervention à l’occasion de la journée de la vie consacrée, le 1er février dernier. Nous remercions l’auteur de nous avoir autorisés à la publier.
Sœur Marie des Oubliettes est une sœur de votre communauté. Traversez les lieux de solitude, de souffrance, de lutte, vous l’y découvrirez certainement. Elle nous parle ici des sœurs Bonnepâte et Bonnatout, qu’elle connaît de longue date, ainsi que de frère Valérien de Savérien. Une chose est sûre : le Royaume ne se fait pas sans tous ces saints des oubliettes...
Suite à sa thèse en droit canonique sur la « juste autonomie » des instituts de vie consacrée et des sociétés de vie apostolique (ICP, 2017), l’auteur, sœur du Christ (Union Mysterium Christi), dispense des formations à la demande de la Conférence des Supérieurs majeurs de Madagascar et poursuit ses cours de droit canon aux étudiants en théologie de l’Université catholique d’Antananarivo.
Le père carme Stefano Conotter, aujourd’hui prieur à Bruxelles, a été maître des novices en Italie et prieur en Roumanie ; il présente la récente Instruction Cor orans (15 mai 2018), qui applique la constitution Vultum Dei quaerere (26 juin 2016) sur la vie contemplative féminine – un document qu’on aurait tort de croire réservé aux moniales de vie cloîtrée.
Économiste jésuite, professeur à l’Institut catholique de Paris, l’ami des Yambassa nous présente à sa manière les « Orientations » tout juste publiées par notre Dicastère, sous le titre latin Boni dispensatores multiformis gratiae Dei. On reconnaîtra le style piquant du « polygraphe posté aux frontières de l’économie, de la sociologie et de la politique », que nos lecteurs ont déjà pu apprécier.
Habitué lui aussi de nos pages, le père Pierre Gervais, jésuite canadien, a mené sa carrière de dogmaticien à l’I.É.T. de Bruxelles où il a revisité, avec les grands traités et les principaux sacrements, quelques figures éminentes de la mystique chrétienne. Il se consacre désormais à l’écriture, notamment d’importants commentaires des Exercices spirituels ; cet article en donne l’épure la plus achevée.
Pédopsychiatre, psychothérapeute, le Docteur Struyf intervient de longue date dans le parcours de séminaristes ou de religieux-ses aussi bien que de leurs formateurs ; elle est membre de l’AIEMPR (Association internationale d’études médico-psychologiques et religieuses) et poursuit de front sa pratique thérapeutique et son enseignement, ainsi que ses publications, dont « Les besoins psychiques de l’être humain » paru dans notre revue (Vs Cs 2007-1, 27-40).
Dans le numéro précédent, l’auteur avait dégagé les enjeux et les défis de l’accueil dans la vie consacrée, à titre exceptionnel, de personnes handicapées. Elle envisage maintenant le cas des instituts qui les accueillent par vocation.
Enseignante en droit canon à Lille, Namur et Bruxelles, l’auteur a défendu en 2015 sa thèse doctorale en sciences religieuses sous le titre Vie chrétienne et handicap. Prescriptions canoniques et orientations pastorales. Elle dédie ces pages inédites en français à la mémoire de Soeur Anne-Marguerite Fromaget, Fille de la Charité, canoniste au Dicastère pour la vie consacrée.
Dominicain, professeur de théologie à Toulouse, l’auteur est assistant apostolique de la Communauté des Béatitudes après en avoir été commissaire pontifical ; son article reprend le contenu d’une intervention donnée le 11 juin 2016 lors d’un séminaire « Liberté et obéissance dans la vie religieuse » qui a vu dialoguer, notamment sur les « lanceurs d’alerte », juristes, magistrats, chefs d’entreprises, responsables religieux et épiscopaux.
Présidente de l’Union internationale des Supérieures générales depuis 2013, Sœur Carmen Sammut est depuis 2011 Supérieure générale des Soeurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique (Soeurs Blanches). Elle a été nommée consulteur du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux et a participé au dernier Synode pour la famille, en tant qu’auditrice nommée par le Pape. Nous l’avons rencontrée.